Un ciment révolutionnaire et flexible pour lutter contre les fissures causées par les sécheresses !

Vous savez ce que je pense de la phrase “il faut laisser une planète en bon état à nos enfants” qui ne vaut que si l’on n’oublie pas de préciser la deuxième partie de l’affirmation et surtout de l’équation !

Il faut aussi laisser des enfants en bon état à la planète pour qu’ils puissent s’adapter, innover, trouver des solutions qui nous ont échappé et aller plus loin que là où nous en sommes arrivés.

La science et les technologies ne pourront pas tout mais elles pourront beaucoup et l’oublier est stupide.

Tous les propriétaires ou presque sont désormais au courant de ces histoires ” de retrait et gonflement d’argile” qui causent les fissures dans les maisons, causées par la sécheresse, et représentent un défi majeur pour de nombreux propriétaires.

Et bien un “groupe de chercheurs américains a peut-être trouvé une solution innovante. Inspiré par la nature, ce ciment révolutionnaire promet de transformer la façon dont nous abordons les fissures structurelles. Mais, de quoi s’agit-il exactement ? Découvrons ensemble cette invention et son potentiel incroyable.

Traditionnellement, il faut injecter du béton souterrain, ce qui est coûteux. Le ciment développé par l’équipe de Reza Moini pourrait changer cela. Ce matériau s’inspire des coquilles d’huîtres et est 17 fois plus résistant qu’un ciment standard. Mais ce n’est pas tout. La capacité de ce ciment à s’étirer 19 fois plus sans se briser est révolutionnaire. Il pourrait bouger avec la maison, empêchant les fissures de s’agrandir. Ainsi, les maisons seraient plus durables face aux aléas climatiques. Les coûts de réparation pourraient être considérablement réduits.”

Vous avez ici une innovation qui ne va pas empêcher de réchauffer la planète, mais qui va permettre de s’adapter à certains des effets secondaires désagréables auxquels nous sommes confrontés, en nous permettant de réparer nos habitats à moindres coûts et donc aussi en polluant moins puisque la réparation évite la nécessité de nouvelles constructions.

Charles SANNAT