Nouvelle panique et nouvelle injection de masse (?)
22 mai 2024 :
Les
États-Unis annoncent la commande imminente de "4,8 millions de doses de
vaccins anti H5N1 chez l’homme", après la découverte d’un "deuxième cas
de transmission du virus de la vache à l’homme cette semaine, dans le
Michigan". "Ils vont se rapprocher de Pfizer et Moderna" pour
"bénéficier de la technologie ARN messager".
Source : https://www.cidrap.umn.edu/avian-influenza-bird-flu/hhs-advances-plan-produce-48-million-h5n1-vaccine-doses
De
son temps, Georges Bernanos avait prévu ce qui nous arrivera si nous
acceptons cet asservissement qu'on cherche à nous imposer et qui
mènerait au "Nouvel Ordre Mondial", évoqué en 1991 par l'ancien
Président américain, Georges Bush senior, et relancé avec les attentats
du 11 septembre 2001 par son fils Georges W. Le Congrès des Etats-Unis
n'a-t-il pas accordé les pleins pouvoirs au Gouvernement fédéral, en
votant l'USA Patriot Act, le 26 octobre 2001 et en publiant la
stratégie nationale de sécurité, le 11 septembre 2002, avec The Madel
Emergency Health Powers Act, permettant d'exiger la vaccination pour
tous les américains, tout refus étant considéré comme un délit ?
Face aux méthodes de destruction de plus en plus efficaces, qui finiront par rayer notre espèce de la planète, Georges Bernanos mettait déjà en avant, il y a un demi siècle, « la docilité, l'absence de responsabilité de l'homme moderne, son acceptation vile et servile du moindre décret public ».
L'obéissance aveugle n'est plus une vertu lorsque la confiance s'effondre. Elle devient alors la plus sournoise des tentations, contre laquelle nous devons évidemment lutter. Car, en l'absence du rétablissement de la confiance et de réelles prises de conscience de nos autorités, qui doivent impérativement se libérer de toute pression économico-politique, la docilité contagieuse de l'homme ira de pair avec le développement de nouvelles maladies émergentes, qui finiront par détruire la planète et ses habitants.
À moins que le trop célèbre « responsable mais pas coupable », qui définit l'irresponsabilité du politique, ne génère, avec l'instinct de survie, la désobéissance civile. Dans le cadre du scandale du sang contaminé, que nos politiciens actuels semblent avoir bien vite oublié, André Glücksmann stigmatisait cette même désobéissance civile, « forme de responsabilité qui appelle à davantage de responsabilité ». Dans la dernière affaire des paillotes corses, le Premier ministre de l'époque, Lionel Jospin, avait à son tour évoqué cette désobéissance en déclarant : « le préfet et les gendarmes auraient dû désobéir à des ordres illégaux », sans toutefois préciser l'origine de ces ordres !
Devant la puissance financière des multinationales agroalimentaires et pharmaceutiques, et la persistance de leur mainmise sur la politique de santé et sur la gestion des crises sanitaires, au niveau de l'OMS et des institutions sanitaires, sommes-nous condamnés à développer cette désobéissance civile ?
En suivant les conseils éclairés de la fable de Jean de la Fontaine, « le rat des villes et le rat des champs », que nos dirigeants semblent également méconnaître, nous pourrions retrouver, tel le rat des champs, le contact avec nos racines et la confiance perdue, restaurant ainsi la conscience et le bon sens institutionnels et individuels, tout en respectant la nature. Ces institutions doivent donc impérativement se libérer du joug des lobbies de l'industrie notamment, tandis que l'homme doit retrouver le contact avec ses racines.
Comme le souligne Edgar Morin : « toute notre philosophie s'écroule, mais un être nouveau peut être procréé. Le vrai problème, le seul non technique, c'est celui du modèle d'homme ou plutôt de post hominien qu'il faut édifier. Ce modèle devra être la réalisation concrète de l'humanisme au moment où celui-ci tombe en miettes.»
Cet « humanisme » doit bien évidemment intégrer et même contaminer nos institutions, manipulées par des experts inféodés à l'argent roi des multinationales, pour lesquelles le marché prime sur tous et sur tout, sauf les indices boursiers ...
Comme le disait fort justement Alexis Carrel, nous ne pourrons entreprendre la propre restauration de l'homme et celle de nos institutions, « sans avoir réformé notre mode de pensée », lequel doit retrouver toute sa liberté d'expression, aux antipodes de la pensée unique.
Docteur Marc Vercoutère.
Le devoir de désobéissance civile
Face aux méthodes de destruction de plus en plus efficaces, qui finiront par rayer notre espèce de la planète, Georges Bernanos mettait déjà en avant, il y a un demi siècle, « la docilité, l'absence de responsabilité de l'homme moderne, son acceptation vile et servile du moindre décret public ».
L'obéissance aveugle n'est plus une vertu lorsque la confiance s'effondre. Elle devient alors la plus sournoise des tentations, contre laquelle nous devons évidemment lutter. Car, en l'absence du rétablissement de la confiance et de réelles prises de conscience de nos autorités, qui doivent impérativement se libérer de toute pression économico-politique, la docilité contagieuse de l'homme ira de pair avec le développement de nouvelles maladies émergentes, qui finiront par détruire la planète et ses habitants.
À moins que le trop célèbre « responsable mais pas coupable », qui définit l'irresponsabilité du politique, ne génère, avec l'instinct de survie, la désobéissance civile. Dans le cadre du scandale du sang contaminé, que nos politiciens actuels semblent avoir bien vite oublié, André Glücksmann stigmatisait cette même désobéissance civile, « forme de responsabilité qui appelle à davantage de responsabilité ». Dans la dernière affaire des paillotes corses, le Premier ministre de l'époque, Lionel Jospin, avait à son tour évoqué cette désobéissance en déclarant : « le préfet et les gendarmes auraient dû désobéir à des ordres illégaux », sans toutefois préciser l'origine de ces ordres !
Devant la puissance financière des multinationales agroalimentaires et pharmaceutiques, et la persistance de leur mainmise sur la politique de santé et sur la gestion des crises sanitaires, au niveau de l'OMS et des institutions sanitaires, sommes-nous condamnés à développer cette désobéissance civile ?
En suivant les conseils éclairés de la fable de Jean de la Fontaine, « le rat des villes et le rat des champs », que nos dirigeants semblent également méconnaître, nous pourrions retrouver, tel le rat des champs, le contact avec nos racines et la confiance perdue, restaurant ainsi la conscience et le bon sens institutionnels et individuels, tout en respectant la nature. Ces institutions doivent donc impérativement se libérer du joug des lobbies de l'industrie notamment, tandis que l'homme doit retrouver le contact avec ses racines.
Comme le souligne Edgar Morin : « toute notre philosophie s'écroule, mais un être nouveau peut être procréé. Le vrai problème, le seul non technique, c'est celui du modèle d'homme ou plutôt de post hominien qu'il faut édifier. Ce modèle devra être la réalisation concrète de l'humanisme au moment où celui-ci tombe en miettes.»
Cet « humanisme » doit bien évidemment intégrer et même contaminer nos institutions, manipulées par des experts inféodés à l'argent roi des multinationales, pour lesquelles le marché prime sur tous et sur tout, sauf les indices boursiers ...
Comme le disait fort justement Alexis Carrel, nous ne pourrons entreprendre la propre restauration de l'homme et celle de nos institutions, « sans avoir réformé notre mode de pensée », lequel doit retrouver toute sa liberté d'expression, aux antipodes de la pensée unique.
Docteur Marc Vercoutère.
"Le Dr Marc Vercoutère nous quittait à l’âge de 67 ans
(21 décembre 2018). Victime lui-même de vaccins à l’âge de 18 ans, il a
développé quelques années plus tard une sclérose en plaques, dont il
était très éprouvé, suivi d’un diabète.
Radié de l’ordre des médecins durant plus de 25 ans, il a consacré sa vie à dénoncer et à combattre l’imposture vaccinale." (Source)
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