18 février 2022

La Macronie espère échapper à la colère populaire par une propagande grossière

Prise la main dans le sac, les poches pleines de billets et du sang français sur les mains, à moins de deux mois de l’échéance présidentielle, malgré son bilan à tous points de vue désastreux, la Macronie tente un ultime sursaut – de communication – pour se sortir de la nasse, et de la punition qui pointe.

Des news du bunker macronien

Le dernier carré de la secte, mentalement dérangé et déconnecté du pays réel (dont il se fout complètement), se retrouve dans son bunker, entouré d’ennemis, des ennemis qu’il a lui-même fabriqués. Il fomente des coups qui ne tiennent pas une heure, et même les larbins des médias mainstream ont senti que le vent était en train de tourner : les « Russes » ne sont pas loin du bunker !

Regardez ce micro-reportage de France Info, qui a pourtant été le relais fidèle et soumis du covidisme oligarchique depuis deux ans :

Les errances dans la politique de santé publique, la destruction des libertés et de l’activité ? C’est la faute aux « scientifiques ». C’est ce que balance en douce avec une facilité et une lâcheté confondantes la petite Attal : « on », c’est pas nous, m’sieur, c’est les scientifiques !

Il fallait s’y attendre : quand ça sent le roussi – et le Ruski !–, les responsables se transforment en victimes, en irresponsables. Irresponsables et pas coupables ! Et on ose appeler ça des dirigeants ? Ce sont les braqueurs qui se sauvent quand les flics se pointent...

Plus c’est gros, plus ça passe : Macron en mode Goebbels

Après deux ans de mensonges éhontés aux conséquences incalculables (les effets secondaires des faux vaccins sur des millions de Français), voici venu le temps du lavage de mains et du surmensonge. On en vient même à se demander si les équipes de com’ de l’Élysée, avec de telles idées, ne sont pas en train d’enfoncer le président sortant...

Vomi par les Français, Macron joue au chef de guerre et au chef de de paix. Grâce à lui, la troisième Guerre mondiale n’a pas eu lieu. Merci à celui qui a (presque) sacrifié sa vie (politique) pour que la nation vive.

Les rats vont bientôt quitter ce navire en perdition, et on sera là pour les « repêcher » (et pour les interroger), soyez-en sûrs ! C’est notre côté chrétien...

Pour le plaisir des yeux : le char Rioufol roule sur la petite Attal

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