Un milliard d'euros vont être consacrés à l'amélioration du réseau autoroutier (dont la gestion et les profits ont été privatisés par Sarkozy). Le financement viendra des usagers, via une augmentation des péages, et des collectivités.
Le secrétaire d'Etat aux transports Alain Vidalies prépare un plan d'un milliard d'euros pour améliorer le réseau autoroutier français. Les usagers régleront une large part de la facture via une augmentation des péages. Les collectivités mettront également la main à la poche, déclare-t-il dans une interview au JDD.
Ce plan, "validé" par François Hollande, porte sur des projets déjà "avancés, au niveau des études ou des déclarations d'utilité publique". "Nous avons recensé les demandes des collectivités et établi une liste précise - qui n'est pas fermée - de 50 dossiers. Il y a 30 opérations routières, type échangeurs, véritablement d'intérêt pour les territoires. S'y ajoutent la création d'aires de covoiturage et des aménagements environnementaux comme des écoponts, des murs antibruit, pris en charge directement par les sociétés d'autoroutes".
Des travaux de fin 2017 à 2019
Ce milliard d'euros de travaux d'ici 2019 devait permettre de créer 5 000 emplois, souligne-t-il. Le secrétaire d'Etat demandera lundi aux préfets de région d'engager des négociations avec les collectivités locales. Avec l'objectif de les finaliser d'ici au 30 septembre pour "engager les premiers travaux à la fin de l'année 2017".
L'exécutif a fait le choix de ne pas faire financer ces travaux par les sociétés d'autoroute en échange d'un allongement de leur contrats de concession car la procédure "prendrait trop de temps". "La négociation qui doit s'ouvrir lundi porte sur l'accord des collectivités locales concernant leur participation. Et le reste sera financé par une augmentation du tarif des péages, qui sera comprise entre 0,3% et 0,4% par an entre 2018 et 2020", explique Alain Vidalies au JDD.
Le secrétaire d'État s'est déclaré confiant dans le fait d'obtenir le financement des collectivités (donc des citoyens). "Ce ne sont pas des investissements disproportionnés, dans une période où les conditions d'emprunt sont bonnes avec des taux très bas", a-t-il justifié.
Source
Le secrétaire d'Etat aux transports Alain Vidalies prépare un plan d'un milliard d'euros pour améliorer le réseau autoroutier français. Les usagers régleront une large part de la facture via une augmentation des péages. Les collectivités mettront également la main à la poche, déclare-t-il dans une interview au JDD.
Ce plan, "validé" par François Hollande, porte sur des projets déjà "avancés, au niveau des études ou des déclarations d'utilité publique". "Nous avons recensé les demandes des collectivités et établi une liste précise - qui n'est pas fermée - de 50 dossiers. Il y a 30 opérations routières, type échangeurs, véritablement d'intérêt pour les territoires. S'y ajoutent la création d'aires de covoiturage et des aménagements environnementaux comme des écoponts, des murs antibruit, pris en charge directement par les sociétés d'autoroutes".
Des travaux de fin 2017 à 2019
Ce milliard d'euros de travaux d'ici 2019 devait permettre de créer 5 000 emplois, souligne-t-il. Le secrétaire d'Etat demandera lundi aux préfets de région d'engager des négociations avec les collectivités locales. Avec l'objectif de les finaliser d'ici au 30 septembre pour "engager les premiers travaux à la fin de l'année 2017".
L'exécutif a fait le choix de ne pas faire financer ces travaux par les sociétés d'autoroute en échange d'un allongement de leur contrats de concession car la procédure "prendrait trop de temps". "La négociation qui doit s'ouvrir lundi porte sur l'accord des collectivités locales concernant leur participation. Et le reste sera financé par une augmentation du tarif des péages, qui sera comprise entre 0,3% et 0,4% par an entre 2018 et 2020", explique Alain Vidalies au JDD.
Le secrétaire d'État s'est déclaré confiant dans le fait d'obtenir le financement des collectivités (donc des citoyens). "Ce ne sont pas des investissements disproportionnés, dans une période où les conditions d'emprunt sont bonnes avec des taux très bas", a-t-il justifié.
Source
Privatisation des profits et mutualisation des dettes...
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