Un juge néerlandais vient de décider que Bill Gates devra comparaître devant un tribunal néerlandais pour répondre à l’accusation de sept victimes de vaccins contre le COVID-19 produits par Pfizer.
Parmi les autres accusés figurent également Albert Bourla, PDG de Pfizer, et l’ancien premier ministre néerlandais devenu nouveau secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte.1
Ayant réellement commencé l’année dernière, cette affaire qui devait être une peccadille pour Bill Gates vient de prendre un tournant inattendu. 2
Pensant être écarté du procès après avoir envoyé son avocat plaider jurisprudence pour éviter de devoir comparaitre dans un pays dont il n’est pas résident, l’État néerlandais vient de rejeter sa demande, le considérant impliqué dans la « lutte contre la pandémie » au même titre que le PDG de Pfizer ou le gouvernement néerlandais. 3
Selon le journal indépendant Zebra Inspiratie, les plaignants prétendent que Bill Gates, par l’intermédiaire de ses représentants, les a délibérément induits en erreur concernant la sécurité des injections contre le Covid-19, tout en sachant « que ces injections n’étaient ni sûres ni efficaces ».
La journaliste indépendante néerlandaise Erica Krikke a déclaré au Defender que les sept plaignants « sont des Néerlandais ordinaires ayant reçu injections après injections, avant de tomber malades ». 4
Il est d’ailleurs à déplorer qu’en l’espace d’un an, sur les sept plaignants initiaux l’un d’entre eux est décédé des conséquences des injections, ne laissant que six victimes poursuivre la procédure.
Ce faisant, bien que les représentants de Bill Gates aient contesté la compétence des juges, il n’ont aucunement nié l’objet de la plainte.
Or, dans sa décision du 16 Octobre le tribunal de Leeuwarden a jugé qu'il avait effectivement compétence à l'égard de Bill Gates étant donné que le tribunal a trouvé « des preuves suffisantes » liant les plaintes contre Gates et les autres accusés et considérant qu’elles sont fondées sur le même « complexe de faits ». 5
Malgré tout les pronostiques de l’avocate néerlandaise Meike Terhorst, ayant déclaré au Defender qu'il était « assez intéressant » que les plaignants aient intenté une action en justice à Leeuwarden au lieu de La Haye, où sont normalement déposées toutes les poursuites contre le gouvernement liées au Covid-19, ne sont pas très encourageants :
« En général, les procès liés au Covid-19 ont été très infructueux aux Pays-Bas ». Selon elle « il y a peu de chances que cela réussisse. » Expliquant qu’elle « pense que la plupart des juges soutiennent le programme de vaccination contre le Covid-19 et auront du mal à croire que les vaccinations ont causé des blessures. Nous avons donc un long chemin à parcourir, quelle que soit la situation. »
Ce qui n’empêche pas la journaliste Andrea Krikke, bien plus optimiste, d’être persuadée que le tribunal vient d’envoyer un message clair signifiant : « Même si vous êtes riche et que vous vous appelez Bill Gates, vous devez quand même rendre des comptes au tribunal ».
Allant d’ailleurs dans le sens des espoirs de la journaliste indépendante néo-zélandaise Penny Marie couvrant cette affaire, se réjouissant de la décision du 16 Octobre et souhaitant qu’elle « créera (…) un précédent et aidera les plaignants dans des affaires similaires à travers le monde en matière de compétence (…) lorsque le défendeur ne réside pas dans le pays du demandeur (…) pour les parties qui portent plainte contre ceux impliqués dans la mise en œuvre du « Grand Reset » et d’autres actions internationales, telles que la réponse d’urgence au Covid-19 initiée par le WEF ou Forum économique mondial, et imposée à tous les pays membres de l’ONU, j’espère que cette décision donnera l’occasion à d’autres de faire de même ».
Ces différents observateurs ont également rapporté qu’à l'audience du 18 Septembre les témoignages des plaignants blessés par les injections ont été particulièrement poignants.
Par exemple, le père représentant une des victimes trop malade pour plaider directement son cas, a déclaré au tribunal que sa fille, qui était auparavant en bonne santé, est tombée malade après avoir reçu le vaccin contre le Covid-19 et depuis ne pouvait plus parler.
En larmes devant le juge il a dit qu’il « aimerait vraiment parler directement à Bill Gates » pour lui demander, lui, ce qui est arrivé à sa fille. Entrainant un lourd silence dans la salle.
La prochaine audience est prévue le 27 Novembre.
Y découvrirons-nous si l’État de droit vient vraiment de ressusciter aux Pays-Bas ?
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
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