Ils ont perdu les élections, ils sont minoritaires, mais ils gouvernent. Grâce aux castors qui les ont élus et au RN qui les soutient, le bloc central continue de diriger la France sur la voie de l’Européisme. Dispenser des illusions de la démocratie et ayant peu de chance de remporter les prochaines élections, les représentants du bloc central pourraient tenter le tout pour le tout et accélérer la dissolution de la France dans les diverses instances supranationales. A cette fin, le mélange de débiles et de traîtres qui compose le nouveau gouvernement Barnier est idéal.
Le RN et la LFI : des oppositions complices
Les oppositions veulent les postes mais surtout pas les responsabilités qui vont avec. En prétendant lutter contre le racisme et l’immigration, elles utilisent des arguments sociétaux pour faire peur aux électeurs et les maintenir dans un état de paranoïa. Les oppositions en carton jouent leur petit sketch pour obtenir suffisamment de voix pour les postes, mais elles ne veulent surtout pas avoir à assumer les responsabilités qui vont avec.
Un gouvernement de dégénérés
Antoine Armand, le nouveau ministre de l’économie, est un crétin double qui ne semble pas comprendre la gravité de la situation économique. Anne Genetet, la ministre de l’éducation, n’a aucune expérience dans le domaine et a ses enfants dans le privé. Benjamin Haddad, ministre de l’Europe, est un agent étranger américain payé pour faire du lobbyisme euro-atlantiste. Michel Barnier lui-même est un traître qui a prêté serment de ne pas défendre les intérêts nationaux. Il est prêt à accueillir plus de réfugiés et à mutualiser les politiques européennes, tout en se foutant des intérêts français.
De l’austérité sans changement structurel
Le discours de politique générale de Michel Barnier n’a rien apporté de concret. Il a annoncé quelques mesurettes à la con, mais aucun changement structurel. Les problèmes de l’école, de l’aménagement du territoire, de l’immigration, de la concurrence déloyale, de l’agriculture, de l’Ukraine, de la relance du nucléaire, et des subventions aux énergies renouvelables n’ont pas été abordés. Le gouvernement continue la même politique qui a créé les problèmes et qui a été sanctionnée par trois fois. Il n’y aura aucun sujet structurel abordé, car il n’y a pas de choix démocratique contre les traités européens.
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