La liberté ne se demande pas, elle se prend.
Elle peut se prendre de manière violente à l’exemple de nombreuses révolutions dont la nôtre, celle de 1789.
Elle peut se prendre de manière pacifique, comme avec les manifestations tous les samedis soir dans l’Allemagne de l’est avant l’effondrement du mur de Berlin.
Elle peut mettre des années, des décennies à se prendre comme en Inde avec Gandhi ou avec Nelson Mandela en Afrique du Sud.
Mais, jamais, jamais, la liberté ne se demande. Dans l’histoire du monde, il n’y a aucun exemple de peuple demandant à son aimable dictateur de lui « rendre sa liberté » et le gentil dictateur de dire « d’accord, tu as raison, la dictature c’est pas bien ».
Les Canadiens, de manière pacifique, d’ailleurs, sont en train de reprendre leur liberté dans un pays, où leur gouvernement est parti dans un délire à peu près aussi fort que le nôtre !
OMICRON n’est pas la peste ni Ebola, fin de l’histoire !
Je crois que si nous écoutions certains médecins de plateau, nous devrions vivre enfermés 24/24 pour être sûr de ne risquer ni accident ni maladie ce qui permettrait sans doute de réduire le nombre de passages aux urgences ! En fait si nous vivons depuis 2 ans enfermés c’est au non du principe de sauver l’hôpital. Un principe qui devrait quand même sacrément poser question ! Ce ne sont pas les malades qui doivent sauver l’hôpital, mais l’hôpital qui sauve les malades ! Redevenons sérieux. Tout ceci est un délire collectif ahurissant.
Vous me direz oui mais le SARS-CoV 2 sature les urgences.
C’était vrai.
Cela ne l’est plus.
Alors libérez les peuples.
C’était vrai avec la souche d’origine. D’ailleurs ils ont largement menti pour ne pas vous effrayer. Mais oui, le virus qui sort de Wuhan, et certainement du ventre d’un pangolin en indigestion après avoir gloutonné une chauve-souris infectée, envoie 15 % des malades en réanimation, le taux de mortalité est de 3.5 %, donc oui mes amis, lorsque cela nous déferle dessus en mars 2020 il y avait des raisons de se faire du souci. Aujourd’hui la réalité c’est que quelques crapules médicales et politiques trouvent bien pratique l’obéissance et les pouvoirs exorbitants permis par la « crise sanitaire ». Ils ne veulent pas du tout revenir au monde d’avant et aux libertés d’avant.
La liberté de se demande pas. Elle se prend !
Et c’est exactement ce que font nos cousins canadiens qui mettent un beau bazar dans la capitale Ottawa. Même que, très courageusement, le jeune Trudeau qui est un peu le Macron canadien, est parti en 4ème vitesse se mettre à l’abri dans une « localisation inconnue ».
« Canada : Ottawa bloquée par des manifestants, Trudeau et sa famille escortés dans un lieu secret »
Ce n’est pas de moi, c’est de la Voix du Nord qui reprend l’information officielle en provenance de l’AFP ici. Compte tenu du sujet, j’attendais de pouvoir m’appuyer sur des sources officielles type AFP (ça on a le droit ce n’est pas complotiste) pour vous dire que le Trudeau avait pris la poudre d’escampette à la vue des camionneurs en colère qui déboulaient sur son palais !
« Des opposants aux mesures sanitaires ont manifesté pour la deuxième journée de suite dimanche dans la capitale canadienne Ottawa, tandis que des camionneurs sympathisants du « Convoi de la liberté » ont bloqué une autoroute transfrontalière à l’autre bout du pays, dans l’Ouest canadien.
« Cet après-midi, une importante cohorte policière demeure à l’oeuvre à travers le centre-ville, poursuivant sa gestion des déplacements des manifestants et camions », a déclaré dimanche la police d’Ottawa dans un communiqué, précisant que ses ressources « sont sous pression et pleinement occupées ».
La capitale canadienne est ce week-end le théâtre d’un large mouvement de contestation, initié d’abord par des camionneurs qui s’opposent à l’obligation vaccinale pour traverser la frontière terrestre canado-américaine, la plus longue au monde.
Mais de nombreux supporters, qui s’opposent plus largement aux restrictions sanitaires dans leur ensemble, ont convergé vers Ottawa pour soutenir les routiers, venus en convois de tout le pays.
En guise de solidarité, des camionneurs ont effectué dimanche un « blocage complet » de l’autoroute 4 dans le sud de l’Alberta (ouest), près de la frontière, une artère routière majeure pour le transport des biens entre le Canada et les États-Unis.
« Le point d’entrée (poste frontalier) est présentement ouvert, mais en réalité, personne ne peut le traverser à partir du côté nord à moins d’être à pied », a expliqué à l’AFP Curtis Peters, porte-parole de la GRC (police fédérale) en Alberta, qui a estimé qu’au moins une centaine de camions étaient immobiles sur l’autoroute.
Dans la capitale, la police a ouvert « plusieurs enquêtes criminelles » en lien avec la profanation de monuments nationaux, des comportements « menaçants, illégaux et intimidants » à l’endroit notamment de policiers, et aussi pour vandalisme sur un véhicule municipal.
« Je suis révulsé de voir des manifestants danser sur la tombe du soldat inconnu et profaner le Monument commémoratif de guerre du Canada », a tweeté le chef d’état-major de la Défense nationale, Wayne Eyre, ajoutant que « les personnes impliquées devraient avoir honte ».
Plusieurs jours de manifestations prévus.
Des barricades ont été installées dimanche pour bloquer l’accès des camions et véhicules au passage menant au monument.
Toujours dans le centre-ville d’Ottawa, l’organisme Bergers de l’Espoir, qui offre de l’aide aux sans-abris, a affirmé que son personnel et ses bénévoles avaient été «harcelés» par des manifestants, à qui des repas gratuits ont été distribués pour atténuer les tensions.
Le Premier ministre Justin Trudeau et sa famille ont été escortés samedi hors de leur domicile vers un lieu tenu secret, selon les médias canadiens.
Les bruits de moteurs et coups de klaxon pourraient continuer à retentir dans le centre-ville d’Ottawa encore un moment puisque des camionneurs, dont certains venus d’aussi loin que de la Colombie-Britannique, à des milliers de kilomètres, entendent manifester plusieurs jours ».
Dans cet article, l’AFP dépeint les manifestants comme des méchants qui font des « dégradations » horribles. On connait bien les éléments de langage et la propagande étatique. C’est toujours la même.
Dans la vraie, vie, il semble que les médias canadiens, eux, ne voient pas tout à fait la même chose quand on regarde cet article de Radio Canada. Organe officiel.
La liberté ne se demande pas les amis, elle se prend.
Il vaut toujours mieux la prendre de manière pacifique, par l’amour et la bienveillance car on ne gagne jamais en étant contre mais avec. On ne mobilise pas en étant contre, mais pour. On gagne les cœurs en étant bienveillant, en étant juste.
On ne demande pas sa liberté, on la prend par la désobéissance civile, par le fait de convaincre, d’expliquer inlassablement. Par le combat des idées, par le poids terrible de la vérité.
La vérité qui rend libre.
La vérité qui libère.
La vérité, c’est que quelques psychopathes qui ne veulent pas abdiquer leur pouvoir vous enferment, vous masquent, vous terrifient alors qu’il ne se passe rien. RIEN ! Des gens meurent tous les hivers des infections respiratoires classiques. Omicron est essentiellement bénin, et avec les centaines de milliers de cas quotidiens notre système de soin aurait déjà plongé si cela avait été ne serait ce que un peu grave ou un peu sérieux !
Ici la dernière étude de la DREES les services de Véran lui-même. Vacciné ou pas en dessous de 59 ans il n’y a rien. C’est en page 17 de ce rapport que vous pouvez télécharger ici. Il n’y a statistiquement aucune forme grave.
Ici la dernière étude du Lancet à lire ici, sur la vaccination qui n’apporte aucun gain sur la circulation du virus et la création de nouveaux variants. On ne peut pas encore dire que cela ne sert à rien, mais on s’en rapproche, car vous dire que cela protège des formes graves, quand il n’y a plus de forme grave c’est un peu comme la Française des jeux qui vous dit que 100 % des gagnants ont tenté leur chance !
La vérité c’est qu’il ne faut plus avoir peur.
La vérité c’est que nous redeviendrons libres, quand nous voudrons simplement reprendre notre liberté et que nous refuserons par millions d’appliquer les décisions absurdes du type mangez couchez, debout, assis… allez, donnez-moi la papatte.
La liberté ne se demande pas. Elle se prend. Elle se vit. Elle se défend. Elle se cultive. Elle se protège.
C’est ce que pensait Ronald Reagan qui disait « La liberté n’est jamais à plus d’une génération de l’extinction ».
La vérité c’est que nous redeviendrons libre lorsque nous n’aurons plus peur !
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
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