En effet, notre grand mamamouchi, béni soit son saint nom (je ne veux pas avoir de problème avec la police politique, alors je préfère en faire un peu trop que pas assez dans le fayotage), nous emmerde mais avec affection.
Il nous recule l’âge de la retraite mais avec douceur.
Il fait tirer au flashball contre les gilets jaunes mais avec tact et c’est toujours des tirs pondérés. Les coups de matraque, eux sont aimables.
« Oui, mais je l’ai dit de manière entre guillemets affectueuse », a assuré le chef de l’État, regrettant que son interlocutrice le prenne comme une « insulte ».
« Quand quelqu’un me dit ‘je t’emmerde’, excusez-moi, je ne prends pas ça gentiment », lui a-t-elle rétorqué. « Non, ça c’est une insulte mais ce n’est pas ce que j’ai dit. Il faut le remettre en contexte”, a-t-il affirmé.
Moi cette dame, je pense qu’elle ne se rend pas compte de ce qu’elle dit. Elle se trompe. Évidemment que notre suprême guide épris de sagesse nous emmerde avec affection. Il nous aime tant que cela transpire de toutes ses interventions surtout lorsqu’il évoque, ceux qui ne savent pas lire, ou encore ceux qui ne sont rien.
Tellement d’amour, tellement de douceur, bref, en un mot devant une telle affection, je n’oserai vous dire l’affliction qui est la mienne.
Mais à défaut de rire pendant les 5 prochaines années, on va bien se marrer les 15 prochains jours !
Hahahahahahahahaha...
Merci Manu j’aime ta tendresse président.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.