Les médias ont récemment publié des histoires affirmant que la calotte glaciaire de l'Antarctique est sur le point de disparaitre.
La fonte des glaces de l'Antarctique aurait provoqué un ralentissement spectaculaire des courants océaniques profonds, ce qui "pourrait avoir un effet désastreux sur le climat", ont répété les médias du monde entier.
Mais les faits sont têtus. L'entretien de la peur est leur modus operandi et ils utiliseront n'importe quelle science de pacotille pour influencer un public crédule, mais de plus en plus fatigué et las de cette crise climatique médiatique.
La dernière campagne de peur des médias, indique que l'eau douce moins dense, provenant de la fonte de la calotte glaciaire, interrompra le mouvement descendant de l'eau vers le fond des mers, ce qui affectera le cycle des courants océaniques mondiaux. Le blog scientifique The Conversation a rapporté que « des tonnes d'eau de fonte de l'Antarctique ralentissent les courants océaniques » et menacent leur circulation, vitale pour nos climats ». Alors que la BBC elle-même, clairement allégée du fardeau de la crédibilité, a renvoyé ses lecteurs intellectuellement déficients vers le film The Day After Tomorrow ! Allez la science !
Pire encore, cette dernière ronde de radotage n'est basée que sur la modélisation, avec 35 millions d'heures d'ordinateur, pas moins, basées sur le scénario "émissions élevées" du GIEC. Mais comme l'a récemment exprimé le Dr Judith Curry, ce scénario du pire a été abandonné dans beaucoup de milieux scientifiques, au motif qu'il est reconnu comme invraisemblable, avec un réchauffement climatique d'à peine 0,1°C au cours des deux dernières décennies. Le Dr Curry note que les prophéties extrêmes, basées sur ce scénario, font encore régulièrement la tournée des médias, et restent même dans les textes du GIEC. «Le rejet de ces scénarios extrêmes a rendu obsolète une grande partie de la littérature et les évaluations climatiques de cette dernière décennie», souligne le Dr Curry.
"Notre modélisation montre que si les émissions mondiales de carbone se poursuivent au rythme actuel, le renversement de l'Antarctique ralentira de plus de 40% au cours des 30 prochaines années", a déclaré l'auteur principal de l'étude, le professeur Matthew England de l'Université de NSW à Sydney - et voilà le nœud du problème : les émissions de CO2, c'est-à-dire la prospérité humaine !
L'élite nous veut pauvres et impuissants, elle veut le « féodalisme 2.0 », et le meilleur moyen d'y parvenir passe par l'éradication de l'énergie bon marché et fiable, l'épine dorsale de la prospérité humaine. Mais il fallait quelque chose d'énorme pour que la population mondiale accepte une telle refonte, un dogme puissant qui nous verrait entrer nous-mêmes dans la chambre à gaz de la « la fin du monde ».
Pour en revenir à l'Antarctique, la calotte glaciaire du continent était "proche de l'équilibre" au cours de la période 2012-16, selon des recherches menées par des scientifiques de la cartographie des glaces par satellite de la NASA, et après avoir prolongé leurs études jusqu'en 1992, les chercheurs ont trouvé d'importants gains totaux.
Comme régulièrement exposées sur Electroverse, les données pointent sans équivoque vers un refroidissement de l'Antarctique, et les "scientifiques" du parti du réchauffement climatique se bousculent pour trouver des réponses "acceptables". Étude après étude cette affirmation est constatée, c'est un fait, tout comme la lecture irréfutable des températures du continent.
Le pôle Sud a connu son hiver le plus froid de tous les temps en 2021 (avril-septembre) et a depuis enregistré des mois anormalement froids. Il s'agit notamment des -40,4°C de novembre 2022, les plus froids depuis 1987 ; Déc 2022 -29.1C - le plus froid depuis 2006 ; -31.3C de janvier 2023 - le plus froid depuis 1995 ; -41,1 C de février 2023, soit -0,7 C en dessous de la norme. Et avec une lecture globale de -35.6C, cela en a fait le deuxième plus froid de novembre à février jamais enregistré (après -36.6C de 1999-2000))
Comme Stefano Di Battista l'a récemment demandé sur Twitter : "Singularité ou nouvelle phase climatique ?".
Si les médias mondiaux insistent pour rapporter que la banquise de l'Antarctique disparait, la NASA révèle le contraire, ils doivent donc trouver un nouveau mécanisme pour soutenir leurs affirmations, car les températures, clairement, ne joueraient aucun rôle.
Peut-être que la BBC pourrait se pencher sur la myriade de volcans sous-marins, qui s'agitent sous la glace polaire ; mais il faudrait qu'une branche propagandiste du WEF arrive à surmonter son manque endémique de curiosité.
Le Shiveluch entre en éruptionComme beaucoup d'entre vous le savent, le volcan russe Sheveluch est entré en éruption à un hauteur de 52.000 pieds le 10 avril, envoyant ses cendres dans la stratosphère et exerçant ainsi un effet de refroidissement sur la planète.
De très fortes chutes de cendres ont été observées dans les régions environnantes peu après l'éruption, la plus grande chute de cendres en 60 ans a frappé la ville de Klyuchi, selon l'Institut de volcanologie et de sismologie (IVS), où des pannes de courant et une pollution de l'eau potable dans la ville ont été signalés, et toutes les entreprises et écoles ont été fermées, les résidents invités à ne pas quitter leur domicile.
Depuis son éruption initiale, la poursuite d'une forte activité explosive a été signalée par l'équipe d'intervention de l'éruption volcanique du Kamchatkan (KVERT). Cela comprend une éjection à 40.000 pieds le 11 avril, une de 33.000 pieds le 11 avril et une autre éruption de 28.000 pieds le 12 avril.
Le volcan est passé en "mode éruption complète", a tweeté le ministère russe des Affaires étrangères.
Ailleurs, l'activité explosive augmente également sur le volcan Popocatepetl au Mexique.
Dans la déclaration du Centre national mexicain de prévention des catastrophes (CENAPRED), 12 nouvelles éruptions ont eu lieu au Popocatepetl au cours des dernières 24 heures seulement, avec 199 émissions de gaz et de cendres enregistrées pendant cette période.
Cela représente 308 éruptions jusqu'à présent cette année – une forte augmentation par rapport aux 113 notées en 2022.
Les éruptions volcaniques sont l'un des principaux forçages, climatiques entraînant la Terre dans son prochain épisode de refroidissement global.
Il a été démontré qu'ils augmentent à la fois en nombre et en explosivité pendant les périodes de déclin solaire prolongé - que l'on pense être liés à un afflux de rayons cosmiques (CR) pénétrant et excitant le magma riche en silice. En bref, pendant les minimums solaires, le champ magnétique du Soleil s'affaiblit et la pression extérieure du vent solaire diminue. Cela permet à plus de CR d'entrer dans le système solaire interne, y compris l'atmosphère de notre propre planète.
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