De nouvelles études confirment le lien entre la Terre et le Soleil.
Un article récent de la série Picture of the Day abordait les nombreuses questions qui rendent compréhensible la problématique exceptionnelle du Soleil. Il y a des dichotomies graves entre l’idée consensuelle et l’avis de l'Univers électrique sur l'activité solaire. En particulier, l'hypothèse popularisée dans l’ouvrage The Electric Sky (Cieux électriques) du professeur Don Scott, est diamétralement opposée à la théorie thermonucléaire décrite pour la première fois en 1926 par Sir Arthur Eddington.
Ce n’est que dans les tout dernières années que des scientifiques spécialistes des planètes et des météorologues ont commencé à voir les effets du Soleil sur notre climat [sic, ndt]. Or,selon les scientifiques du Centre national de recherche atmosphérique (NCAR), les dossiers d’analyse des taches solaires révèlent depuis les 100 dernières années un groupement d’effets qui n'ont pas été intégrés aux modèles climatiques, car ils n'étaient pas reconnus auparavant dans les données.
Il semble que le cycle de 11 ans du Soleil, qui voit augmenter et diminuer son rendement, soit lié à la sévérité des événements météorologiques, tels que les ouragans ou les sécheresses. Bien que l'énergie solaire varie au cours du cycle des taches solaires, cette variation inférieure à un pour mille est bien trop petite pour expliquer l’énergie observée dans les systèmes orageux ou l’extension des régions de sécheresse.
L'intensification de l’influence de l'énergie solaire sur le climat terrestre ne peut pas être expliquée par les théories actuelles, c’est pourquoi une autre solution a été suggérée. Tel que l’explique la nouvelle théorie, lors du maximum des taches solaires, l’augmentation du rendement énergétique du Soleil réchauffe la stratosphère tropicale, car la majorité des rayons du Soleil affecte le plus directement notre planète près de l'équateur. D'autres facteurs sont impliqués, mais la conclusion ultime est que l'atmosphère se réchauffe de manière inégale, devenant plus chaude près de l'équateur et plus froide dans les latitudes plus hautes.
Cette répartition thermique inégale amplifie la convection atmosphérique, ce qui provoque des précipitations tropicales plus marquées. Combiné à la convection, le supplément d'énergie solaire réchauffe les eaux de l'Océan Pacifique, où, dit-on, davantage de nuages se forment dans une zone où ils sont d’habitude absents. Les nuages remontent ensuite vers l’ouest le long des plus puissants courants de convection (les vents alizés), où ils augmentent les effets du réchauffement de la stratosphère.
Comme la plupart des autres théories, le modèle climatique suggéré par les chercheurs du NCAR est basé sur l'énergie cinétique : la chaleur et la circulation atmosphérique. Nulle part dans la presse scientifique il n’est reconnu que les courants électriques et la force du flux ionisé provenant du Soleil sont les principales causes de la fluctuation climatique.
Comme l’a écrit le théoricien de l’Univers électrique, Wal Thornhill :
Toute étoile est un foyer de « décharge du rayonnement » galactique. L'énergie électrique qui court à travers le Système Solaire et alimente le Soleil est une forme subtile d'énergie que toutes les planètes interceptent à un certain degré. L'orbite des planètes traversant cette décharge, elles interceptent donc une partie de l'énergie électrique. Les planètes sont des « électrodes » mineures [intermédiaires] dans une enveloppe de décharge stellaire. L'énergie électrique est fournie à l'étoile et aux planètes comme à un simple moteur de Faraday.
Puisque l'eau est une molécule dipolaire, l’effet d’attraction des ions sur la vapeur d'eau est évident. Ceci, et l’information de Wal Thornhill au sujet des orages se comportant en « condensateurs qui fuient, » conduit à observer qu’il existe d'immenses champs ionisés dans les halos transparents qui entourent les nuages : Les nuages électriques.
Il est maintenant évident que ces champs ionisés sont liés à la relation avec les rayons cosmiques illustrée par Henrik Svensmark dans son travail avec les chambres de nuages.
L’un des effets des modifications des taches solaires est de faire varier le nombre de rayons cosmiques de la galaxie atteignant la Terre. En 1995, Henrik Svensmark, lui aussi à Copenhague, commença à se demander si les rayons cosmiques peuvent influer sur la couverture nuageuse. Ayant comparé d'année en année les observations satellites des nuages avec le nombre variable des rayons cosmiques, il découvrit une corrélation stupéfiante. Un Soleil plus fort et moins de rayons cosmiques impliquaient moins de nuages et un monde plus chaud. Friis-Christensen était d'accord avec cette explication du rôle du Soleil.
Traduction française: Pétrus Lombard
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