01 septembre 2024

L’école de la république qui viole nos enfants

L’offensive mondialiste sur les enfants se précise. En pointe dans l’hypersexualisation : l’OMS de Bill Gates, le milliardaire qui aime bien piquer les petits Noirs pour voir ce que les injections font comme effets secondaires. Avec ces pauvres victimes, aucune chance que les parents aillent porter plainte avec un avocat.

Sophie Audugé est la porte-parole de SOS Éducation. Elle dénonce la première Stratégie nationale de santé sexuelle 2017-2030, un pur délire macronien. Sous prétexte de santé publique et de protection des jeunes, on les balance tout petits dans la géhenne du sexe adulte.

Cette rentrée scolaire sera marquée par le sceau de l’inclusion et de la sexualité ; rien d’étonnant, quand on voit le narratif gouvernemental. Il s’agit d’apprendre à respecter les sexualités différentes, les genres nouveaux, la fellation, la sodomie, sur une échelle de progressisme qui mène à la pédophilie.

Les mamans, et pas seulement les mamans louves, commencent à se poser des questions, en envoyant leur progéniture à l’école primaire. Qui donne les cours d’éducation sexuelle, pourquoi, et, surtout, pourquoi si tôt, alors que les élèves sont impubères ?
Normalement, comme l’écrit Béa Bach, il faut attendre la puberté pour répondre aux questions légitimes que se posent les jeunes et aborder la sexualité. Intervenir avant montre une claire volonté de traumatisation.

Il n’y a pas que l’école qui se met au woke et à la formation à la pédophilie, le rêve des dirigeants occultes de Pédoland. Au cinéma ou à la télé, on trouve des choses étonnantes, qu’on dirait soufflées par les représentants les plus extrêmes du lobby LGBT.

 Dernière chose, les images subliminales dans les programmes pour enfants. Ceci dit, aujourd’hui, avec les deepfakes, tout est possible, donc méfiance. Mais Disney est la multinationale du divertissement qui a choisi le progressisme, et qui s’en est mordu les doigts.

Aux États-Unis, ce message inclusif en direction des tout petits ne passe plus. Les candidats républicains trumpistes ont carrément déclaré la guerre au woke.

Pour ceux qui veulent aller plus loin : la lutte des défenseurs de l’enfance

Dans le domaine de la protection de l’enfance à l’école, particulièrement face à l’offensive des tenants de la théorie du genre, trois associations se retrouvent en première ligne : SOS Éducation, les Mamans Louves et les Parents en Colère.

Les Dépêches citoyennes ont publié un texte à ce propos. Si toutes sont contre une éducation à la sexualité pour les moins de 12 ans, l’une, plus radicale, accuse les deux autres de composer avec le pouvoir et les objectifs mondialistes, notamment de l’OMS.

Une question demeure : s’il faut évidemment laisser tranquilles les moins de 12 ans, les plus de 12 ans ont-ils besoin d’une éducation à la sexualité, et si oui, laquelle ? Et pourquoi pas une éducation à l’amour, chacun découvrant la sexualité, dans l’intimité, en dehors de l’école, à sa façon ?

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