C’est bien pour cela que les agences sanitaires publiques continuent d’affirmer qu’il n’y a pas d’effets indésirables notables des vaccins sur les grossesses et continuent de recommander la vaccination aux femmes enceintes. On observe un véritable déni au bénéfice d’une doxa sanitaire mondiale et harmonisée.
Les effets indésirables de la vaccination Covid sur les femmes enceintes font l’objet d’un déni collectif
Un document de Pfizer exigé à la Federal Drug Administration (FDA) en 2021 dans le cadre du Freedom of Information Act (FOIA) montre des résultats inquiétants sur les effets indésirables supportés par les femmes enceintes au cours de l’essai clinique de Pfizer (dans le cadre du Biological License Application, procédure permettant de valider la mise sur le marché du vaccin).
A la page 12 de ce document, apparaissent les événements indésirables signalés chez les femmes enceintes ou allaitantes qui ont reçu l’injection sur la période du 1er décembre 2020 au 28 février 2021 dans différents pays (essentiellement les Etats-Unis et le Royaume-Uni) à partir de sources diverses internes à Pfizer et d’autres sources extérieures : 23 des 32 grossesses au cours desquelles les parturientes ont reçu un vaccin Pfizer contre Covid ont provoqué des avortements spontanés. Ce résultat, qui ne prouve rien selon Reuters, est évidemment alarmant. Bien qu’il ne s’agisse pas de faire un rapport de proportion à partir de ces résultats, ils auraient dû suffire à ne pas autoriser la vaccination des femmes enceintes. D’abord, on ne donne aucun produit suffisamment testé au préalable à une femme enceinte, les essais cliniques de Pfizer (et des autres producteurs de vaccins) sont à la fois insuffisants (échantillon non représentatif) sur cette population, et sans recul sur les effets indésirables pour l’enfant à naître (l’essai clinique de Pfizer a duré quelques semaines seulement).
Si cela ne suffisait pas, le Dr Peterson Pierre rapporte une multiplication par plus de 50 du nombre de grossesses extra-utérines qui entraînent également la mort du fœtus.
Pfizer est d’ailleurs parfaitement conscient des risques tout en dénigrant les principes de précaution qu’il a lui-même établi. Selon la section 10.4.2 du protocole d’essai de Pfizer BioNTech, les femmes enceintes ou susceptibles de devenir enceintes ne doivent pas prendre les injections d’ARNm. La section 10.4.1 avertit également les hommes prenant les injections d’ARNm de “s’abstenir de rapports hétérosexuels” et de ne pas donner de sperme.
Ces recommandations se réduisent finalement à la maxime « Pas vu, pas pris », et on continue de vacciner les femmes enceintes avec l’aval des autorités sanitaires publiques qui ne jouent plus leur rôle de régulateur. En France, les mécanismes de contre-pouvoir ne fonctionnent plus et les chambres parlementaires ne sont plus qu’une courroie de transmission d’un Léviathan en phase de réélection.
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