Au moins deux personnes sont mortes et soixante-quatre ont été blessées - dont six dans un état critique - lundi après deux importantes explosions consécutives près de la ligne d'arrivée du marathon de Boston (Massachusetts, nord-est), ont rapporté des médias américains. La police de Boston a confirmé ce bilan. Sur place des témoins ont vu des personnes aux membres arrachés par les explosions.
Les chaînes de télévision évoquent une dizaine de personnes amputées dans les hôpitaux de la ville.
Les télévisions et les sites Internet américains montraient des images de chaos, des rues jonchées de débris et des véhicules de secours portant des brancards. Une troisième explosion a été entendue près d'une bibliothèque à plusieurs kilomètres des lieux. L'origine des explosions reste indéterminée. Des premiers témoignages font état de deux colis près du trottoir qui auraient explosé. La chaîne NBC News évoque deux autres engins découverts par les autorités qui les ont désamorcé.
Suivez les événements minute par minute :
23h10. La police a désactivé le réseau mobile pour éviter de nouvelles explosions.
23 heures. La troisième explosion à la bibliothèque JFK n'aurait pas fait de victime.
22h50. La police de Boston tient une conférence de presse. Le commissaire principal Ed David confirme la troisième explosion mais ne fait pas le lien avec les détonations précédentes. L'officier parle d'un troisième engin désamorcé sur l'avenue où les deux explosions ont retenti. Il lance un appel à témoins et annonce que «ce n'est pas terminé».
22h45. La police aurait la photo d'un suspect potentiel. CBS News cite un officiel qui évoque une image de surveillance d'un homme qui serait en garde à vue dans un hôpital de la ville.
22h40. La police interdit les passants d'utiliser leurs téléphones par crainte d'autres explosions. Les téléphones pourraient déclencher d'autres engins explosifs.
22h30. L'agence Reuters évoque une nouvelle explosion à la bibliothèque JFK à l'autre bout de la ville. La police confirme une troisième explosion.
22h15. Les Etats-Unis renforcent leur sécurité. La police de New York a annoncé lundi qu'elle renforçait ses mesures de sécurité tandis que le président Barack Obama a ordonné que toutes les mesures nécessaires soient prises pour enquêter et faire face aux conséquences.
Source
Vu ici
Paul : à qui va-t-on attribuer ce drame ?
Les chaînes de télévision évoquent une dizaine de personnes amputées dans les hôpitaux de la ville.
Les télévisions et les sites Internet américains montraient des images de chaos, des rues jonchées de débris et des véhicules de secours portant des brancards. Une troisième explosion a été entendue près d'une bibliothèque à plusieurs kilomètres des lieux. L'origine des explosions reste indéterminée. Des premiers témoignages font état de deux colis près du trottoir qui auraient explosé. La chaîne NBC News évoque deux autres engins découverts par les autorités qui les ont désamorcé.
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22h50. La police de Boston tient une conférence de presse. Le commissaire principal Ed David confirme la troisième explosion mais ne fait pas le lien avec les détonations précédentes. L'officier parle d'un troisième engin désamorcé sur l'avenue où les deux explosions ont retenti. Il lance un appel à témoins et annonce que «ce n'est pas terminé».
22h45. La police aurait la photo d'un suspect potentiel. CBS News cite un officiel qui évoque une image de surveillance d'un homme qui serait en garde à vue dans un hôpital de la ville.
22h40. La police interdit les passants d'utiliser leurs téléphones par crainte d'autres explosions. Les téléphones pourraient déclencher d'autres engins explosifs.
22h30. L'agence Reuters évoque une nouvelle explosion à la bibliothèque JFK à l'autre bout de la ville. La police confirme une troisième explosion.
22h15. Les Etats-Unis renforcent leur sécurité. La police de New York a annoncé lundi qu'elle renforçait ses mesures de sécurité tandis que le président Barack Obama a ordonné que toutes les mesures nécessaires soient prises pour enquêter et faire face aux conséquences.
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Paul : à qui va-t-on attribuer ce drame ?
mmm... ça sent le "problème-réaction-solution"
RépondreSupprimerÀ qui profite le crime? À qui profite le climat de peur et d'insécurité?...
Sont balaises les zuniens . Ils vont encore nous trouver de méchants terroristes à qui déclarer la guerre et pour faire bonne mesure finaliser le patriot act . Ça sent la loi martiale à plein nez. Du coup on comprend mieux les achats massifs de munitions par les agences gouvernementales ces derniers temps , ainsi que les entrainements des troupes à la lutte anti émeute . Enfants de l'oncle Sam préparez vous à respirer un air à l'odeur nauséabonde qui ne sera pas sans vous rappeler les heures les plus sombres de notre histoire .
RépondreSupprimer"désactiver le réseau mobile". Cela consiste en quoi, exactement ? Est-ce que cela veut dire que plus personne ne peut utiliser son téléphone cellulaire ?
RépondreSupprimer"22h45. La police aurait la photo d'un suspect potentiel. CBS News cite un officiel qui évoque une image de surveillance d'un homme qui serait en garde à vue dans un hôpital de la ville." ???
... [la photo d']un suspect potentiel qui serait en garde à vue dans un hôpital ? Les gardes à vue se passeraient dans un hôpital ?
En tous les cas, l'horreur continue aux USA (et ailleurs). Et nous prétendrions que les consciences s'éveillent ? Pas toutes, sans aucun doute.
Bonjour,
RépondreSupprimerC'est ça Elba. Plus personne ne peut utiliser son cellulaire.
De toute façon, lors de tels événements, tout le monde cherche à se joindre, même le réseau de téléphonie fixe ne fonctionne pas. Je me souviens que lors de l'explosion d'AZF, j'ai essayé pendant des heures de joindre ma famille, le réseau était, semble-t-il, saturé.
Tout n'est pas maîtrisé et induit par les puissances voraces, d'autres facteurs sont en jeu.
Observons.
Edouard
Beaucoup de preuve accable les nationaliste, mais les musulmans seront montré du doigt de gré ou de Force, car ils sont une cible facile..
RépondreSupprimerça sent surtout le pipo et la connerie continuelle, viendra bien un moment ou le cirque finira par s'arrêter ce qui est le lot de toute civilisation profondément vermoulue...
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