Préfets, ARS et Ordre des médecins en rangs serrés contre les résistants

Il a suffi d’un petit panneau publicitaire – sur un terrain privé – pour mettre en émoi les autorités politico-sanitaires et rallumer les feux de la répression covidienne. C’est évidemment le Dr Marty, célèbre pour ses sorties liberticides, qui a réagi avec le vocabulaire d’un fou du vax !

La tyrannie vaccinatoire, malgré les effets secondaires néfastes qui s’accumulent, est devenue telle que quand France 3 relate l’affaire, il faut cliquer sur « voir » (view) pour découvrir la photo, comme s’il s’agissait d’une fosse commune au Rwanda ou d’un immeuble palestinien après un missile israélien !

On nage dans la dinguerie et on constate qu’elle vient d’en haut, même si elle est suivie par beaucoup de les terrorisés d’en bas. Regardez le message martial, quasi militaire, que ces autorités controversées se permettent d’écrire, bafouant toutes les libertés individuelles et publiques (la liberté d’expression notamment, qui ne trouble en rien l’ordre public) :

Nous condamnons fermement ces affiches qui ont pour objectif de diffuser des informations mensongères sur un sujet crucial de santé publique.

Ce communiqué grotesque est signé par le préfet de la Haute-Garonne, le directeur général de l’Agence régionale de santé (ARS) Occitanie et le président du conseil départemental de l’Ordre des médecins. Ces rigolos ajoutent, au mépris de tous les effets secondaires observés, que « la vaccination contre la Covid-19 vise à protéger la santé de tous, notamment des plus vulnérables, et qu’elle a permis de limiter drastiquement le nombre de cas graves et de décès liés à cette pandémie ». Le gros mensonge éhonté !

Et en bons agents répressifs de l’ordre covidien, ces clowns qui méritent juste le mépris de la population ajoutent qu’ils examinent « les voies juridiques susceptibles d’être poursuivies contre les auteurs de ces affiches et ceux qui les ont laissées apposer ». On va finir par regretter les collabos des années 40, avec eux !

À l’instar de l’affaire Dieudonné en janvier 2014, les « autorités », qui n’ont aucune légitimité pour interdire la liberté d’expression, exploitent le concept très extensible – merci le Conseil d’État – de « trouble à l’ordre public » (!). Le Figaro écrit :

Pourtant, pour apprécier si les affiches antivax sont de nature, ou non, à poser un trouble à l’ordre public, il aurait fallu dès les premiers signalements que les autorités évaluent la véracité des informations scientifiques mises en avant. Selon l’Ordre des Médecins, ces données s’apparentent à la désinformation. « C’est une réinterprétation des choses qui est fausse. C’est du racolage facile, rapide et il n’y a aucune source scientifique derrière. C’est grave. Ils autovalident leurs propos. Des effets secondaires sont possibles comme lors de l’administration de n’importe quelle substance étrangère. Mais la vaccination demeure une mesure de santé publique et en particulier adaptée aux situations épidémiques », expliquait en milieu de semaine sur France 3 le docteur Jean-Michel Mansuy, praticien hospitalier au laboratoire de virologie au CHU de Toulouse.

« Ils autovalident leurs propos »... Tiens, comme les tenants de l’Ordre des médecins, qui pensent exactement comme le Big Pharma. Étonnant, non ?

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