12 août 2022

Big Pharma va développer des vaccins à ARNm pour des dizaines de maladies

Nous avions déjà écrit que « les vaccins n’étaient pas faits pour Covid, mais Covid pour la vaccination ». Celle -ci n’est pas un moyen mais une finalité qui est confirmée par les prochaines étapes de développement de masse de la vaccination thérapeutique alors que les autorisations de mise sur le marché des injections contre Covid sont encore provisoires. La technologie à ARNm dont les effets secondaires sont « étouffés » par l’industrie pharmaceutique, les autorités de régulation sanitaire et les médias, provoque une morbi-mortalité qui n’est ignorée par aucun des protagonistes. Tout est pourtant fait comme si les injections Covid étaient un succès. Histoire d’une tromperie mortifère qui se poursuit et s’accélère dans ce qu’il faut bien qualifier de « programmation calibrée » et d’habileté à la « manipulation des consciences ».

Dès 2020, les plus grands laboratoires pharmaceutiques s’unissaient – impensable il y a seulement quelques années encore – pour signer une déclaration qualifiée d’historique pour « continuer à faire de la sécurité et du bien-être des personnes vaccinées la priorité absolue dans le développement des premiers vaccins contre la COVID-19 ».

NEW YORK, le 8 septembre 2020 — Les PDG d’AstraZeneca, BioNTech, GlaxoSmithKline plc, Johnson & Johnson, Merck, connue sous le nom de MSD en dehors des États-Unis et du Canada, Moderna, Inc., Novavax, Inc., Pfizer Inc., et Sanofi, ont annoncé aujourd’hui avoir signé un accord historique qui traduit leur engagement commun pour la préservation de l’intégrité du processus scientifique tout au long de leur démarche qui vise à déposer d’éventuelles demandes d’homologation en vue d’obtenir des approbations dans le monde entier pour les premiers vaccins contre la COVID-19.

Nous avons déjà évoqué le fait que l’industrie pharmaceutique ne fait pas de santé publique mais du business dans le secteur de la santé, la communication grand public consiste à construire artificiellement un « monde de bisounours » où la manipulation des masses reste le maître mot. Cette déclaration est postérieure à une entente préalable sur le partage d’un marché des injections qui s’annonçait juteux dès le début de l’épidémie en janvier 2020, date à laquelle Pfizer-BioNtech et Moderna disposaient déjà d’un « candidat vaccin », précisément ceux-là qui ont été commercialisés avec la collaboration des pays occidentaux et fabriqués en 2 jours seulement pour BioNtech si l’on se fie à la propre déclaration de son patron.

Nous avons par ailleurs déjà évoqué la fabrication des vaccins antérieurement à l’apparition officielle de l’épidémie de Sars-Cov-2 et la participation de Moderna à l’ingénierie du Sars-Cov-2.

Le vaccin thérapeutique généralisé, prochaine étape de Big pharma

Moderna a misé sur la vaccinothérapie, c’est-à-dire en réalité les thérapies géniques pour développer son activité. Mais ce n’est pas le seul laboratoire à suivre cette voie et Covid a été le déclencheur pour développer artificiellement un marché dont les populations se seraient méfiés si on ne leur avait instillé la peur et la contrainte en supprimant les droits les plus fondamentaux comme celui de la libre circulation et l’accès aux lieux publics. On ne reviendra pas sur ces épisodes avec lesquels on devrait renouer d’ici peu avec la variole du singe et le Covid d’automne.

Dans une attente réelle, certains professeurs de médecine annoncent que grâce au Covid, les thérapies géniques à ARNm vont se développer pour traiter les cancers. Oui et c’est tout à fait l’objectif de Big Pharma et pas seulement pour le cancer, ni seulement pour les personnes qui sont en capacité de financer ces thérapies. Les pays Occidentaux ont montré leur capacité à financer ces injections sans limites et sans protection des populations, y compris dans les pays du Sud, notamment en Afrique. Les injections expérimentales ont été payées avec l’argent public au profit de l’industrie pharmaceutique qui s’est enrichie comme jamais depuis qu’elle existe, grevant les finances publiques et affaiblissant l’occident, particulièrement l’Europe dont les politiques de confinement ont accentué la déstructuration de l’économie. Des compensations aux entreprises ont été versées encore sur financement public au point que la France s’est anormalement endettée et fragilisée. Une volonté de mettre le pays à terre ?

Pour ses différentes plateformes de vaccins thérapeutiques disponibles ou en projet dans le monde, Moderna envisage de nombreux autres vaccins (cancer, Zika, VIH/sida, grippe, cytomégalovirus/CMV, le virus respiratoire syncytial…). La disponibilité d’une cagnotte de 15 milliards de dollars grâce aux injections Covid permet d’envisager l’avenir en grand, d’autant plus lorsque les autorités publiques participent à contraindre leur population pour des injections rendues quasi-obligatoires au risque de sanctions. Ou encore lorsque les autorités travaillent à la facilitation des procédures d’autorisation de mise sur le marché pour de prochaines épidémies potentielles, alors qu’il faudrait au contraire renforcer les contrôles et ne pas déresponsabiliser les laboratoires des effets indésirables de leurs produits.

Au lieu de passer des années à concevoir un nouveau vaccin à base d’ARNm, Moderna s’aide de la bioinformatique et « utilise un logiciel de modélisation pour réaliser un nouveau produit en quelques semaines, voire en quelques jours », ce que nous explique VMware, un partenaire de Moderna.

L’OMS valide les orientations de Big Pharma sans protection pour les populations

C’est totalement passé inaperçu mais l’OMS « publie début 2022 de nouvelles recommandations sur la modification du génome humain pour faire progresser la santé publique ». Depuis que le secteur privé s’est emparé de la recherche génomique, la brevetabilité du vivant a basculé du secteur public au secteur marchand où la régulation s’effectue dans une optique de profit enveloppée d’un discours faussement éthique. Le système des Nations unies – dont l’habitude ; maintenant bien connue, consiste à présenter des textes normatifs soi-disant protecteurs qui sont en réalité progressistes et transgressifs – a conçu un texte sur le génome humain et les droits de l’homme qui, sous couvert d’éthique, autorise la brevetabilité du génome humain modifié.

La spécialiste Mendoza Caminade alerte : « Il faut trouver un juste équilibre entre les intérêts de la recherche, et les grands principes éthiques de protection de la personne humaine. La difficulté est de trouver cet équilibre [….] Les pressions du privé, de l’industrie en général, font céder certains Etats sous couvert de progrès technologiques ».

En réalité, les autorités participent à une transgression programmée des droits de l’Homme, il suffit pour cela de s’intéresser en France aux lois de bioéthique articulées autour d’états généraux, un système participatif en réalité régulièrement contourné par le législateur. Par exemple, la gestation pour autrui, toujours interdite en France, a été reconnue lorsque celle-ci est réalisée à l’étranger ; un moyen de contourner la loi française et de préparer la prochaine étape d’une loi favorable en France. La révision périodique des lois de bioéthique a surtout pour objectif de faire accepter la transgression régulée de la dignité de la personne humaine. Nous assistons à un simulacre de démocratie piloté par des intérêts financiers et idéologiques. Outre le fonctionnement anti-démocratique, ces pratiques amorcent une étape nouvelle que nous vivons pleinement actuellement : celle d’une gouvernance autoritaire et mondialiste qui s’affirme de plus en plus ouvertement – notamment via le système des Nations Unies – ; gouvernance qui laisse peu de place à la contestation. Le système des Nations unies n’est pas un système démocratique mais privé, la gouvernance a basculé des nations à un système privé antidémocratique financé par des fonds privés. Cette situation fait le lit de violentes révoltes à venir avec la complicité de nos élus.

Les injections permettent d’introduire des nanotechnologies dans l’organisme

Les injections sont une finalité, et elles ne protégeront pas davantage les populations contre les autres maladies que contre le Covid mais devraient accroître davantage encore l’effondrement du système immunitaire.

L’observation à la microscopie et la spectroscopie du contenu des injections expérimentales contre Covid a montré la présence de nanotechnologies et d’oxyde de graphène. Ces différents éléments n’apparaissent pas dans la composition officielle des sérums. Les nanotechnologies identifiées et leur analyse permettent de comprendre ce que l’industrie pharmaceutique envisage à travers le développement d’injections dites thérapeutiques.

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