TELECHARGEZ le guide « standard pour l’éducation sexuelle en Europe »
Fidèle à mes habitudes, je donne les sources et vous permets de vérifier vous mêmes, le guide international sur la sexualité existe bel et bien. Les nouvelles directives de l’OMS, Unesco, Onu recommandent aux jeunes enfants de « poser des questions sur la sexualité »
Mieux la version européenne qui est plus précise. On découvre dans les standards européens la masturbation infantine pour les moins de 4 ans…
On s’interrogera sur la précocité de certains enseignements, sur leurs risques… Sur l’omniprésence de la théorie du genre….
La question du genre intéresse des disciplines telles que la philosophie, la sociologie ou encore la psychologie. Parmi ceux qui s’intéressent à ce sujet, certains sont convaincus de l’exactitude d’une théorie dite « du genre » qui considère que l’identité sexuelle de l’être humain ne dépend pas du sexe biologique mais du ressenti subjectif de chacun.
Cette théorie est l’objet de débat depuis les premiers temps de son élaboration. Elle demeure aujourd’hui un sujet de controverses, y compris chez ses promoteurs, qui se divisent entre divers courants. Pourtant cette théorie est de plus en plus souvent présentée comme scientifiquement exact, c’est-à-dire correspondant à un constat d’ordre biologique. De la description du développement du corps de la femme et du corps de l’homme, on passe, par exemple dans certains manuels scolaires, à une présentation de la sexualité humaine à partir de codes et d’éléments signant la théorie du genre. Dans le contexte de l’enseignement à la sexualité , cette théorie semble alors cautionnée scientifiquement.
Vous constaterez que l’Éducation Nationale a dès à présent mis en œuvre les mesures annoncées
Verifiez vous mêmes et si vous ça vous laisse perplexe vous êtes un complotiste d’extrême droaaaate. A titre personnel je suis simplement un vieux con…
Les parents sont les premiers et les plus importants éducateurs de l’enfant, non seulement parce que c’est un rôle qu’ils assument dès sa naissance mais surtout parce que la responsabilité de l’éducation des jeunes leur incombe. Ce sont eux qui doivent mettre en place les bases intellectuelles et émotionnelles de sa vie dans la société et développer les attitudes et les valeurs appropriées. Leur rôle est décisif car l’avenir des enfants est fortement conditionnée par leurs premières années de vie. Pour que l’école puisse jouer son rôle, ce sont encore les parents qui ont l’obligation – légale- d’y assurer la présence et la participation active de l’enfant. Ainsi, les parents doivent éduquer leurs enfants alors que l’Etat doit les former en bons professionnels et citoyens.
L’éducation à la sexualité fait partie des repères essentiels transmis par les parents, en référence (ou en opposition) bien souvent à leur propre éducation : mode de relations parents/enfants ; rôle de chaque parent en fonction de son sexe ; respect de l’intimité et du rapport au corps (le sien comme celui de l’autre) ; tolérance aux différences ; rapport filles/garçons ; etc. Les parents (ou leurs substituts) ont donc une place essentielle dans l’éducation à la sexualité de leur enfant, dès le plus jeune âge, car ce sont eux qui transmettent les interdits fondamentaux mais aussi leurs valeurs et références.
La sexualité touche la question fondamentale de l’intime et au sein d’une famille il peut être difficile d’aborder certains sujets dont ceux relatifs à la sexualité. Si les parents ont un rôle essentiel pour offrir à leur enfant un espace de parole et d’échanges permanents, ils doivent aussi comprendre et accepter que leur enfant ait besoin de parler de certains sujets avec d’autres (camarades, professionnels) et qu’ils puissent solliciter des réponses à leurs questions auprès de personnes extérieures. Parler de sexualité avec son enfant ne signifie pas « parler de tout ». Ressentir de la gêne à aborder avec ses parents certains sujets relatifs à la sexualité, n’est pas nécessairement un signe de désamour ou de manque de confiance des jeunes à l’égard de leurs parents. Cela témoigne avant tout d’une réelle pudeur et d’une volonté de maintenir leurs parents à une juste distance de leur sphère privée et de leur intimité. C’est aussi une réaction adaptée, lorsque l’adolescent est en pleine période d’autonomisation à l’égard de son parent, que de ne pas souhaiter son aide directe et de faire la part des choses entre ce qu’il veut lui dire et ce qu’il souhaite ne pas lui expliquer.
Au-delà de cette dimension privée, de l’importance du respect des interdits fondamentaux et de l’intimité de l’enfant, la sexualité s’inscrit également dans l’espace public du quotidien : dans leur rapport aux autres camarades ; dans les images auxquelles ils peuvent être confrontés (place des rôles sexuels transmis par les médias) ; dans les règles fixées par l’institution scolaire (où ils passent une grande partie de leur temps) et la société. Cette double inscription dans la sphère privée et dans la sphère publique peut conduire à des confusions, des attentes inconsidérées et des malentendus de toutes sortes. Le rôle des parents est fondamental mais n’est pas exclusif dans la construction de l’enfant et dans son développement, en raison de l’existence du monde extérieur.
Mais de l’autre côté, l’école, lieu des savoirs et des apprentissages, ne saurait être l’unique espace où les repères éducatifs, de toutes sortes, sont à transmettre. Si l’école est devenue un espace reconnu pour l’éducation à la santé et en particulier à la sexualité, elle n’est pas et ne peut être le lieu exclusif où ces questions sont traitées.
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Le wokisme est partout…mais surtout dans les détails, on peut accepter 99% du contenu, mais il y a ce fichu 1%…
https://www.telegraph.co.uk/news/2023/05/13/outrage-over-who-advice-on-sexuality-for-infants/
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