29 octobre 2022

Agnès Buzyn : contre la chloroquine aux Français, pour la chloroquine à ses amis ?


Si les dires du producteur sur i24news sont avérés, alors l’ancien ministre de la Santé partie juste avant la frappe covidiste sur le monde et la France a menti, ou plutôt a deux faces. L’une pour protéger ses amis de la grippe de Wuhan, l’autre pour empêcher les malheureux Français de se soigner avec l’hydroxychloroquine. Mais avant toute chose, un rappel utile sur le mari de madame.

Ceci étant rappelé, passons au présent : la tentative de Buzyn de se sortir des griffes de la responsabilité dans l’affaire du mensonge covidiste. La nouvelle recrue de la Cour des comptes après l’OMS fait la tournée des plateaux télé complaisants, si l’on peut oser ce pléonasme, pour défendre sa cause personnelle et sa tête dans un futur grand procès de la santé française. Car il y aura procès, comme il y a eu procès pour le distilbène, pour l’hormone de croissance, pour le Mediator, pour le sang contaminé...

On ne dit pas que les coupables seront châtiés – on est en France, tout de même, pays des droits de l’homme de réseau ! – ni que la Buzyn est coupable, mais ils passeront tous, s’ils sont encore vivants, devant le juge. Ce n’est pas pour aujourd’hui, pensez donc, les victimes du Mediator ont attendu des années, voire des décennies, avant que la justice ne les entende, et encore, ce n’est pas une indemnisation minable qui remplace un cœur détruit.

Un culot thermonucléaire

« Oui mais moi j’ai envie d’attaquer les experts qui ont raconté n’importe quoi sur les plateaux, qui eux ne sont pas mis en examen, qui au moment où moi j’essayais d’alerter et de me mobiliser, de mobiliser les Européens, la Commission européenne, il n’y a pas eu un expert, un, vous ne trouverez pas un interview qui disait que c’était grave et on les a entendus dire tout et son contraire sur les plateaux télé, euh, voilà. »

Une épidémie qui n’a été grave, rappelons-le, que parce que les moyens de traitement classiques, et efficaces, ont été immédiatement interdits par le pouvoir. Et qui en France a mis l’hydroxychloroquine sur la liste des médicaments dangereux contre le virus du laboratoire P4 de Wuhan, co-produit par Yves Lévy (le labo, pas le virus) ?

Pendant que la Buzyn se défendait contre des attaques aussi perfides que fondées, on apprenait, de la bouche du producteur Raymond Blumenthal, sur la télé israélienne en français, qu’Agnès Buzyn soignait à l’hydroxychloroquine...

Non, Agnès a raison : le grand responsable du massacre des années 2020-2021, c’est bien le grand Pr Raoult, qui a soigné beaucoup de Français d’en haut pendant que les élites politico-médiatiques continuaient à dire que l’HCQ était mauvaise pour la santé... des grands labos, évidemment.
La bande des corrompus se retrouvera un jour devant un juge, et même si Laurent Fabius a fait la carrière que l’on sait après l’affaire du sang contaminé, cette carrière est à jamais entachée.

Tous, d’Agnès à son ex-patron Bill, commencent à retourner leur veste covidique et à accuser le voisin. Bientôt, c’est ce pauvre Delfraissy, déjà en mauvaise santé mais avec la tête de l’emploi, qui morflera à la place des autres. Normal, c’est le dindon de la farce, une farce à plusieurs milliers de morts en trop, 25 000 selon le Pr Perronne, un massacre – au Rivotril – dans les Ehpad. Le Rivotril ? C’est le Vidal qui nous en parle le mieux...

Aujourd’hui, après sa démission stupéfiante du poste de ministre de la Santé en février 2020 (alors qu’elle alertait sur une pandémie) et un détour par l’OMS de Bill Gates en 2021, Agnès Buzyn a été placée sur décision d’Élisabeth Bornstein pour 5 ans à la Cour des comptes, dirigée depuis juin 2020 par Pierre Moscovici, ex-commissaire européen aux Affaires économiques et financières. Quoi ? On a rien dit !

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