Macron n’est qu’un piètre acteur de théâtre. Il prend ici, dans cette intervention le ton « des Invalides », vous savez, celui qu’il utilise et prend quand il est sous la tente blanche pour mettre en bière des Français qui viennent de mourir, généralement dans des conditions atroces. Vous avez remarqué ce « ton » ?
Ce ton qu’il prend quand il veut poser la « gravité » et jouer un instant de communication impliquant un instant de « communion » nationale.
Vous avez remarqué, moins il y a de Nation et plus il y a d’Invalides ?
Vous avez remarqué, moins il y a de Nation, plus il y a de « Panthéon » ?
C’est un acteur qui joue au président, alors qu’il n’est au mieux qu’un gouverneur d’Etat et encore.
Aujourd’hui, il explique à nouveau que nous sommes attaqués. Nous ?
Non. Pas vraiment.
L’Ukraine, oui. Sans conteste. Mais l’Ukraine ce n’est pas la France, Kiev n’est pas Paris, quant à la puissance inarêtable, elle n’arrive pas à franchir le Dniepr depuis 2 ans, alors avant qu’elle franchisse le Danube, nous avons le temps de négocier la paix.
Je vous propose donc, pour mettre en perspective les déclarations de l’acteur de série B du palais la seconde vidéo.
Tout ceci se terminera soit par la 3ème Guerre mondiale et un bain de sang jamais vu, soit par une paix où l’Ukraine sera démantelée et où les « grands » de ce monde se partageront le monde. Cela se termine toujours ainsi. Le dernier partage date de la conférence de Yalta. La seule question c’est de savoir après combien de morts nous y arrivons. Nous en sommes à quelques centaines de milliers. Aurons-nous besoin de millions de morts ? De dizaines de millions de mort ?
Ci-dessous un extrait de l’intervention de Pierre Lellouche sur la paix qui aurait été possible et sur le fait que nous n’avons pas été des artisans de paix, ce qui est le moins que l’on puisse dire. Ce n’est pas nous qui avons envahi l’Ukraine, mais nous avons créé les conditions favorables à cette montée des tensions jusqu’à la guerre. Les Etats-Unis avaient fait la même chose avec le Japon en 1940, 1941 ou encore avec l’Irak de Saddam Hussein, en le laissant envahir le Koweït avant de lui tomber dessus.
Les « vérités » géopolitiques sont toujours plus nuancées que ce que l’on nous raconte. Vous remarquerez d’ailleurs les propos du journaliste « pas trop technique là-dessus s’il vous plait », manière pleine de politesse pour dire « taisez-vous » ou « ne parlez pas de cela ».
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
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