L’ethno-mathématique fait que dans 5 ans il ne sera définitivement plus possible pour un parti politique de gagner les élections présidentielles en France sans composer avec la communauté musulmane et en réalité avec l’Islam conquérant ; c’est à dire sans faire entrer la charia dans notre pays.
On voit depuis longtemps comment à l’échelle locale les partis politiques de pouvoir jouent le vote communautaire et comment le communautarisme musulman arrive à s’imposer aux élections communales, départementales ou régionales. Partout à l’échelon local, le fait communautaire est représenté et impose sa volonté. Soit au grand jour par des élus issus de l’immigration, soit plus généralement de manière occulte, par des compromissions d’élus de souche qui se soumettent.
Même au gouvernement, le communautarisme musulman a voie au chapitre et impose déjà ses volontés. Des ministres ont promu des lois qui soit détruisent la communauté nationale et la fragilisent (Taubira – El Khomri), soit ouvrent la porte à l’islamisation dès l’enfance (Vallaud-Belkacem). Le fait n’est pas récent, il était déjà à l’œuvre de manière plus occulte depuis des décennies. Simplement cette fois ci, il est devenu plus puissant et donc peut s’assumer avec arrogance au grand jour.
Depuis longtemps déjà, dans certaines zones de plus en plus nombreuses et de plus en plus vastes, les candidats ont bien compris que pour les populations issues de l’immigration, le sentiment ethnique ou communautaire prime sur toute autre considération. Peu importe que le candidat soit de Gauche, de Droite, du Centre ou d’ailleurs, ce qui compte ce sont les engagements et les compromissions qu’il acceptera vis-à-vis de la communauté d’origine ou plus généralement de l’islam. Ainsi, rares sont les élus locaux qui n’ont pas eu à composer plus ou moins honteusement avec l’islam.
D’ailleurs, le front républicain qui ostracise le Front National en est la traduction la plus probante. Il n’y a pas un élu qui prenne le risque de ne pas faire barrage au FN pour complaire à son électorat musulman ou à son électorat déjà soumis. Aucun ne peut se soustraire au dictat de l’électorat musulman et de l’électorat soumis : « Si tu veux nos voix tu dois faire barrage au FN. »
Eh bien, ce qui est déjà possible à l’échelon local va le devenir de manière imparable à l’échelon national. Les tâches de la peau de léopard sont en train de se rejoindre. Bientôt, le pays sera définitivement uniforme au plan de l’ethnologie électorale et le fait ethno-islamique pèsera de manière incontournable sur les élections nationales : présidentielle et législatives.
Plus un seul candidat à la Présidentielle ne pourra s’en défaire, tous seront obligés de composer avec le communautarisme musulman et d’en accepter de manière de plus en plus prégnante la loi qui n’est autre que la charia. Nos compatriotes de souche déjà soumis feront le complément pour assurer la victoire. Compte tenu de la démographie galopante de la communauté musulmane de France, et de la rétractation de la population de souche, le poids du vote communautaire et du vote soumis sera tel qu’il sera définitivement impossible de s’y soustraire. C’est ainsi et ne pas vouloir le voir est suicidaire.
Après 2017 il n’y aura plus de solution démocratique.
D’ailleurs certains le voient et ont déjà commencé à fuir le pays. Entre 2,5 et 3 millions de nos compatriotes sont partis vivre à l’étranger. Face à la catastrophe de l’immigration arabe, les juifs quittent une « France finie ». 5.000 ont quitté le pays en 2016.
Aujourd’hui cette considération doit primer sur toute autre au moment de voter. La dernière occasion de faire barrage à l’islam par la voie démocratique c’est maintenant. C’est la raison pour laquelle il faut impérativement voter pour le Front National. Après 2017, un autre président de la république, quel qu’il soit devra tout concéder à son électorat communautaire ; rendant les choses irréversibles.
Alors, on n’échappera plus : soit à la soumission, soit à la confrontation. Car si nous ne nous soumettons pas, ils nous sauteront à la gorge, que nous le voulions ou non.
La question ne sera plus de savoir ni pourquoi ni comment, mais tout simplement quand. Et ça sera dès qu’ils sentiront qu’ils en auront la puissance ; c’est à dire très vite.
Alors, sautons dans le dernier train électoral tant qu’il est encore temps.
Robert Langlois
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