Larry Fink (khazar et PDF de BlackRock, homme le plus puissant et le plus dangereux du monde, sataniste convaincu qui ne fait rien au hasard) explique son totalitarisme : imposer le changement antiblanc, anti-masculin et vert par un forcing financier permanent. Cela explique les honteuses pubs à la télé et le devenir woke et toqué des entreprises qui ne suivent pas ses ordres et consignes. Idem pour les pays. La France risée du monde ? La France exemplaire (voyez mon « exception française ») comme en 89, 93 et 1870 (puis 1968, 81 ou 2017) prépare grâce à son fanatisme culturel et a son jacobinisme administratif la décomposition du monde à venir dont le but est la robotisation, le conditionnement et le dépeuplement. Rien ne décrit mieux tout cela que le texte de mon Anglaise de Taine, femme résistante qui n’a rien pu faire.

https://en.wikipedia.org/wiki/Larry_Fink

Frédéric Aigouy

Replay–«Chez Blackrock, nous forçons les comportements»: quand Larry Fink avouait faire de l’ingénierie sociale «L’inclusion et la non-discrimination sont au cœur de notre travail dans le monde», expliquait candidement en 2017 le patron du méga-fonds d’investissement. Avant de sortir les crocs, tout sourire: «Si vous ne forcez pas les comportements, qu’il s’agisse de genre, de race, plus généralement de la composition de votre équipe, vous serez pénalisés.» «Et ça ne concerne pas que le recrutement.» Blackrock, qui pèse plus de 10 000 milliards – la puissance d’un Etat – est précurseur dans ce qu’il nomme les investissements ESG. Concrètement, pour recevoir un financement de cet acteur incontournable il faut plus qu’un business plan solide: les entreprises doivent se plier aux délires environnementaux (E), sociaux (S) et de gouvernance (G) définis par Blackrock. Ce qui explique pourquoi toutes les grandes entreprises de la planète sont subitement devenues des fers de lance du wokisme.

L’Anglaise de Taine et retour en mode QR de la Grande Terreur (1792-94): «Les grilles de la ville sont fermées; on ne permet à personne d’entrer ni de sortir sans un ordre de la municipalité, et on exige cet ordre même pour les habitants des faubourgs. Les fermiers et les paysans qui viennent à cheval sont obligés de faire noter sur leur passeport les traits et la couleur de leur bête aussi bien que les leurs…La plupart des départements sont sous la juridiction d’un de ces souverains dont l’autorité est presque illimitée. Nous avons en ce moment dans la ville deux députés qui arrêtent et emprisonnent selon leur bon plaisir. Vingt et un habitants d’AMIENS ont été saisis, sans qu’on n’ait spécifié aucune charge contre eux…Tous les points de la France sont infestés par des commissaires qui disposent sans appel de la liberté et de la propriété de tout le département où ils sont envoyés…»

La France exterminée n’aura presque aucun défenseur. Relire alors l’Anglaise lucide de Taine qui dénonçait la soumission festive du froncé de souche pendant la Grande Terreur : « Quoique les Français subissent ce despotisme sans oser en murmurer ouvertement, on voit beaucoup de chuchotements mélancoliques et de petits mouvements d’épaules significatifs. Le mécontentement politique a même un langage approprié qui, quoique peu explicite, n’en est pas moins parfaitement compris… Cependant leur courage s’évapore en conversations ; ils avouent que leur pays est perdu, qu’ils sont gouvernés par des brigands ; puis ils rentrent chez eux et cachent tous leurs objets précieux qui sont encore exposés. Cela fait, ils reçoivent avec une complaisance obséquieuse la prochaine visite domiciliaire. La masse du peuple, quoique aussi peu énergique, est plus obstinée et naturellement moins traitable. Mais quoiqu’ils murmurent et usent de délais, ils ne résistent pas, et tout se termine généralement par leur soumission implicite. »

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