02 mai 2023

Appelez l’exorciste


Le parti Républicain moderne se précipite vers le fascisme

« Rappelez-vous que tout au long de l’histoire, il y a eu des tyrans et des meurtriers qui, pendant un certain temps, ont semblé invincibles. Mais à la fin, ils tombent toujours. Toujours. » – Gandhi

Vous faites peut-être partie de ceux qui ont remarqué que les personnes qui détiennent l’autorité dans notre pays semblent de plus en plus folles. Il devrait être évident que cela est profondément troublant, mais je vais tout de même m’expliquer pour dissiper toute mystification résiduelle.

Dans une société humaine saine, l’autorité est accordée à ceux qui sont dignes de confiance. Les gens gagnent la confiance en démontrant leur allégeance à la réalité. Les choses fonctionnent généralement mieux lorsque les personnes qui les dirigent entretiennent des relations cordiales avec la réalité. Vous comprenez maintenant pourquoi tant de choses ne fonctionnent pas aux États-Unis.

Ce que les esprits les plus subtils se demandent aujourd’hui, c’est quand cette folie a basculée dans le mal. En particulier la folie qui se manifeste dans nos figures d’autorité. Qu’en est-il lorsque quelqu’un réfute positivement la réalité en faisant du mal, par exemple Rochelle Walensky, directrice du CDC. Mme Walensky continue, à ce jour, à proposer des « vaccins » à ARNm Covid-19 pour les enfants, alors qu’il existe des quantités de preuves montrant que ces produits sont nocifs, voire mortels – et, en particulier, selon les normes précédemment exigeantes de l’agence sœur du CDC, la FDA, qui considère qu’il suffit de quelques lésions avérées pour qu’un médicament soit retiré de la pratique médicale. (Mme Walensky est médecin, soit dit en passant).

Est-il possible que Mme Walensky ne soit pas au courant des informations authentiques qui circulent sur Internet au sujet des lésions et de la mort du fait de l’ARNm ? Il est difficile de croire à un taux aussi élevé… c’est-à-dire en désaccord avec la réalité. Si, pour une raison ou une autre, cela lui a échappé, pensez-vous que quelqu’un parmi ses plus de dix mille employés du CDC aurait pu alerter le directeur à ce sujet ? Je le suppose. La conclusion la moins appétissante est que Rochelle Walensky, dans son rôle très important de responsable national de la santé publique, a franchi la ligne qui sépare la folie du mal.

En règle générale, les sociétés humaines autorisent les individus et les groupes à agir d’une certaine manière. N’est-il pas évident, par exemple, que les doyens et les présidents d’université ont donné aux étudiants (et aux enseignants) l’autorisation générale de maltraiter les orateurs invités qui véhiculent des idées contraires au consensus du campus « Woke » ? Ou que de nombreux maires de grandes villes autorisent les jeunes à semer le désordre dans les rues, à voler dans les magasins et même à blesser ou tuer d’autres personnes ? Par conséquent, l’université ne fonctionne plus pour exposer les jeunes adultes à la réalité des idées concurrentes et le domaine public dans nos villes est une grande zone de danger.

Les doyens et présidents d’université le font en toute connaissance de cause, tout comme les maires des grandes villes. Lorsque les résultats prévisibles se manifestent – orateurs maltraités et chaos urbain – les personnes en position d’autorité ne font rien pour discipliner ceux qui agissent, et la permission est donc accordée pour obtenir davantage de ce comportement. Une fois les blessures commises, les mêmes figures d’autorité proposent des rationalisations insincères pour excuser toute la dynamique insensée d’octroi de permissions, révélant ainsi leur complicité. En bref, ils mentent, en recourant à des confabulations complexes. Cela semble diabolique.

De nos jours, la gauche politique est déterminée à promouvoir la confusion sexuelle comme une composante essentielle du bien commun. Les hommes politiques, les fonctionnaires, les dirigeants d’entreprise, les chefs d’ONG et d’organisations d’intérêt public soutiennent tous les démonstrations publiques d’actes sexuels ignobles et sinistres, impliquant souvent l’inversion des rôles sexuels entre l’homme et la femme. Voici un spécimen intéressant posté samedi 15 avril sur Twitter.

Si vous vous opposez à ce comportement, vous risquez une sanction extrême (perte de carrière) pour « transphobie ». La gauche se moque de l’Amérique avec des expositions comme celle-ci (remarquez l’enfant à l’arrière-plan au centre). N’est-il pas évident qu’il s’agit d’une sorte d’insulte à la décence ? La gauche veut que les non-gauchistes répondent par des actes de violence afin qu’elle puisse désarmer les non-gauchistes et empêcher toute opposition à ses projets plus sérieux d’abolition de la liberté individuelle, tels qu’une monnaie numérique de la banque centrale qui contrôlera toutes vos dépenses, vous punira pour vos choix économiques et confisquera vos revenus. La gauche fait tout cela au nom, dit-elle, de « notre démocratie ». C’est un mensonge, bien sûr. La démocratie est la dernière chose dont elle se soucie vraiment. Elle le fait pour bousculer tout le monde, car tout ce qui l’intéresse, c’est la coercition et la punition (appliquées avec un maximum de sadisme). Voici l’un des leaders d’opinion de la gauche qui a exprimé cette philosophie l’autre jour :

Extrait du Guardian

Robert Reich a été ministre du travail dans le cabinet de Bill Clinton. Il a publié de nombreux ouvrages, dont un récent intitulé (de mauvais augure) The Common Good (Le bien commun). Il a été professeur à Brandeis et à UC Berkeley. C’est un éminentissime parmi les figures d’autorité de la gauche. Son insistance sur le fait que la non-gauche cherche à instaurer un mariage tyrannique entre les intérêts des entreprises et du gouvernement (fascisme) est contraire à la réalité : c’est exactement le programme actuellement mis en œuvre par son propre parti Démocrate. Il suffit de regarder les dossiers de Twitter et la campagne de censure de collusion entre les agences gouvernementales véreuses et les cadres véreux des médias sociaux (qui, dans une proportion de plus de 90 %, ont contribué au financement des campagnes électorales du Parti démocrate). Le parti de Robert Reich est contre la liberté d’expression. La démocratie exige la liberté d’expression. C’est pourquoi Madison, Hamilton et les autres l’ont inscrite dans notre constitution. Robert Reich est un menteur. Il est contre la liberté d’expression.

Selon la tradition religieuse humaine, la figure de Satan est le père du mensonge. Satan est la personnification du mal. La gauche politique et son véhicule, le parti Démocrate, avec le président fantôme « Joe Biden » à la place du conducteur, est devenu le parti de Satan. Nous sommes en présence du mal. (Appelez-les psychopathes, si vous êtes plus à l’aise avec cela). Que vous soyez religieux ou non, elle représente une force en guerre contre la réalité, et il se trouve qu’elle est en guerre contre le reste d’entre nous. On ne peut pas négocier avec elle. Elle ment toujours et partout à propos de tout. Elle doit être vaincue.

Figure d’autorité du parti démocrate (énergie nucléaire)

James Howard Kunstler

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone

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