Piégé dans un canular russe, l’ancien président français François Hollande, croyant s'entretenir avec l’ancien président ukrainien Petro Porochenko, révèle :
- Les accords de Minsk n'étaient qu'une tromperie pour militariser l’Ukraine,
- Les nations occidentales ont renversé le gouvernement ukrainien démocratiquement élu en 2014,
- Il y a une participation à part entière de l’UE et de la France au conflit en Ukraine.
Pourquoi les Français élisent des menteurs et, dans le domaine spirituel, seraient incapables de véritable intériorité
La langue française est, parmi
toutes les langues qui peuvent être apprises en Europe, celle qui,
si je peux m’exprimer ainsi, pousse l’âme des hommes à la
surface, à la surface la plus extrême de l’être humain. Elle
serait celle qui peut conduire l’homme à mentir de la manière la
plus honorable à la plus frivole. Elle se prête d’autant plus à
cela qu’on peut y mentir de manière spontanée et loyale, parce
qu’elle n’a plus aucun lien juste avec l’intériorité des
hommes. Elle est parlée tout à fait à la surface de l’homme.
Ainsi de la langue française, et donc de l’être français,
découle l’attitude psychique telle que l’âme est commandée par
la langue française. Alors qu’en allemand, l’âme, dans la
puissance de l’élément volontaire, a la configuration interne de
la langue, et la forme plastique de l’être de la langue, la langue
française rencontre un engourdissement, et c’est elle qui
commande. C’est une langue tyrannisant l’âme et par là elle
crée ce qui la conduit au vide, de sorte que la culture française
tout entière est, sous l’influence de sa langue, une culture qui
vide l’âme.
Celui qui a une sensibilité pour de telles choses
peut toujours ressentir qu’aucune âme, réellement, ne parle à
partir de l’Être français ; seule, une culture formelle et figée
en émane. La différence est, à proprement parler, que l’on est
conduit, en français, à se laisser commander par la langue. Cette
liberté infinie que l’on a en allemand – et que l’on devrait
revendiquer plus que cela n’est fait – de pouvoir placer le sujet
à un endroit quelconque, en fonction de sa vie intérieure, cela, on
ne l’a pas en français. [...]
Avec
le latin, une logique instinctive est apportée aux hommes. Tel n’est
pas le cas avec le français. Par le français, le langage déborde
en pure phraséologie dénuée de tout fondement logique, de la
phraséologie uniquement – les choses doivent être radicalement
dites – de sorte que beaucoup de choses, certainement, seront
aliénées dans l’âme des enfants par l’enseignement du
français, et l’on souhaiterait déjà que l’enseignement
du français disparaisse vraiment peu à peu des fondements
intérieurs de l’être. [...]
Le
français a acquis son rang et son estime dans l’enseignement des
pays étrangers à la France, non par sa portée commerciale, mais
par son usage comme langue de la diplomatie. On pourrait faire d’une
pierre deux coups, si l’on en venait à bout par la force du combat
et le nécessaire assaut : on atteindrait à la fois la diplomatie et
le français dans leur décadence. On montrerait que la diplomatie
est également décadente parce que dans la diplomatie, on doit
mentir. […]
La
diplomatie consiste en fait dans l’usage, à un autre niveau, des
mêmes moyens qu’utilise
la guerre dans la duperie de l’adversaire. Ce fut une grande erreur
de Nietzsche quand il qualifia la langue allemande de langue de la
tromperie. La langue française est cela ; non pas langue de
tromperie, mais langue de l’étourdissement, ce qui, à vrai dire,
conduit les hommes à sortir d’eux-mêmes. Il arrive à quelqu’un
qui parle français avec enthousiasme, de ne pas être tout à fait
en lui-même. Pas tout à fait en soi, celui qui parle le français
avec enthousiasme ! Voilà qui est dit radicalement.
Rudolf Steiner
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Ministre
franc-maçon de l’Instruction Publique en 1879, Jules Ferry interdit de
parler l'occitan et les autres langues régionales à l’école.
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