Macron est en train de littéralement liquider notre pays. Je ne parle même pas de la déstructuration systématique des services publics, pour ensuite affirmer qu'ils ne fonctionnent pas, de la volonté de débilitation de la société avec la fin de l'enseignement à l'école. Après avoir détruit l'économie française, Macron est en train de dépecer le pays, pour envisager sérieusement d'envoyer des Français sur le front ukrainien mourir pour l'Atlantisme.
Parce que soi-disant, "la sécurité des Français se joue en Ukraine". Non, c'est l'avenir de ce pouvoir atlantiste et globaliste, qui s'y joue. Et il est prêt à sacrifier la France. Cet individu n'est pas fou, il défend froidement le système globaliste, qui l'emploie.Une légende de l'une de nos régions riches d'histoire, dont la diversité d'ensemble a longtemps fait la richesse, désormais perdue, de la France, nous conte l'histoire d'Ankou.
On dit aussi que celui qui aperçoit l'Ankou meurt dans l'année.
Si l'Ankou est considéré comme étant le dernier mort du mois de décembre, on rapporte parfois que le premier mort de l'année devient son domestique (komis an Ankou : "le commis de l'Ankou" en breton) pour l'aider dans sa tâche.
Voici comment le décrit Anatole Le Braz dans son recueil de légendes "La Légende de la Mort" :
« L'Ankou est l'ouvrier de la mort (oberour ar marv). Le dernier mort de l'année, dans chaque paroisse, devient l'Ankou de cette paroisse pour l'année suivante. Quand il y a eu, dans l'année, plus de décès que d'habitude, on dit en parlant de l'Ankou en fonction : War ma fé, eman zo un Ankou drouk (Sur ma foi, celui-ci est un Ankou méchant). »
A Ploumilliau, l’Ankou présent dans l'église, porte les attributs de deux de ses fonctions principales, la faux et la pelle, il est ici à la fois meurtrier et fossoyeur.
Macron est l'Ankou de la France, portant la faux et la pelle, à la fois le meurtrier et le fossoyeur de notre pays et des hommes. Et cela se confirme sur tous les fronts : il mène la bataille ultime, contre notre pays.
Nous avons eu droit à une destruction systématique de notre tissu économique, pour arriver à des chiffres inquiétants.
Le dépècement physique de la France accompagne, puisque nous arrivons au dernier stade, ce qu'il reste de notre pays meurtri dans sa chair et dans son âme. Les régions, dont la diversité culturelle a toujours fait la richesse de notre pays, sont conduites sur la voie de la sécession. Il suffit pour cela de trouver les "bonnes personnes" et les bonnes carottes. La boîte de Pandorre a été ouverte avec la Corse, dont l'accord sur l'autonomie de l'île va à l'encontre du principe sur lequel la France s'est constituée depuis la fin de la féodalité, à savoir l'union. Nous nous lançons dans un processus néo-féodal, de déconstruction de l'Etat, en reconnaissant des peuples à l'intérieur du peuple français et en octroyant une autonomie législative.
"Gilles Simeoni, président autonomiste du conseil exécutif de Corse, a estimé qu'un "pas décisif" avait été franchi, se félicitant que "le principe d'un pouvoir de nature législative, soumis à un contrôle du conseil constitutionnel, soit aujourd'hui clairement acté." "L'étendue et les modalités d'exercice de ce pouvoir législatif (...) relèveront de la loi organique (...) Je dirais que ce soir nous sommes en demi-finale, reste à gagner la demi-finale, et la finale", a-t-il déclaré devant la presse à l'issue de la réunion."
Désormais, les "autonomistes", pour ne pas dire sécessionnistes d'autres régions peuvent être activés, afin de dépecer le cadavre-France.
Et pour accompagner cette marche funèbre, Macron met les Français en état de stupeur, en leur annonçant légèrement, que va bien falloir y aller. Sur le front ukrainien. Car le monde global se joue là-bas et qu'il faut bien, désormais, qu'ils paient la facture.
Que ce soit par cette phrase incidente, publiée dans un article d'une totale veulerie dans Le Monde :
"Mais le président de la République est songeur. La situation en Ukraine, envahie par les troupes russes depuis deux ans maintenant, se dégrade. La guerre s’enlise. « De toute façon, dans l’année qui vient, je vais devoir envoyer des mecs à Odessa », lâche, d’un air dégagé, le chef de l’Etat devant une poignée d’invités."
Ou avec cette manière détachée, presque humoristique, en fait parfaitement cynique, de répondre à la question, que se posent les Français : il va vraiment falloir y aller ?
Comme le confirme la légende, en faisant le compte de ses victimes, cet Ankou est particulièrement méchant.
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