19 avril 2022

Les vaccins COVID accroissent-ils la disparition des enfants à naître ?

L’avortement fait selon les Nations-Unies – qui par ailleurs le promeut et le finance - 50 millions de morts par an dans le monde, soit 1 milliard d’enfants à naître tous les 20 ans, de loin la première cause de mortalité dans le monde. Cette politique volontaire de dépopulation serait accentuée par la vaccination COVID et particulièrement les vaccins à ARNm. Pourtant, selon les autorités sanitaires des pays occidentaux, il n’y aurait aucune contre-indication à faire vacciner les femmes enceintes, c’est la position officielle en France et ailleurs.

En Occident, le taux « naturel » de fausses couches toutes choses égales par ailleurs, est environ de 10 à 13% des grossesses, ce qui est déjà très élevé. Au cours d’une émission américaine The Ben Armstrong Show, Malcom Roberts du Queensland en Australie fait remonter les statistiques d’une clinique gynécologique où le taux de fausse couche a atteint 50% chez les femmes enceintes vaccinées et jusqu’à 75% chez celles qui ont été vaccinées au cours du 1er trimestre de la grossesse.

De tels résultats sont inquiétants, pourtant en France, une information biaisée avait été divulguée par un médecin affirmant que 50% des femmes enceintes vaccinées avec Pfizer faisaient une fausse couche, ce qui n’est pas justifié à la lecture des résultats cités. AFP Factuel – une fois n’est pas coutume – rappelle justement que le rapport hebdomadaire de pharmacovigilance de l’ANSM du 21 mai 2021 précise que sur « les 28 notifications d’effets indésirables avec le vaccin Comirnaty (Pfizer), 14 – soit 50% – étaient des fausses couches ». Il reste cependant inquiétant de savoir que la moitié des effets secondaires notifiés avec ce vaccin s’avère être des fausses couches. Par ailleurs, la notification des effets secondaires étant passive et volontaire, elle sous-estime le volume des effets indésirables réels en France (fausses couches inclues).

Les informations sur les fausses couches auraient dû alerter les autorités sanitaires

Au 25 mars 2022, l’ANSM indique qu’ « A ce jour, aucun signal n’a été identifié chez les femmes enceintes et allaitantes avec l’ensemble des vaccins contre le Covid-19 disponibles en France », la HAS recommande la vaccination pour les femmes enceintes de plus de 35 ans notamment et celles qui pourraient être en contact avec des personnes infectées.

Mais, des informations en provenance des Etats-Unis viennent confirmer la dangerosité des vaccins Covid pour les femmes enceintes. Le Dr Peterson Pierre a présenté des statistiques montrant que le taux de mortalité fœtale par vaccin administré aux États-Unis avait, en fait, massivement augmenté d’environ 2000% depuis la mise à disposition des vaccins COVID.

Il a également précisé que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont enregistré 550 millions d’injections de COVID administrées depuis la campagne de vaccination Covid (fin 2020), avec 3.725 morts fœtales déclarées.  On observe donc un décès fœtal pour 147.651 injections. Il indique qu’il y a eu quatre milliards d’injections vaccinales administrées (autre que Covid) de 2006 à 2019, avec 1.368 décès fœtaux, soit un décès fœtal pour 3 millions d’injections ». Donc, si vous faites le calcul, vous vous rendez compte que depuis que les injections de Covid sont disponibles, il y a eu une augmentation de 1.925% des décès fœtaux », a-t-il déclaré.

Et là les « Reuters » et autres « AFP » – prompts à réfuter tout argument à l’encontre de leurs bailleurs de fond – n’ont pas d’arguments parce que la méthode qui consiste à faire une comparaison de la morbi-mortalité en période de vaccination Covid avec la moyenne des années précédant la vaccination (avant 2021) est sans équivoque, que ce soit pour les femmes enceintes ou pour n’importe quelle catégorie de personnes vaccinées. Le seul argument de mauvaise foi et totalement fallacieux qui est régulièrement rapporté consiste à dire qu’il n’y a pas de lien de cause à effet entre la vaccination et la maladie ou le décès. Il n’y a d’ailleurs pas non plus de volonté de les rechercher mais au contraire d’empêcher leur publication dans la presse comme dans les revues scientifiques où les soumissions d’articles qui remettent en cause l’efficacité des vaccins sont rejetées par les pairs.

Mais alors à quoi sert-il de faire remonter les effets secondaires de la vaccination contre Covid via des systèmes de pharmacovigilance comme le VAERS (USA), l’ANSM (France) ou le Yellow Card (UK) ? On comprend dès lors que quelque soit le nombre d’effets indésirables notifiés, les résultats ne seraient d’aucune utilité car il faudrait démontrer un lien de cause à effet. Le système de pharmacovigilance en place ne serait donc qu’un gadget visant à rassurer et contrôler l’opinion publique.

C’est bien pour cela que les agences sanitaires publiques continuent d’affirmer qu’il n’y a pas d’effets indésirables notables des vaccins sur les grossesses et continuent de recommander la vaccination aux femmes enceintes. On observe un véritable déni au bénéfice d’une doxa sanitaire mondiale et harmonisée.

Les effets indésirables de la vaccination Covid sur les femmes enceintes font l’objet d’un déni collectif

Un document de Pfizer exigé à la Federal Drug Administration (FDA) en 2021 dans le cadre du Freedom of Information Act (FOIA) montre des résultats inquiétants sur les effets indésirables supportés par les femmes enceintes au cours de l’essai clinique de Pfizer (dans le cadre du Biological License Application, procédure permettant de valider la mise sur le marché du vaccin).

A la page 12 de ce document, apparaissent les événements indésirables signalés chez les femmes enceintes ou allaitantes qui ont reçu l’injection sur la période du 1er décembre 2020 au 28 février 2021 dans différents pays (essentiellement les Etats-Unis et le Royaume-Uni) à partir de sources diverses internes à Pfizer et d’autres sources extérieures : 23 des 32 grossesses au cours desquelles les parturientes ont reçu un vaccin Pfizer contre Covid ont provoqué des avortements spontanés. Ce résultat, qui ne prouve rien selon Reuters, est évidemment alarmant. Bien qu’il ne s’agisse pas de faire un rapport de proportion à partir de ces résultats, ils auraient dû suffire à ne pas autoriser la vaccination des femmes enceintes. D’abord, on ne donne aucun produit suffisamment testé au préalable à une femme enceinte, les essais cliniques de Pfizer (et des autres producteurs de vaccins) sont à la fois insuffisants (échantillon non représentatif) sur cette population, et sans recul sur les effets indésirables pour l’enfant à naître (l’essai clinique de Pfizer a duré quelques semaines seulement).

Si cela ne suffisait pas, le Dr Peterson Pierre rapporte une multiplication par plus de 50 du nombre de grossesses extra-utérines qui entraînent également la mort du fœtus.

Pfizer est d’ailleurs parfaitement conscient des risques tout en dénigrant les principes de précaution qu’il a lui-même établi. Selon la section 10.4.2 du protocole d’essai de Pfizer BioNTech, les femmes enceintes ou susceptibles de devenir enceintes ne doivent pas prendre les injections d’ARNm. La section 10.4.1 avertit également les hommes prenant les injections d’ARNm de “s’abstenir de rapports hétérosexuels” et de ne pas donner de sperme.

Ces recommandations se réduisent finalement à la maxime « Pas vu, pas pris », et on continue de vacciner les femmes enceintes avec l’aval des autorités sanitaires publiques qui ne jouent plus leur rôle de régulateur. En France, les mécanismes de contre-pouvoir ne fonctionnent plus et les chambres parlementaires ne sont plus qu’une courroie de transmission d’un Léviathan en phase de réélection.

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