19 décembre 2022

Une nouvelle publication démontre le rôle de la protéine S vaccinale dans la neurodégénérescence

Marc Doyer mène depuis des mois un combat pour que soient reconnus les responsabilités des injections dans la maladie qui a emporté sa femme. Il a recueilli 60 témoignages de proches de victimes de MCJ foudroyantes. En 2021 mon oncle fut emporté après son injection par un « alzheimer foudroyant », officiellement inexpliqué. Regardez autour de vous et posez vous des questions face à ces maladie neurologiques inexplicables, car il n’ y a pas que des cancers et des myocardites…

Les anomalies sont telles que la censure est totale, des maladies cardiaques, des cancers, on vous dira qu’il y en a toujours eu, même si le nombre explose, mais des maladies de la vache folle, des alzheimer foudroyants, non ce n ‘est pas possible.

En parler m’a valu l’exclusion de Linkedin

Dans les années 1990, les os de bovins malades, infectés ou morts étaient broyés pour nourrir des élevages de la même espèce. Cela a conduit à la propagation de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), dont le variant humain, une variante de la maladie de Creutzfeld-Jacob, pouvait se transmettre aux consommateurs. Cette « maladie de la vache folle » a été déclaré pour la première fois en Grande-Bretagne en 1986. Le premier cas en France a été identifié en 1991. Cette dégénérescence du système nerveux a provoqué la mort d’au moins une centaine de personnes dans le monde, dont une vingtaine en France. Les conséquences des injections seraient sans commune mesure...

Au moins trois fois plus en France et peut être trente ou trois cents fois plus si on cherchait bien !

La protéine spike est nocive pour les neurones. Les résultats globaux suggèrent que la neurodégénérescence est en partie due à l’intensité et à la durée de l’exposition aux protéines de pointe, à l’âge avancé du patient. Des infections répétitives et des injections « vaccinales » répétées expliqueraient cette neurodégénérescence.

Une étude internationale a quantifié les symptômes persistants du COVID-19 chez 3.762 personnes, suite à une infection contre le SRAS-CoV-2. Des troubles de la mémoire et cognitifs ont été ressentis par plus de 88% des répondants. Il s’agissait des symptômes neurologiques les plus observés de manière persistante, et ils étaient également fréquents à tous les âges.

Un consensus croissant attribue ces symptômes aux effets neurotoxiques de la glycoprotéine de pointe, en particulier la sous-unité S1 

Les preuves expérimentales directes des effets toxiques du S1 dans le cerveau proviennent d’études menées par une équipe de chercheurs coréens, publiées en 2022. Dans l’expérience, des sous-unités S1 ont été introduites directement dans l’hippocampe dorsal de souris, et il a été montré que les souris souffraient par la suite d’un comportement anxieux et de déficits cognitifs

Les deux vaccins à ARNm largement distribués aux États-Unis, commercialisés par Moderna et Pfizer/BioNTech, utilisent une nouvelle approche qui n’a jamais été utilisée auparavant pour aucun vaccin sur le marché, pour aucune maladie. La technologie derrière ces deux vaccins est complexe et sophistiquée, et une grande partie est nouvelle et mal évaluée au niveau de la sécurité.

L’ARNm de la protéine de pointe modifiée est encapsulé dans une nanoparticule lipidique de haute technologie, composée de cholestérol et d’autres phospholipides. La protéine de pointe partage des régions de similitude moléculaire élevée avec de nombreuses protéines humaines importantes, et le mimétisme moléculaire peut conduire à une maladie auto-immune, en particulier parce que le vaccin induit une très forte réponse en anticorps immunoglobuline G (IgG). Cependant, il a été démontré que l’absence d’IgM sécrétée conduit à un développement accéléré de la maladie auto-immune

La plupart des molécules d’ARNm humaines sont éliminées quelques heures après leur synthèse, alors que l’ARNm de la protéine de pointe a été trouvé dans les ganglions lymphatiques drainants du muscle du bras, deux mois après la vaccination, et cette durabilité a été associée à des symptômes post-vaccinaux similaires au profil symptomatique du long COVID, les vaccins à ARNm peuvent être particulièrement dangereux en raison de leur potentiel à introduire de grandes quantités de protéine de pointe sur une période prolongée.

Notre travail a des implications importantes pour les politiques publiques étant donné l’application généralisée et continue des vaccins COVID-19. S’il est concevable que la protéine de pointe puisse contribuer à de futures maladies neurodégénératives, alors le calcul du rapport bénéfice/risque pour la vaccination de masse aveugle devrait être réexaminé. Si les arguments présentés ici s’avèrent vrais, la population vaccinée a déjà subi beaucoup de mal.

Source

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.