D'abord, l'interdiction des passoires thermiques. De fait, une passoire thermique, ça n'existe pas. il y a un mode de fonctionnement inadéquat, surtout.
Le chauffage n'est jamais obligatoire. On réinvente même l'édredon. A quand la brique ? Aux temps historiques, d'ailleurs, une température de 15° l'hiver est très élevée.
Et surtout, quand il fait froid, on réduit la taille des logements.
Bruno Lemaire, lui, pense très haut que l'interdiction de louer les passoires thermiques est une kolossale bêtise. Il n'y a pas moyen de rénover autant de logement, ni d'en construire, dans un laps de temps si court. Et le reste, louable, n'est pas en si bon état. De toute façon, la paupérisation réglera le problème. Polaire + édredon + brique.
Le bredin elyséen, lui, parle de "sobriété mesurée", genre homme qui tombe du gratte ciel et qu'on entend dire, à chaque étage "jusqu'ici ça va". Il est victime des habitudes acquises, que personne ne veut remettre en cause, et du refus de voir et parler du vrai problème, celle de la pénurie énergétique, aggravée par la spéculation... Et des sanctions anti-russes...
Comme on ne parle pas du problème de pénuries qui s'annoncent, on ne peut faire face de manière cohérente au problème et on préfère justifier ça par le richofemenclimatic. On ne peut parler donc, que de doses aussi homéopathiques qu'insupportables à la population. Renoncer à surchauffer pour certains est criminel, renoncer aux voyages lointains, idem, on préfère condamner la voiture (quand on en a pas besoin), et de manière générale, c'est toujours à l'autre de faire l'effort.
La paupérisation c'est aussi une forte augmentation de la base de la taxe foncière (+ 7%) pour tous, et miracle, des délirantes pour les villes mondialisées et disposant de transports en commun... "Paris (+ 52 %), Lyon (+ 9 %), Bordeaux (+ 4,5 %) ou Grenoble (+ 25 %)". Disposant aussi de personnels politiques mondialisés et russophobes. Cette augmentation dépasse de beaucoup l'inflation -avouée- et sans doute, pas l'inflation réelle.
De fait, avec le déclin de l'approvisionnement en énergie, les habits de la société pétrolière sont trop grands. Trop de logements, grandes villes hypertrophiées, habitude des élus de dépenser...
L'empire externe, avec le Niger, finit de s'effondrer et marque la réelle décolonisation. De fait, depuis l'an 2000, la croissance réelle est très basse au niveau mondial, au plus 0.25 % l'an, si l'on enlève la manipulation monétaire et financière, et, de fait, inférieure à la croissance démographique.
La volonté de rénovation énergétique arrive, en fait, trop tard...
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