18 mars 2012

Pause dominicale

4 commentaires:

  1. Que la vie est légère lorsque les humains laissent la Beauté s'écouler à travers eux.
    Et ils se remercient... et ils s'embrassent...

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  2. La classe!!!Ça sonne vachement bien, j'espère pour eux qu'ils seront reconnus pour la valeur de leurs talents respectifs, difficile à percer dans ce milieu!!!

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  3. Pour moi, c'aura été la pause du lundi matin... Merci, Paul. ^^

    Je serai toujours éberluée par le talent et la créativité de ces musiciens dits 'classiques' dont fait partie Vivaldi... Mais comment faisaient-ils pour écrire de telles partitions, en faisant parfois intervenir tant d'instruments ?

    Je ne connais pas bien Vivaldi et je ne connaissais pas ce morceau. Personnellement, je préfère à l'écoute, ses concertos pour flûte ou bien le peu d'opéras que je lui connaisse.
    (Je pense qu'à la longue, c'est la prédominance du violon qui me "gêne" un peu : pour moi, ce n'est pas un son reposant... je préfère de loin écouter le piano ou la flûte. Mais tout cela est une question de goût personnel.)

    Mes morceaux préférés que je pourrais mettre en boucle : "Juditha Triomphans" (bien que je ne pense pas connaître l'intégralité de cet opéra.)J'adore également la tempête dans la mare "la tempesta di mare". Je ne parle pas des quatre saisons qui sont connues de tous. ^^

    En fait, je ne suis pas vraimentce qu'on appelle "calée" en musique. Mes découvertes et mes goûts sont très éclectiques et sont souvent dus au hasard.
    Hélas, en musique comme en autre chose, ma culture est très limitée.

    J'ai passé un bon moment en écoutant ce morceau. Chapeau aux interprètes, comme le dit l'internaute qui me précède !

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  4. La Musique

    La musique souvent me prend comme une mer !
    Vers ma pâle étoile,
    Sous un plafond de brume ou dans un vaste éther,
    Je mets à la voile;

    La poitrine en avant et les poumons gonflés
    Comme de la toile
    J'escalade le dos des flots amoncelés
    Que la nuit me voile ;

    Je sens vibrer en moi toutes les passions
    D'un vaisseau qui souffre ;
    Le bon vent, la tempête et ses convulsions

    Sur l'immense gouffre
    Me bercent. D'autres fois, calme plat, grand miroir
    De mon désespoir !

    Les Fleurs du mal - Spleen et Idéal - Charles Baudelaire

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