Un carnage atroce a eu lieu à l’école Covenant de Nashville, faisant six morts, dont trois enfants. Audrey Elizabeth Hale, une femme transgenre de 28 ans, est celle qui a ouvert le feu avec deux armes semi-automatiques et un pistolet, après avoir fait irruption dans l’établissement. Des fusils de chasse ont été saisis lors d’une perquisition à son domicile. La police a également découvert des écrits qui ont révélé que son attaque était préméditée.
Pire encore, alors que les officiers Rex Englebert et Michael Collazo arrivaient sur les lieux, Audrey Elizabeth Hale leur a tiré dessus depuis une fenêtre du deuxième étage. Mais ces deux héros ont réagi avec bravoure, visant la suspecte et la neutralisant. Les officiers ont permis de stopper la tuerie et de sauver des vies en risquant les leurs. Ils ont été identifiés respectivement comme un vétéran de la Michigan Nursing Professional Development (MNPD).
Les noms des six victimes abattues par Audrey Elizabeth Hale à la Covenant School ont été révélés : Evelyn Dieckhaus, Hallie Scruggs et William Kinney, tous âgés de neuf ans, ainsi que Cynthia Peak, Katherine Koonce et Mike Hill, âgés entre 60 et 61 ans.
La police de Nashville publie des images de caméras corporelles montrant des agents neutralisant le tireur trans d’une école chrétienne :
Le chef de la police de Nashville, John Drake, a déclaré lors d’une conférence de presse lundi après-midi que Hale était transgenre. En effet, Audrey Elizabeth Hale est née de sexe masculin le 24 mars 1995, mais elle s’est identifiée comme une femme dès son plus jeune âge. La tueuse a commencé à prendre des hormones pour devenir une femme et a subi une opération de changement de sexe.
Une ancienne coéquipière de basketball d’Audrey Hale, Averianna Patton, a révélé qu’elle avait reçu un message sur Instagram de la part de la meurtrière, avant que la fusillade ne se produise. Dans ces messages, divulgués par NewsChannel 5, Audrey Hale expliquait qu’elle ne voulait plus vivre, qu’elle avait besoin de mourir « Je prévois de mourir aujourd’hui. Ce n’est pas une blague ! Vous entendrez probablement parler de moi dans l’actualités. C’est mon dernier au revoir. Je t’aime ! A revoir dans une autre vie. » La femme transgenre a également laissé entendre qu’elle avait laissé suffisamment de preuves de ce qui allait se passer « J’ai laissé assez de preuves derrière moi… Mais quelque chose de grave est sur le point d’arriver. »
Dans l’ensemble, c’est une tragédie horrible qui a coûté la vie à six personnes innocentes, et ce n’est que grâce à l’intervention rapide et courageuse des forces de l’ordre que la tuerie n’a pas fait encore plus de victimes.
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