Bilan dramatique pour les soldes d’hiver. Merci les mesures « sanitaires » !

Le bilan pour les soldes d’hiver 2022 est tout simplement mauvais !

L’économie n’est pas uniquement du pouvoir d’achat, mais aussi du pouvoir de vivre et encore plus de l’envie de vivre.

A force de faire peur aux gens, de leur expliquer pour qu’ils se fassent piquer qu’ils vont tous mourir dans d’horribles souffrances pleins de tuyaux dans le museaux et bien plus personne ne veut sortir, ou en tous les cas beaucoup moins.

Vous ne pouvez pas en vouloir aux consommateurs inquiets ou effrayés. Tout est fait pour les faire trembler de peur;

Quand on a peur, on ne va pas faire les boutiques !

Non seulement on en a pas envie, on a peur, mais en plus personne n’a la tête à ça.

« Les soldes d’hiver 2022 n’ont pas soulevé les foules, loin de là. Ventes privées sans succès, deuxième démarque presque sans effet sur les ventes, les chiffres ne sont pas bons. Un manque de fréquentation qui s’explique par de multiples raisons, du télétravail à l’inflation en passant par la peur du coronavirus.
À 24 heures du clap de fin des soldes d’hiver, l’heure est au bilan. Et une fois n’est pas coutume, que ce soit pour les petits ou pour les gros commerçants, le résultat n’est pas bon. Faute de fréquentation, les succursalistes ont vu leur affluence chuter de près de 30 % par rapport à 2019, selon le Procos qui les représente. Leur chiffre d’affaires recule de 8 %. Quant aux indépendants la moitié d’entre eux a réalisé un chiffre d’affaires inférieur d’au moins 20 % à celui des soldes d’hiver 2020″.

Ce sont donc des chiffres très mauvais pour le commerce.

Pas mieux pour le e-commerce !!

« Ce bilan négatif, les e-commerçants le constatent également, si l’on en croit le Webloyalty Panel, qui regroupe 37 sites e-commerce parmi les leaders français. Ce dernier dresse un bilan « contrasté de l’événement », avec une baisse des commandes en ligne de l’ordre de 26 % par rapport à 2021 ».

On aurait pu penser que les commerces traditionnels souffraient en plus de la concurrence du e-commerce, mais en réalité, le secteur de la vente en ligne a été très touché également.

Alors les vraies raisons de cette baisse des ventes ?

Simple. La peur pour le pouvoir d’achat (l’inflation) et la peur du virus (et donc un pays en pleine dépression généralisée depuis deux ans qui a perdu toute joie de vivre).

Charles SANNAT

Source Europe 1. fr ici

Source LSA Conso ici