29 avril 2011

Société organique

Ploumanach / France - Géant de pierre

L’ancienne histoire

L’histoire est un outil privilégié pour comprendre le monde dans lequel on vit, mais notre histoire n’est d’aucune utilité, car nous n’en avons aucune. Nous n’avons pas de millénaires d’histoire derrière nous. Nous sommes incapables de remonter au-delà du dernier millénaire sans être au cœur de la spéculation. Même les écrits deviennent nébuleux et difficiles à comprendre sans outils appropriés, dès que l’on dépasse 500 ans.

500 ans d’histoire, quand des hommes vivaient sur la terre il y a 4, 5, 7 millions d’années c’est ramener toute l’expérience de vie d’un homme âgé de 70 ans, aux deux derniers jours de son existence. 200,000 ans d’histoire ne sont rien de plus que les deux derniers mois de sa vie.
N’étaient-ils tous donc que des cannibales illettrés? Et s’il y a eu d’anciennes sociétés, où sont leurs constructions, leurs maisons, leurs artefacts ?
S’il était possible de trouver quelque part dans le monde un artefact de l’ancienne histoire, si gros, si incontestable, si impossible à cacher, il serait possible alors de prouver à tous qu’il a existé d’anciennes civilisations qui ont disparu. Il serait possible de prouver qu’elles vivaient à des endroits où l’éducation moderne a affirmé solennellement que ça n’était pas possible. Que ces sociétés étaient plus développées que nous le sommes nous-mêmes et qu’il existe une classe dominante à la tête de nos sociétés, des gens dont les intérêts sont très différents de ceux appelés « peuple ».
Bien, c’est précisément ce que sont dormeurs géants. C’est être capable d’empiler tellement d’artefacts inconnus de l’ancienne histoire, des artefacts si gros, si imposants, à tellement d’endroits, des régions désertes impossibles à vivre, qu’ils mettent en relief tout un paquet de mensonges incontestables.
Les anciens forts sont encore tous présents. Les anciennes cités sont encore toutes présentes. Des structures si complexes, si gigantesques qu’il est difficile de croire qu’elles ont été construites par des mains.
Ils avaient oublié ? Impossible !

La droite du lézard et la courbe divine

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Cette image provient du Nord du Québec et fut utilisée pour représenter les lignes droites. En bas à gauche, il est possible d’apercevoir un œil gravé dans une forme oblongue de pierre. C’est une tête d’alligator dont une moitié a été arrachée.
La droite n’existe nulle part dans la nature, à l’exception des endroits n’ayant pas de vie. Les anciens avaient bien réalisé cette différence entre ce qui est bon et ce qui est mauvais. La droite et la courbe, qui n’apparaissait qu’aux endroits où il y avait de la vie, ce qui incluait tous les fluides comme l’air ou l’eau.
Cette même relation droite-courbe, au centre du concept populaire dieu-non-dieu et apparait dans diverses facettes de la philosophie ancienne. Les écailles raboteuses des lézards, associant le caractère prédateur aveugle, la vie dans les marécages, étaient mises en comparaison avec les courbes gracieuses des mammifères menant jusqu’à la forme supérieure de vie, l’homme. Cette relation philosophique existait aussi avec le territoire et les dormeurs géants, puisque les formes douces permettaient à plusieurs de bien vivre alors que les territoires escarpés menaient nécessairement à une dure compétition entre les individus pour obtenir les endroits viables, laissant le reste du peuple à la merci de quelques-uns. La même comparaison philosophique existait aussi sur des questions de société avec l’argent qui menait à des différences excessives ne disparaissant jamais ensuite, un rapport de différence avec les pauvres, comparés à la peau du lézard.
Voici ce que le manuscrit de Sepmaine en disait dans la Genèse.

Tout était sans beauté, sans règlement, sans flamme.
Tout était sans façon, sans mouvement, sans âme.
Le feu n’était point feu, la mer n’était point mer :
La terre n’était point terre, et l’air n’était point air :
Où pouvait se trouver un tel monde, le corps de l’air du feu, de la terre et de l’onde,
L’air était sans clarté, la flamme sans ardeur,
Sans fermeté la terre et l’onde sans froideur.
Bref, forge dans ton esprit une terre, qui, vaine,
Soit sans herbe, sans bois, sans animaux, sans vallons, sans plaine,
Un ciel non azuré, non clair, non transparent,
Non marqué de feu, non vouté, non errant :
Et alors tu concevras quelle était cette terre,
Et quel était ce ciel encore ou régnait tant de guerres :
Terre, et ciel, que je puisse chanter d’un style bas,
Non point tels qu’ils étaient, mais tels qu’ils n’étaient pas.
Ce n’était donc le monde, ainsi l’unique matière,
Dont il devait sortir, la riche pépinière,
Des beautés de ce tout : L’embryon qui devait
Se former en six jours en l’état qu’on voit,
Et de vrai ce monceau confusément énorme
Était tel que la chair qui s’engendre, difforme,
Au ventre maternel, et par temps, toutefois,
Se change en front, en yeux, en nez en bouche, en droits,
Tends ici à prendre une forme longue, ici large, ici ronde,
Et ainsi peu à peu faire naître un petit monde.
Mais celui par le cours de la nature se fait,
De laid, beau : de mort, vif : et parfait, d’imparfait :
Et le monde jamais n’eut changé de visage,
Si du grand Dieu sans pair le tout puissant langage
N’eut comme infusé dans ces membres morts,
Je ne sais quel quel esprit qui meut tout ce grand corps

C’était fondamental. L’énergie divine était la vie et cette vie transformait le territoire pour y ajouter de la rondeur, celle de la vie. Durant des millénaires, les hommes se sont donnés comme mission d’ajouter à l’effet divin, car ils savaient que bientôt, cet effort leur serait remis au centuple et que le fruit de ce travail se retrouverait dans la richesse de leur terre et celle de leur santé.
La courbe était le produit du divin. Elle existe partout où la vie s’est installée et avec le temps elle fera naturellement disparaître les droites.

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Temple de Malte

Les demeures, les cités, les divisions, les meubles, tout ce que l’homme d’antan construisait, respectaient scrupuleusement ce principe qui représentait un véritable oxygène.
Jusqu’à ce que l’homme réinvente la droite.

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La culture du carré et celle du rond.

Suivant les conquêtes, nous sommes passés des quartiers latins tout en rondeur, au développement urbain quadrillé, faisant disparaitre cette source d’énergie essentielle, passant de l’organique au minéral.

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Château de Windsor

Cette source secrète d’un oxygène vital disparut, il ne restait qu’à en attribuer au mérite.
Que vous et moi croyions ou pas que cette pratique était ridicule n’a aucune espèce d’importance. Eux y croyaient et comme ils organisaient leurs vies en fonction de leur croyance, tout comme nous le faisons avec nos propres croyances, il est donc possible de les retrouver à travers la planète en fonction de ces paramètres.

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Redonner à Dieu ce qu’il donnait était l’essence même de ce savoir. Il avait donné la vie, la végétation, les hommes et les animaux, ils lui remettaient la vie et sculptaient littéralement les montagnes partout où c’était possible pour y faire apparaitre des formes à la morphologie humaine ou animale, ces formes que j’ai appelées animorphes.
Sur la représentation en haut, le Bouddha dormeur connu le plus gros du monde est en cours de construction en Chine. Il atteint 400 mètres de longueur. Mais il n’est pas le seul. Il existe dans la culture asiatique des centaines de ces bouddhas dormeurs. Bien qu’ils ne soient pas tous de dimension aussi imposante, ils sont tous très grands. En bas à gauche, les artisans les construisaient de leurs mains en empilant des blocs de pierre.
Ces formes n’étaient pas réalisées pour les yeux du monde. Ça n’avait aucune importance à une ancienne époque, que les gens soient en mesure de voir ces formes. Elles étaient faites uniquement pour le plaisir des yeux de Dieu situé quelque part dans le céleste et en invitation à supporter la destinée des gens en dessous. Motivés par la recherche exclusive de cet échange divin, les anciens travailleurs de la pierre n’avaient aucun intérêt à dessiner des formes pour le plaisir des hommes, puisque ces formes possédaient un objectif bien défini.
Ils effectuaient ces travaux, car ils y croyaient profondément et en tiraient avantage. Pour rien au monde, ils n’auraient laissé tomber cette pratique d’eux-mêmes.
Un dicton dit : quand tu ne peux gagner, change les règles. C’est ce que les oligarques firent en amenant l’idolâtrie, qui était le changement de l’angle d’observation des sculptures devenant visibles du sol, mais invisible à Dieu. Ils créèrent une civilisation carrée.
Compte tenu du fait que la civilisation a commencée à devenir plus carré au passage de notre ère à force de conquêtes, il ne sera pas surprenant de ne rien retrouver de carré avant cette époque à l’exception des pyramides angulaires, qui sont une tentative d’une ancienne génération de survivre aux changements alors qu’ils étaient alors dans une phase de civilisation similaire à la nôtre.
Par conséquent rechercher du carré, synonyme à nous moderne d’un critère de civilisation dans la géographie, dans les réalisations, dans les artefacts, dans le savoir, dans les méthodes de localisation même, est une perte de temps. Tout produit de ces civilisations est un assemblage de formes rondes humaines et animales, seules formes répondant aux critères du divin.
Rien de magique ! Une particularité de la physique qui a été gardée cachée comme un inceste, la courbe brachistochrone.
L’illustration la plus simple de la courbe brachistochrone est un plan incliné.
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L’exemple A est un plan incliné droit et l’exemple B utilise la courbe de brachistochrone. En estimant que les deux plans possèdent un angle similaire au sol, le plan incliné B sera plus long. Voilà que deux billes libérées au sommet des deux plans inclinés au même moment, n’atteindront pas le sol en même temps. La bille sur le plan incliné utilisant une courbe brachistochrone B arrivera plus rapidement au sol que la bille libérée sur le plan droit A.
C’est simplement impossible en relation avec l’universelle loi de la gravitation. Cette courbe est la raison pour laquelle l’eau en tourbillon ne s’échappera pas aussi rapidement d’un vase qu’elle le devrait. Bien que la physique moderne aura vite fait de trouver une formulation offrant un nouveau volet de la gravitation expliquant le phénomène, il demeurera un fantôme qui hantera, puisqu’il restera toujours que la bille A, respecte les paramètres de la gravitation tels qu’édictés dans la science moderne et la bille B va plus rapidement qu’elle le devrait.

Les anciens n’expliquaient pas ceci par une particularité de l’application, mais par une énergie additionnelle qui se greffait à la gravité, ajoutant à la somme des énergies propulsant la bille. Ainsi la forme du plan, occasionnait un déplacement particulier de la bille, « seyant aux intérêts divins » qui lui permettait d’embarquer dans la distribution divine et de recevoir sa portion d’énergie. La forme devenait l’artisan de la différence, et une application comme celle illustrée en C dans laquelle la bille passait successivement d’un plan utilisant une courbe brachistochrone, dans lequel elle accumule une énergie plus importante qu’elle ne le devrait au moment d’atteindre le sol, pour remonter un plan droit nécessitant une énergie moindre, était en théorie tout à fait envisageable.
Mais il existait des zillions d’exemples. Autoriser les formes vivantes à déployer dans leur constitution physiologie des courbes adaptées à la manifestation de cette énergie était le divin des anciens. Si la courbe n’y est pas, ça n’a simplement pas l’énergie pour vivre. Vous n’avez qu’à observer la nature qui vous entoure pour vous en assurer, c’est une loi universelle.
Pour les archaïques, la présence de cette énergie était la différence entre la santé et la maladie. Celle entre un individu qui rayonne et un autre qui se meurt. Elle était le passeport pour une longue vie paisible.

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Carte ancienne de l’Europe.

Pour ces raisons, il leur était essentiel de respecter ce principe dans tout ce qu’ils faisaient, toujours. Il était étroitement imbriqué dans la culture de tous les instants et allait bien au-delà d’une croyance populaire, la société était architecturée selon ce principe. C’était la raison pour laquelle ils modifiaient les terres, faisant apparaître ici et là auprès des endroits où ils vivaient ces formes animorphes. Un gain d’énergie facile. La raison pour laquelle tout le savoir des anciens comme la géolocalisation par exemple, était construit en utilisant ce principe.

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Les deux exemples ci-dessus fournissent une comparaison valable de ce qu’est une structure géologique modifiée et une autre qui ne l’est pas.
Dans celle du haut, la montagne est crevassée. Chaque sommet est parcouru d’arête tranchante. Alors que dans celle du bas, les montagnes sont arrondies et il y a un dormeur géant qui apparaît au centre. La différence entre les deux est importante puisque de telles formes animorphes n’apparaissent pas dans l’exemple du haut. La texture est simplement incompatible avec des formes animorphes, et ce, à toutes les échelles. Des changements importants du décor seraient nécessaires pour être en mesure d’y réaliser une telle forme et de tels changements laisseraient une texture de paysage similaire à celle du bas.
La forme animorphe est une tête. Elle aurait pu être un mammifère, un lézard, un bras, une jambe, une main, un poisson, un pied, des scènes ou un personnage en entier.

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Elles sont souvent constituées d’une mosaïque de personnages, tous constituants d’un animorphe encore plus grand.
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Inscrits à flanc de montagne, de façon à tirer parti de l’exposition maximale au soleil levant, de tels composites peuvent représenter aussi des visages et des humains en entier.
Ils n’y représentaient pas n’importe quoi, mais la destinée désirée. À l’exemple, une terre de chasse était un cerf, une terre marécageuse était représentée par un lézard, l’endroit où les hommes vivaient était une représentation humaine. Cette simplicité dans la destinée disparait dans les derniers millénaires pour être remplacée par la droiture de l’artère servant à la parade des conquérants et les monuments qui l’entourent, alors que la véritable destinée, celle animorphe se terre dans les possessions oligarque.
L’oeil d’un visage toujours tourné au levant était le temple, l’endroit où étaient reçues les inductions divines. La tête était la cité dont le centre d’intelligence, le roi ou le ministre ou le sage, occupait la position la plus à l’ouest derrière l’oeil. L’analogie avec l’humain se poursuivait dans la confection de la tête, puisque des attributs similaires à ceux des centres nerveux humains étaient prêtés aux différents endroits de la tête comme en témoigne le centre d’intelligence qui occupait la position du cortex visuel pour ses aptitudes à tout voir. Une pratique qui s’est manifestement poursuivie jusqu’à nos jours.

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L’inscription d’une longue liste de personnages dans une mosaïque est une technique plutôt récente. Les anciennes formes sont des images recomposées à la façon d’une fractale, ou des images parfois s’apparentant au surréalisme comme ici Dali, qui était un champion de cet art.
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De plus, les formes sont parfois réalisées en dénudant la couche de pierre sous-jacente de sa couenne de terre. Comme la pratique animorphe a cessé au tournant de notre ère, la plupart des formes sont aujourd’hui recouvertes de 20 siècles de dépôts de toutes sortes et parfois difficiles à percevoir.
Les formes territoriales plus récentes utilisent la couleur pour souligner le territoire et parfois la végétation.

Les dormeurs géants et les anciennes cités

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Avez-vous déjà eu le sentiment d’être observé dans une foule?
L’oeil est un organe particulier. Sa constitution est telle, que même s’il nous est possible de voir sur pratiquement 180°, notre regard attentif n’occupe qu’un cercle d’une dizaine de degrés au centre de notre vision. Le reste de la vision appelé vision périphérique est en mesure de voir sans pouvoir distinguer de détails. Elle n’est pas là sans raison, car elle possède une aptitude particulière sans doute héritée de cette éternelle quête proie-prédateur, celle de percevoir le mouvement.
Nous avons de la difficulté à identifier tout ce qui se trouve dans cette zone du regard et pourtant même si notre attention est captivée, nous parvenons à détecter le passage d’une araignée qui traverse la pièce à 20 mètres.
De surcroit, cette vision périphérique possède un don insoupçonné pour repérer le mouvement des yeux. Cette aptitude inscrite dans les gênes est la première faculté que l’enfant développe lorsqu’il comprend que c’est dans le regard qu’il obtient en premier l’attention de sa mère. Ce petit cercle ténébreux qui occupe le centre de l’oeil représente la conscience de l’autre. Il est toujours le premier contact avec un autre, il est le premier élan de la séduction entre les individus. Sa forme particulière oriente la lumière de telle façon qu’une minuscule déviation du regard modifie toute la réflexion lumineuse, attirant immédiatement notre attention. Qu’un seul individu nous observe dans une foule et notre cerveau animal le détectera et répètera avec insistance cette alarme dans notre esprit conscient.
Les anciens jugeaient que la présence d’un oeil dans un visage accrochait le regard autant que les mille feux du diamant. En fonction de leurs croyances, ils estimaient que ceci n’était pas seulement vrai pour les humains, mais pour Dieu. Que ceci était la façon dont les armées de Dieu étaient en mesure de retrouver les brebis, d’écouter leurs prières et de supporter leurs dessins et que cet oeil, tout comme l’oeil d’un individu perdu dans une foule, brillait de mille feux dans le désert de vie et sa composition intelligente, annonçait la présence de ses choyés, ceux qui reconnaissaient sa présence.

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Plan de la cité de Cuzco

Dessiner les terres et la cité pour qu’elles soient agréables aux yeux de Dieu était une tâche longuement planifiée parmi les sages. La tâche de « divinisation » de la terre, que chacun des habitants allait réaliser sur sa propre terre, ne pouvait être laissée au hasard et devait nécessairement s’imbriquer dans la grande représentation.
Agrandir la cité était une tâche proprement impossible, sans déformer la figure d’origine ou sans y imposer un changement radical qui modifiait sa destinée du tout au tout, ce qui avait comme conséquence de soulever la curiosité et parfois l’ire des dieux.

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L’oeil était très important et c’est cet oeil encadré dans un visage qu’il faut rechercher en premier dans les découpes reliefs. Il ne sera pas toujours dirigé vers l’est. De légères fluctuations affectent l’orbite long terme de la terre modifiant la direction idéale, celle du levant. Mais c’est généralement dans cette direction qu’il sera possible de retrouver l’oeil original.
Pour bien cibler la croyance, car elle est encore en activité partout dans les faits, l’oeil était l’autel. C’était l’endroit où la destinée requise et les demandes aux dieux étaient exprimées à des moments précis. La cité prend place en C, et se développe vers l’oeil et le corps. La position royale est à l’extrême ouest de cette tête.
Cet endroit dont la dimension ne dépasse pas celle de l’oeil, qui occupe la position du cortex visuel dans le cerveau humain, bénéficiera de l’avantage d’être favorisé par les dieux et de devenir le récepteur éthérique, de tout ce qui se passe entre les deux, susceptible d’affecter la destinée. Un vague mélange des idées-intentions-souhaits-sympathies-haines, du territoire intermédiaire. Ces endroits sont encore convoités aujourd’hui par une classe privilégiée.
Cibler un géant, c’est ouvrir un champ de recherches extrêmement riche.

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Voici ce qui s’approche le plus des divinités de la terre aux yeux des anciens.

Ces formes animorphes qu’ils percevaient ici et là, étaient la démonstration de la sanctification de la terre. Que ce résultat soit le produit de l’effort divin sur des millénaires ou celui de la valeur ajoutée par le travail humain, cette terre possédait les caractéristiques indiquant qu’elle était sous l’autorité des dieux et que par conséquent, elle était bonne et il ne pouvait y survenir que de bonnes choses.
Il existe plus de 13 visages dans cette seule représentation. Bien que ne disposant pas d’alignement précis au contraire de ceux disposés par les anciens,  c’est un mariage similaire de la morphologie et du territoire qu’il est possible de retrouver vu des hauteurs.
Installez-vous sur n’importe quel continent autour de la limite du cercle arctique le dos au pôle en utilisant des photos satellites (Google Earth) et vous aurez vite fait de mettre la main sur un lot riche. Ne sous-estimez jamais la capacité de réalisation de ces anciennes sociétés, ces formes sont parfois gigantesques et visibles à des centaines de kilomètres d’altitude. Les plus récents sont généralement les plus petits. Ils sont inscrits par l’intermédiaire de supports moins permanents comme la verdure ou des terres colorées qu’ils saupoudraient ou peinturaient, mais les anciens animorphes sont toujours en pierre et plus on recule, plus ils sont gros. Jusqu’à devenir très gros. Les plus gros sont les continentaux.
Nous présumerons à un autre moment des causes de telles modifications.

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Tous les continents et toutes les îles du monde, possèdent une forme animorphe. Parfois humaine, parfois partiellement humaine, parfois animale, parfois bien alignée, d’autre non. Mais tous, peuvent cadrer dans une silhouette ou une autre.
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C’est cette similitude qui fut utilisée à la base de l’ancien système de navigation, jusqu’aux Romains. Les formes qu’ils possèdent ont servi jusqu’à la période antique à afficher la nationalité des représentants lors de rencontres importantes, tout comme les drapeaux le font aujourd’hui. Toutes les représentations anciennes montrent des individus dont la coiffure signait une forme ou un bouquet de caractéristiques appartenant à leur territoire d’origine.
Mais ces formes ne sont pas de simples formes, car elles ont toutes été ouvrées et elles possèdent toutes un oeil précisément à l’endroit ou un oeil doit se situer. Cet oeil est parfois un lac, parfois une oeuvre particulière, mais dans tous les cas, il sera possible de le distinguer. De plus, il apparaît que la grande région derrière cet oeil est toujours la plus riche avec une vie et une verdure prolifique. Elles ont toutes été des lieux importants des anciennes sociétés.

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D’une dimension intermédiaire il y a les très grands géants comme ici le « Dormeur géant » de Thunder Bay Ontario, c’est le véritable nom de ce complexe. Ces géants de pierre sont les plus anciens. Parfois un camouflage de couleur ou un fort couvert de verdure vient estomper la présence du géant, mais ils sont simplement gigantesques et c’est certainement la raison pour laquelle peu furent retouchés. La plupart présentent des formes s’apparentant à celle laissée par la civilisation Mu et possèdent quelques ressemblances avec les mohaï de l’île de Pâques.
Les dormeurs sculptés autour de plateaux ou de hautes montagnes font usage de la parallaxe et ne sont visibles qu’à la verticale. Tous les autres possèdent un relief permettant un regard maximisé au soleil levant. Comme le lever de soleil doit parfois franchir des chaines montagneuses et que les hauts reliefs interdisent le soleil du matin, les dormeurs était alors inversée la tête en bas, de façon à offrir un visage au levant, le moment où le soleil franchissait la barrière montagneuse.
Plus petit encore, mais toujours de pierre, sont les dormeurs Maris reconnaissables à leur grand turban enrubanné sur la tête. Cette génération est plus récente. Les maris sont les habitants de l’époque de l’Atlantide avant son dernier engloutissement, il y a 5000 ans. Ils étaient donc la dernière génération avant les changements, un peu comme nous moderne. Cette civilisation possédait la technologie et le savoir des atlantes, mais ne possédait pas tous les moyens pour la reproduire comme leurs prédécesseurs, engageant une irrémédiable décadence jusqu’aux grandes chaleurs.
À la fin de la dernière grande génération humaine, il y a 5160 ans, l’eau se mit à disparaître et les sources se tarirent. Les mers se retrouvaient confinées aux limites des grands bassins océaniques et la chaleur insupportable obligea les hommes qui restaient à se rapprocher des pôles ou à s’enfoncer sous terre. C’est ce que choisirent de faire les civilisations situées sur la grande bande de terre entre les deux tropiques. Ils construisirent des pyramides qui servirent de refuge. Les arches. Mais cette stratégie a partiellement échoué et elle ne fut pas répétée.
Deux grands groupes d’individus aboutirent donc aux deux pôles.

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Peu d’informations nous sont parvenues de ceux qui ont abouti au pôle Sud. Au moins deux races ont émergé d’un pôle Sud étendue, repoussées par le froid. La première est blanche et elle se retrouve en Patagonie à la pointe sud de l’Amérique. La seconde est noire et se retrouve au Tassili sur la pointe sud de l’Afrique.
Ces deux races provenant de la génération précédente des géants survécurent au déluge et aux changements planétaires, qui induisirent dans la génétique de la planète un humain plus petit. La race noire s’adapta et il est possible de croire qu’une partie des géants de Patagonie s’adaptèrent aussi pour devenir la race andine. Mais certains y échappèrent et existèrent après la colonisation moderne comme en témoigne la représentation.
Que leur évolution ne se soit pas adaptée à ce moment occasionnait un malheureux problème, car leur différence devenait le témoin d’une inadaptation. Sous l'impulsion divine, le nouveau minuscule jugea qu’il devait être la norme de l'évolution.
C’est sur la pointe nord de l’île Ellesmere que les survivants du nord trouvèrent le peu de fraîche nécessaire à supporter les cultures. C’est de ces quelques communautés que descendent les hommes de la planète.
Tout comme les amish, ils étaient amoureux de la terre et rejetaient la technologie. Un millénaire se passa sans changement notable autre que celui de l’expulsion de Caen après son crime. La mort de son frère possède une signification symbolique. Après que Caen le forgeron a tué Abel le cultivateur, Adam l’expulsa du paradis terrestre et il est dit qu’il se réfugia alors sur une île.
Le mot forgeron signifiait alors que Caen était un utilisateur des arts extraordinaires, ce qui fut appelé par la suite la magie blanche et que nous appelons aujourd’hui la science et la technologie. Une direction fortement réprouvée et qui le fut régulièrement tout au long de l'évolution humaine. La société Atlantide avait appris beaucoup aux hommes sur leurs travers et certains voulaient changer les choses.

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Le froid repoussa les adamites vers le sud, sur tout le pourtour de la planète et la multiplicité des évènements et des nations pendant les 6000 ans qui suivirent, donna notre société moderne.
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Toutes les sociétés qui suivirent dans l’histoire se développèrent dans l’hémisphère nord dans une vague millénaire, qui repoussait la ligne du climat tempéré toujours un peu plus vers le sud. Ces grands changements s’étiraient sur un demi-siècle et le grand plateau de glace redessinait le sort des hommes.
Dans la connaissance des Chaldéens, il existait 8 axes privilégiés de l’énergie céleste, qui permettait d’un côté une zone où l’énergie divine grandissante se faisait ressentir plus fortement. De ces 8 axes, 4 sont plus importants et forment une croix. Les zones colorées en rose identifient les quatre zones les plus fortement soumises à cette énergie divine.
C’est dans les zones roses couvertes par le membre vertical que de nouvelles générations d’hommes sont apparues. C’est principalement sur celle couvrant le Québec en bas que les générations menant aux hommes d’aujourd’hui sont apparues et même s’il est plausible de croire que la race chinoise aurait pu émerger de la zone rose recouvrant le désert de Gobi, il n’y a pas de certitude à cet effet et il s’agit peut-être d’un bourgeonnement survenu plus tard.
Le membre vertical identifie aussi le déplacement de la calotte glacière au fils des millénaires, passant des Bahamas à Borobudur en Indonésie, fermant successivement les mers aux pôles, les portes d’Hercules. Le déplacement de la calotte doit être joint à celui de la bande désertique qui entoure la planète à la hauteur de l’équateur. Les mouvements célestes feront que par moment, ces deux frontières se rejoignent pour ne laisser qu’une mince ligne de vie entre les deux, ramenant la population des continents concernés à bien peu de choses.

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Comme l’assiette de glace possède une oscillation régulière à travers les âges, grugeant ou pondant toujours la même quantité de glace dans une période précise, les ancêtres chaldéens utilisèrent cette donnée pour mettre au point une unité de mesure de distance, doublée d’une de mesure angulaire et d’une unité de temps pouvant encadrer ces changements. Tiré du « Ellesmere », le Ell était cette unité de mesure égale au yard qui nous est parvenue aujourd’hui à travers le système métrique. C’est à coup d’un million de ces yards que le territoire était condamné ou libéré à chaque millénaire, repoussant les hommes à la limite du désert suivant. C’est après un grand cycle de 1000 ans que ce changement se produisait, dès que la grande orbite de 360° était complétée.
Les lignes jaunes constituent les lignes de puissance vitale les plus fortes. C’est sur cette zone que les nouvelles civilisations se sont installées. En comptant en année-yards depuis la création du monde adamique, la ligne représente l’endroit le plus propice à recevoir la vie dans les premiers moments suivant les grands changements. À ceux du deuxième millénaire, c’est sur la ligne 2000 qu’ils redémarrèrent et essaimèrent. Au fur et à mesure que le temps passe, la zone de sécheresse glisse, ouvrant graduellement le territoire vers le sud, avant que ne survienne un autre passage de millénaire.
La zone de la période 2000 après Adam ne se rendait pas du côté européen et n'autorisait pas la vie. C’est exclusivement dans le territoire de Baffin et du Grand Nord canadien qu’il est possible de les retrouver. Le futur nous apprendra que le sud du Groenland possède beaucoup plus d’histoire qu’il n’était possible de le croire.
Il s’est passé un autre millénaire avant que la vie ne puisse prendre pied et se maintenir sur le nord du Québec, de l’Europe et de la Russie.
 
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Il fut dit qu’à cette époque, l’homme perdit la direction de Dieu et les anomalies génétiques s’accumulèrent, ce fut l’époque des chimères. Violemment, l’eau revint et ce balayage décidé par un Dieu vengeur présida à la destinée de Noé sur les marques de la ligne 3000. Peu de temps après, Nimrod conduisait un nouvel empire appelé Babylone, le premier grand empire après le déluge. Nimrod fut appelé « Grand chasseur devant l’éternel » une chasse qui n’a rien à voir avec les animaux.
Dans le terme du millénaire suivant, Jésus apparaissait. 50 ans avant sa naissance, des sociétés aussi élaborées que nos sociétés modernes existaient. Violemment frappé par la nouvelle donne climatique et la ligne de froid qui descendait beaucoup plus au sud, la vie comme elle était auparavant, fut interdite. Dans une crise climatique similaire à celle dans laquelle nous entrons, ces anciennes sociétés se sont morcelées avant de s’effondrer.
Jusqu’à l’an zéro, la plus grande partie de la population mondiale se retrouvait en Amérique. La terre de Japhet fut appelée la terre sainte pour avoir vu naître de nombreuses générations de nouveaux hommes et aussi parce qu’elle est raccordée par le nord du Canada, à une terre très particulière ayant présidé à la naissance de l’homme, l’île Ellesmere, appelée le paradis terrestre.
Pour les 2000 ans qui allaient suivre, l’assiette de glace du pôle Nord allait glisser vers le sud du côté de l’Amérique et elle allait quitter le nord de l’Europe où elle libérerait de nouvelles terres. D’une maigre ligne de vie le long des côtes de la Méditerranée et de l’Atlantique, l’Europe devint ce qu’elle est.
À l’époque Jésus, la glace et le froid ont déjà commencé à descendre sur le Nord québécois. À terme, ces perturbations laissèrent la vallée du Saint-Laurent pratiquement inhabitable dans la première moitié du premier millénaire. La population du se recentrer autour des côtes de l’Amérique et développèrent les cités thématiques portant les mêmes noms que les anciennes cités et destinées à leurrer les navigateurs. C’est à partir de ce moment que débuta la création d’une série de comptoirs commerciaux sur le pourtour de la Méditerranée et le long de la côte Atlantique, destinés à devenir de nouvelles cités thématiques qui allaient porter le nom des cités bibliques et qui serviraient à leurrer la future génération de marins.
Le Québec, l’Ontario et le nord-est des É-U devinrent le coeur de la génération celtique qui perdura encore près de 1000 ans, se terminant par les Normands qui furent les derniers à laisser au 14e siècle, avant la redécouverte de l’Amérique un siècle plus tard.

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Ici en surimposition sur la carte de l’Amérique, la carte animorphe ne correspond pas exactement, car elle nécessite une projection cartographique particulière. La pointe de l’épée devrait se situer à la pointe d’Ellesmere. Néanmoins, la courbe du cul du cheval correspond parfaitement à la rondeur de la chaine des Rocheuses. Les sabots couvrent la côte américaine jusqu’en Floride et couvrent assez bien les maritimes Canadiennes. Cette carte indiquait le territoire protégé à la colonisation. En ajustant au mieux les particularités de l’animorphe, toutes les caractéristiques aboutissaient sur des endroits qui furent au coeur des anciennes sociétés. Chacun des Lys et des membres de l’animorphe, sa tête son bouclier et sa couronne, constituait les territoires d’anciennes royautés. Sa brillante boucle de ceinturon se déposait sur un endroit de grande importance correspondant avec la tête du Jésus dans cette représentation religieuse de la Nativité, de Jean Batiste Marie Pierre.

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Cette peinture dévoilait dans son arrière-plan, une luminosité dont les contours imposent une forme similaire à celle du Québec.
Le cercle A sur la photo satellite correspond à celle de la tête du Jésus. Au-dessus du nuage, on peut y distinguer une coloration brunâtre. De la même façon, dans la grande zone B située à l’endroit occupé par Marie, il est possible de distinguer un amalgame de coloris allant du vert foncé au brun rougeâtre.

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C’est aussi la région certainement la plus riche en dormeurs géants et en terre travaillée de la planète. Mais encore, la région du Saguenay Lac Saint-Jean au Québec a été à un moment de l’histoire entourant la naissance de Jésus, au centre de très grands évènements. Cette région qui s’étire à précisément 4,000,000 de yards de la terre mère adamique de l’ile Ellesmere fut taillée pour imiter la région mère à la perfection, incluant le grand visage existant entre les deux bras d’eau. Entièrement sculptées dans la roche, les découpes de cette région jusqu’au fleuve Saint-Laurent sont un véritable totem offrant des scènes d’une conception exceptionnelle, qui n’ont pas leurs pareils à une époque aussi récente. Ce fait, en plus de la proximité de Babylone et de l’endroit identifié pour Jésus, laisse planer l’idée qu’il existe une relation. Une autre possibilité est que profitant des grands changements de l’époque, cette région du Saguenay fut modelée pour devenir un parc thématique, ces endroits qui imitaient d'anciennes cités et qui visaient à tromper les navigateurs.
Dans le Québec, bien peu de terre n’a pas été retournée dans les derniers millénaires, il n’y a pas de roche qui n’a pas été sculptée ou de lac dont les contours n’ont pas été travaillés. Ils possédaient des communications intercités, tout aussi élaborées que les nôtres faisant usage des voies d’eau.
Le réseau de rivières était aménagé en fonction des besoins et permettait de quadriller le Québec. De nombreuses rivières sources ont été divisées en deux pour alimenter des bras de rivière dans des directions totalement opposées, aboutissant sur des faces différentes du continent permettant aux convois de traverser le territoire. Une tâche faramineuse.

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L’utilisation des couleurs pour identifier l’appartenance en représentant des personnages n’est pas unique. Voici un exemple frappant de l’une de ces peintures prises dans le Magadan, une province orientale de Russie. Cette grande fresque polychrome digne des grands impressionnistes est composée de multiples personnages et s’étire sur 300 km le long. Une analyse de ces zones démontre que les différences de coloris sont parfois attribuables à une végétation différente, mais le plus souvent à une coloration du sol lui-même. Les formes résultantes ne sont pas le fruit du hasard, mais possèdent des contours soigneusement délimités, formant ici un bras et là une tête.
Poursuivant la science divine des dormeurs géants, les civilisations d’antan marquaient leurs territoires en utilisant divers oxydes, formant des dormeurs géants parfois gigantesques, possédant de magnifiques couleurs. Les couleurs visibles sur cette photo satellite ont été saturées par un traitement numérique. Néanmoins, elles reflètent des couleurs véritables selon une découpe précise et sont visibles aussi sur le terrain. À une altitude de 1500 kilomètres comme celle à laquelle fut prise cette photo satellite, il devrait être normalement possible de retrouver une couleur plus homogène n’ayant pas de tels extrêmes.
En fait, l’analyse démontre qu’aucune tache ne possède une origine naturelle et que la centaine de taches brun-rougeâtre visible sur cette photo satellite furent un jour des territoires identifiés aux couleurs d’un peuple ou d’une tribu. Mais le territoire identifié par la lettre B, possédait beaucoup plus à nous révéler.

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Les riches coloris de cette fresque russe ne sont pas uniques, ils ont simplement l’avantage de ne pas avoir été corrompus par les sociétés qui y ont habité depuis. À l’exemple, ce magnifique visage qui s’étend sur près de 2000 kilomètres au sud-est des É-U.
Bien qu’encore visibles, les couleurs n’ont jamais été renouvelées et ses contours ont été modifiés par des civilisations successives laissant apparaître des yeux à quelques endroits, avant d’être finalement avalées par le développement urbain.
C’est à cet endroit du Nord du Québec qu’apparait une structure unique dans le monde.

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Incomparable!

S’étendant sur plus de 1500 kilomètres carré, et visible à plus de 500 kilomètres d’altitude, une formation gigantesque s’assemble sous la forme apparente d’un aigle. Symbole de l’héraldique, l’alérion était un aiglon qui était des couleurs de nombreuses familles.
De chaque côté d’un corps central, une dizaine de plateaux larges de 1,5 kilomètre et longs de plus de 50 entourent une importante dépression triangulaire, jadis utilisée comme lac central dans lequel apparaissent de nombreux dormeurs géants. Des rivières se croisent à chaque extrémité de la cité, donnant accès aux quatre faces du Québec, le fleuve Saint-Laurent à la hauteur de Sept-Îles, l’Atlantique par le Labrador, la mer arctique par la baie d’Ungava, la baie James et l’Ouest Canadien par la rivière Chisasibi. Avec un canot, une pagaie et un sac à dos, un homme pouvait se rendre de là à là et devenait totalement maître de plus de 9,000,000 de kilomètres carré, une surface d’une dimension s’approchant de celle de la Chine moderne.
Chacun des plateaux possède une face abrupte d’une soixantaine de mètres de hauteur donnant vers l’extérieur de la cité, constituant un rempart contre d’éventuels assaillants. L’autre versant est optimisé pour la culture et tire parti du soleil jusqu’aux derniers rayons de la journée. Ils possèdent tous une pente intérieure qui varie selon l’orientation au soleil de 15 à 20° et chaque plateau donne sur une rivière, conduisant les eaux jusqu’à l’extérieur de la cité par un déversoir autonome.
La cité est entourée d’un dédale de massifs montagneux et de valons remplis d’eau rendant impossible l’accès par la terre et obligeant celui qui les utilisait par la navigation à savoir ou il allait au risque de se perdre.
En tournant dans les terres du Québec à cet endroit, il était possible d’accéder à la rivière Chisasibi, une de ces routes maritimes discutées précédemment qui permettait l’accès au territoire dessiné par les contours du Jésus et celle de Marie sa mère, qui incidemment, tombait précisément sur cette étrange structure identifiée par l’Alérion situé à la frontière du Labrador, dont les plis des vêtements de Marie dessinent les voies d’eau de cette région. Oh symbolique ! :

Les terrasses de Babylone

Elle fut appelée l’Alérion (ou Yllérions), un aiglon de l’héraldique et un oiseau emblématique de Babylonie qui possédait des ailes tranchantes comme un rasoir. Les seigneurs de Montmorency furent les derniers à l’utiliser en héraldique.
La fameuse île appelée Babylone retrouvée sur les cartes des premiers explorateurs du Québec, qui ne porte plus de nom aujourd’hui, n’identifiait pas l’ancienne Babylone, mais était un indicateur de direction pointant le seul chemin encore accessible alors que les glaces descendaient beaucoup plus au sud que maintenant.
Ceci est sans conteste le plus imposant vestige de main d'homme visible du ciel.

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Le lac central a dû être une composition magnifique avant d’être maquillé par la longue succession de conquérants. Malgré les saccages, on peut néanmoins percevoir après traitement numérique de l’image satellite certains des visages et personnages dans la représentation de gauche. À droite un des nombreux dormeurs qu’il est possible de retrouver partout sur le site.
Deux personnages se chevauchent dans cette représentation. Le personnage le plus apparent est celui qui regarde en haut vers la droite. Il possède des caractéristiques appartenant aux cultures aztèques ou coloniales, mais certains traits comme le chapeau en pointe qui prolonge maladroitement la tête n’appartiennent pas à ce personnage et proviennent du personnage précédent dont le visage était orienté vers la gauche. Plus difficile à distinguer, son nez dépasse et il possède une barbe qui s’avance au-delà du nez. Le chapeau en pointe et la barbe avancée était des traits appartenant aux mages babyloniens. L’observateur pourra distinguer deux autres personnages qu’il est possible de repérer par les bras qui émergent de chaque côté.

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Encore plus intéressant est ce personnage qui semble pointer le ciel du doigt. La palette de son casque au dessus des yeux et la crête crénelée à l’arrière, indique le centurion romain. Mais ici, le dormeur a été travesti puisque ces traits de Romains caricaturaux furent ajoutés sur ceux d’une femme.
Dans une autre génération, un Maure soufi aux culottes trop grandes et au chapeau typique fut ajouté sur la tête du centurion. Sans doute un lien avec la baie des Moar à quelques centaines de kilomètres à l’ouest.
Par la suite, toute une famille d’ours fut ajoutée sur le personnage maure.
Ce ne sont pas les seuls dormeurs géants, il fut possible d’en compter plusieurs centaines dans un rayon de 50 kilomètres.

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Carte de la cité de Babylone, découverte lors de fouilles près de Bagdad, Irak. Une misérable farce qui n’a jamais répondu aux descriptions anciennes qui en existe. Mais ces questions ne sont pas nouvelles, déjà les auteurs les soulevaient il y a 200 ans. Elles ont simplement été laissées à l’écart de la science populaire moderne et sont aujourd’hui qualifiées de pseudo-sciences.
C’était si facile. Ils fabriquent ce qu’ils ont besoin de fabriquer pour répondre aux curieux.

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Wemindji, Fort McKenzy, tous les accès à cette région ont été sous restriction dès le début de la colonisation et des comptoirs de la Compagnie de la Baie d'Hudson y ont été ouverts. Il n’y a pas que cet endroit, il en est ainsi pour toute la terre de Rupert, le nom donné à cette terre qui fut remise par charte par le roi Charles II à la « Compagnie de la Baie d'Hudson » en 1670. À l’exemple des négociations territoriales avec Terre-Neuve concernant le territoire du Labrador, le protocole est très lourd chaque fois qu’une négociation territoriale doit avoir lieu sur ces frontières.
La traite des fourrures vous dites...

Le langage des dormeurs géants.

Bien qu’il apparaissait sur les anciens dormeurs, le corps des dormeurs géants n’est pas nécessaire autrement que pour représenter une destinée. Le corps était utilisé pour tracer le contour des cités et pour modifier le visage précédent aux traits du nouveau conquérant à la suite d’une prise de pouvoir.
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À peu de choses près, le profil d’un demi-visage est semblable à celui d’un demi-personnage avec la main à la hanche. Cette particularité n’échappa pas aux anciens conquérants qui utilisèrent cette méthode pour remodeler le visage précédent en ajoutant une tête nouvelle et en faisant disparaître les reliefs du visage précédent pour former le corps.
Pour récupérer l’adoration vouée par les anciens à ce culte, les oligarques mirent au point une technique qui tirait parti de l’orientation du géant et de l’abomination que constituait un géant mal orienté aux yeux du peuple. Aux yeux des anciens, un visage mal orienté était une corruption qui conduisait à des changements indésirables.
Des visages monstrueux affichant des traits de lézard, d’aigle et autres prédateurs furent concoctés et imposés aux conquis, qui cessèrent derechef la poursuite du culte de la façon dont il avait toujours été pratiqué. Une voix de service misérable, glissant entre le carré et le rond nous amena aux cultes modernes et ses églises. Une façon de centraliser le culte à travers des « importants » qui saurait nécessairement en tirer profit, comme les confessions du vulgaire et les héritages des mourants par exemple. L’observateur pourra reconnaitre dans le profil corrompu, le masque utilisé lors de certaines danses rituelles indiennes.
Le nouveau culte imposé par les conquérants était clair, la nouvelle mascotte en était le témoin et il était assez difficile de se cacher. Tout manquement aux règles édictées devenait vite évident et afficher ses couleurs n’était simplement plus possible.
2 ou 3 millénaire d’un tel régime et plus personne se souviendrait des dormeurs géants.
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Les représentations qui contiennent des personnages entiers sont généralement vouées à la destinée. Comme dans l’exemple du haut, ils seront dessinés immédiatement derrière l’oeil en B. La petite élite se retrouve en haut de C, alors que la population se développe vers le bas. L’Oeil accroche l’intérêt du divin dont la position dévie constamment vers l’Ouest. C’est à ce moment qu’il fera lecture de la destinée, celle des tendances et intentions de la population et témoignera de ce résultat en A.
Les visages sont parfois aussi sculptés à la chaîne comme dans l’exemple du bas. Cette technique visait à obtenir un front d’indulgences divines réparties équitablement en direction ouest sur un territoire.
De la même façon, des mains et des pieds ont été parfois représentés. Des pieds disposant 5 beaux orteils ou des mains avec 5 beaux doigts trônent comme le feraient les visages et allient le phare identifiant la présence humaine et une catégorie d’individus se réclamant de Dieu. Une singularité qui ramène en perspective les géants à 6 doigts de la bible.
Des vulves, des pénis, des chats, des chiens, des lions, des ours, des éléphants, des mammouths, des dinosaures, des tortues, des lézards, des crocodiles, des aigles, des serpents, des poissons et des monstres constituent le reste du bestiaire.

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La destinée est une représentation inspirante et généralement très claire.
Camaraderie, royauté, force, égalité sont souvent représentées par des empilements de personnages. La couronne royale par exemple était le regroupement des individus sous une bannière, chaque pointe représentait un des individus associés également dans la destinée.

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Certaines destinées portent une symbolique beaucoup plus complexe, comme celle de la ville de Washington.
La tunique ou la couronne sont synonymes de « maître désigné » par la population associée. Prêtre, président, premier ministre seraient des termes équivalents acceptables. Il possède le droit d’agir même à l’encontre de sa population s’il le juge nécessaire.
Le visage lézard est un symbole, comme la croix, comme le furent le trident, le pentagone et beaucoup d’autres. Le symbole est une étiquette permettant d’attacher ensemble les destins de géants dormeurs distants les uns des autres. Par le symbole apparaissant dans la destinée du dormeur géant, il est possible de rallier une force d’intérêt commun qui se reconnait dans le véritable monde. Par le simple port du symbole, il est possible de ramener une partie de l’attribution divine spécifique à la grande destinée de ce symbole, à soi, partout.
Certaines de grandes corporations modernes utilisent cette technique et affichent leur marque de fabrication de cette façon. Mais toutes les entreprises ne tirent-elles pas parti de ce phénomène lorsqu’elles affichent leur bigmac et leur police d’assurance?
Dans tous les cas, le serpent, le lézard, le crocodile, l’aigle et le lion partagent une destinée qui passe par le dieu de l’or (l’argent) pour établir une dominance totale identifiée par le prédateur.
Hors tout, il est possible de voir ces mascottes comme un symbole précis identifiant le monde-financier et tout ce qu’il contient.

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Avec le prêtre qui possède un chapeau babylonien, nous venons de faire le tour de la faune du billet de $20 canadien.
Le prêtre de la sombre fresque washingtonienne possède dans sa main gauche un serpent, et une boite sur le front qui lance des boules en direction de l’autre main. Elles sont dirigées sur la tête d’un fœtus situé dans l’autre main, duquel émerge de la tête, un lézard possédant lui-même sur sa tête un réseau filamentaire.

Voici la signification de cette destinée :

Le prêtre est le directeur de toute cette action. Par des outils qu’il possède sous forme de boîte (livres, téléviseurs), il lancera des germes du concept lézard dans la tête des fœtus humains, qui fleuriront. Un humain ou un lézard qui émerge de la tête d’un humain sont des destinées assez fréquentes. Elles témoignent d’une direction implantée, une sorte de sous destinée requise qui n’est pas directement à l’usage de la destinée principale, mais à celle de son principal représentant.
Les idées lancées par cette main possèderont plus de relief que les autres et seront plus attrayantes qu’elles ne devraient l’être.
Les dormeurs géants sont une prière. Cette prière exprime la présence d’humains à l’attention de Dieu et la destinée réclamée. L’oeil, la courbe de la joue et du front, la droite du nez, sont tout ce qu’il y a d’important pour identifier la présence d’humains.
Lorsque viendra le moment de juger de l’importance d’une telle prière, il faudra prendre en compte ce qui suit. Sur le bord de la baie James près de l’embouchure de la rivière Chisasibi existe un territoire de pêche à la richesse incomparable dont beaucoup de prises auraient pu être inscrites au livre des records. Sur les rives de ce paradis vivent les Indiens Cris (Christinaux ou chrétiens) de la tribu des Wemindji. Leur village est à proximité de la rivière Maquatua, un nom qui signifie les montagnes peintes, aussi le nom de cette riche réserve.
Près de leur village et d’une baie appelée « Moar bay » (traduire par la baie des Maures), les montagnes sont peintes et possèdent une belle couleur ocre. Jusqu’au milieu du 20e siècle, les Indiens Wemindji peignaient leurs montagnes. Récupérant la graisse animale, ils la mélangeaient à un pigment de couleur ocre, qu’ils étendaient sur les montagnes. Même de bonnes analyses scientifiques n’ont pu expliquer la richesse exceptionnelle de cette réserve sous-marine.
Que cet usage des dormeurs géants nous apparaisse archaïque est un produit de notre culture. Cette disparition des géants porte le prix d’une trainée de morts à travers l’histoire dont le décompte ferait frémir n’importe qui.
Les fondations modernes, cette avenue des conquérants qui existe dans toutes les capitales sur laquelle circule régulièrement les troupes militaires, provient de Rome. Ils n’ont rien inventé, comme tous les conquérants ils en sont incapables, mais ils l’ont imposé puisqu’elle était un outil de contrôle. Ces avenues sont bordées de monuments et d’édifices, dont les formes vues du ciel représentent souvent des formes animorphes ou évoquant des formes divines et font grandement usage de la sous-destinée et des symboles. Elles existent bel et bien, mais quelqu’un d’autre possède la clef de cette manufacture de vie.
Que diriez-vous de perdre votre intuition? Que diriez-vous de la multiplier par 1000? Que diriez-vous d’être un chef, un centre d’attraction? De vivre longtemps et en santé? Puisque c’est ce dont on parle.
Au-delà de conditions de vie exceptionnellement bonnes apportées par ce fertilisant divin, ces zones imposent sur les brebis « la guidance divine », de bien grands mots émaillés de mysticisme qui signifient en fait le déploiement d’une intuition puissante et l’élargissement de la capacité de raisonnement, ce qui était appelé le double cerveau dans les légendes juives. Être au centre d’un tel dormeur géant allume un phare sur la tête de l’individu qui lui attribue un ascendant sur ses pairs.
Il y a aujourd’hui manifestement concentration des territoires contenants des grands géants entre quelques mains. Certaines modifications modernes des géants soulèvent l’hypothèse qu’il existe un monnayage des destinées et des indulgences qu’elles procurent. Qu’une destinée modulaire pourrait par exemple être réalisée sur demande pour des individus cibles à leur insu, qui conserveront leur aura tant qu’ils feront les bonnes choses.
Les dormeurs géants ne nous conduisent pas sur un monde d’hommes des cavernes, bien au contraire. Ils étaient d’usages à l’époque de Noé, à l’époque d’Adam et même à l’époque de l’Atlantide et cet usage n’a pas changé jusqu’à la crise entourant le tournant de notre ère et encore une fois 500 ans plus tard. Les hommes d’alors vivaient au coeur même de cette culture de géants au moment même ou ils bénéficiaient d’une civilisation plus avancée que la nôtre.
Selon les légendes, la découverte du monde divin et des bénéfices de la prière n’ont rien de fortuit. Ils sont le fruit d’une science naturelle régi par des lois qui furent découvertes après de minutieuses observations et expérimentations, qui n’ont rien à envier à celles de notre monde moderne. Les efforts déployés à leurs réalisations sont incomparables, sinon avec ceux déployés à leurs destructions.
Cet effort de la main d’homme est visible dans les oeuvres jusqu’à l’an 2000 av. J.-C.. Dès que l’on remonte au-delà, nous arrivons à des dormeurs géants comme celui de Thunder Bay, dont la dimension de l’oeuvre interdit une réalisation à partir d’efforts manuels. Il faut nécessairement envisager à un moment ou à un autre, l’émergence de technologies beaucoup plus élaborée que les nôtres, fruit d’une science très avancée. Puisque nos oligarques nous avaient déjà appris que l’homme historique était incapable de faire autre chose que de tailler des silex en commettant des incestes à répétition, ils durent semer la graine d’un nouveau coupable. Les ET dans un scénario hollywoodien controversé à-la-planète-X, ferait parfaitement l’affaire, c’est si séduisant ! Nous vivons dans un monde ou la totalité de l’information et du savoir qui nous parvient, est soigneusement analysée et structurée pour faire fonctionner la société sans interférer avec le plan des oligarques. Roswell ne fut qu’une partie de la propagande vicieuse visant à planter cette idée. La controverse qui en a résulté était l’évidence même et cette technique de propagande devait sûrement être inscrite à la lettre « A » de l’abécédaire de la sociologie pratique traduit de l’allemand à partir d’un des manuels de la bibliothèque privée du nazi Goebbels. Même tête, différente main.
Il faut aussi convenir qu’à l’analyse, les terres de choix situées dans l’aire visuelle des géants quelque soit le pays, sont aujourd’hui systématiquement entre les mains d’individus ou d’organisations très bien nanties, qui n’ont rien à voir avec le bien-être populaire, mais qui tirent des avantages et bénéfices insoupçonnés de nos sociétés.

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Au fur et à mesure qu’on avance dans ces connaissances, il est difficile de se détacher du concept divin apporté par les anciens. C’est à la rigueur une science très rationnelle, qui fonctionne tant qu’on n’y ajoute pas la couche supérieure manifestement capable d’action consciente, « omnisciente » diront-ils, car elle transcendait le temps et pouvait agir sur le devenir. Difficile aussi de ne pas constater la structure systématique et l’application d’un protocole rigoureux dans le travail divin. Une intelligence difficile à percevoir au-delà d’un processus quasi mécanique qui s’apparente plus à celui d’un animal dont il faut acquérir la confiance et développer une relation.
Au-delà de la saveur mystique, le croyant désireux de respecter le programme divin sous l’angle présenté s’est aussi doté d’un puissant code moral qui lui interdira de s’aventurer dans les zones ombragées de la vie et lui imposera même un ISO recherchant constamment l’amélioration individuelle. En dépit du fait qu’une telle protection n’est pas à toute épreuve, il nous faut admettre que si nous avons à nous choisir un chef entre dix, nous aimerions mieux celui-ci que ceux-là.
Quoi qu’il en soit, pour obtenir un quelconque bénéfice vous devrez engager cette relation. Voir et être vu. Vu ?


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