Certains des extrémistes avaient des « gestes violents et menaçants », a raconté la directrice de l’établissement. Le personnel est « profondément choqué que l’hôpital puisse devenir une cible », a-t-elle ajouté.
Les extrémistes « se sont précipités vers le service chirurgical » et ont tenté d’y rentrer de force « alors que s’interposaient les personnels des services médicaux, les infirmières, internes […] qui tenaient la porte avec toute la force qu’ils pouvaient avoir en criant ‘attention, ici il y a des patients’ », a raconté Martin Hirsch, directeur de l’AP-HP.
(…) Ouest France
La vérité : Les manifestants se sont réfugiés dans l’hôpital, ils étaient chassés par la police !
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