À cause des effets secondaires ou bien pour dire stop aux décisions du gouvernement, certains font le choix de ne pas recevoir leur dose de rappel. Témoignages.
« Il faut arrêter tout ce bordel ! », « ça commence à se savoir que cela ne sert à rien »... La dose de rappel ne fait pas l'unanimité. Même parmi ceux qui ont déjà effectué les deux premières doses de vaccin (ou une seule en cas d'infection au Covid-19).
L'un des derniers éléments qui a mis le feu aux poudres : l'annonce, par Jean Castex le 28 décembre, de passer le délai à trois mois pour recevoir sa dose de rappel (contre cinq, puis quatre auparavant) afin de garantir une meilleure protection face au variant Omicron.
Dans la rue ou sur les réseaux sociaux, nombreux sont ceux à s'interroger sur l'efficacité des vaccins, ou encore sur les éventuels effets secondaires parfois très lourds de ces derniers. Raison pour laquelle ils disent non à cette dose de rappel, quitte à perdre leur pass sanitaire.
« Le ras-le-bol est bien présent »
Douglas a 25 ans et a eu de mauvaises expériences lors des premières injections. Au départ, il ne souhaitait pas se faire vacciner, jusqu'à l'annonce d'Emmanuel Macron de soumettre obligatoirement le pass sanitaire pour se rendre dans les bars, restaurants et cinémas.
« Je me suis senti coupé de mes libertés, avec comme seule solution, celle de me faire vacciner pour pouvoir boire un verre, manger au restaurant et finir mes soirées en boîte », raconte-t-il à actu.fr. Il effectue alors une première dose avec Pfizer.
S'ensuivent alors de la fièvre, des nausées et des vertiges. Fin août, c'est l'heure de la deuxième dose avec cette fois-ci le vaccin Moderna. Le scénario se reproduit : « Je grelotte, je transpire, j'ai froid, de la fièvre... Tout ça pour entendre que je peux toujours attraper le Covid-19 et le transmettre ! » Pour lui, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase :
« Un pass pour la santé, pas pour accéder aux loisirs »
Les effets secondaires liés aux vaccins sont souvent mis en avant pour justifier le fait de dire non à cette dose de rappel. C'est le cas de Jean-Pierre, 62 ans, qui, après sa deuxième dose, a été victime d'un AVC avec double thrombose.
« Dans ces conditions, il était évidemment hors de question de faire une troisième dose de vaccin », lâche celui qui, à la suite de cet évènement, bénéficie d'un certificat de contre-indication à la vaccination sur son pass sanitaire, que nous avons pu vérifier.
« On persiste à vouloir vacciner, mais au final, ça fait beaucoup de doses », indique pour sa part Cathy qui, après sa deuxième dose mi-septembre, a fait le choix de ne plus recevoir d'injection et donc de perdre son pass.
D'autant plus que ce document, elle ne l'a jamais utilisé : « J'estime que si l'on doit se faire vacciner c'est pour santé, pas pour les loisirs. Là, il s'agit d'une obligation vaccinale déguisée ! »
« L'efficacité du vaccin n'est pas si bonne que ça »
Parmi les témoignages que nous avons recueillis, beaucoup se questionnent sur l'efficacité du vaccin et, in extenso, sur le délai -raccourci- pour effectuer sa dose de rappel. « Je trouve la fréquence excessive pour un vaccin qui n'empêche pas d'attraper la maladie, mais juste d'en diminuer les effets », s'exclame Hélène,34 ans.
Cette habitante de l'Eure estime que « se faire vacciner tous les trois mois, ça prouve bien que l'efficacité du vaccin n'est pas si bonne que ça ». Même discours pour Marc, 62 ans, qui pointe une (trop) grande fréquence des injections :
Si Marc a fait sa dose de rappel à la mi-décembre, il ne réalisera pas une 4e dose, si celle-ci devait voir le jour [En France, rien n'est encore acté, mais le Conseil scientifique expliquait fin décembre que le sujet était « sur la table ». Aujourd'hui, seules les personnes immunodéprimées sont éligibles, Ndlr]. Il estime que la politique de l'exécutif tend à diviser plutôt qu'à rassembler autour d'une même lutte : celle contre le virus.
Le coup de grâce ? La phrase lâchée par Emmanuel Macron dans une interview accordée au Parisien: « J'emmerde les non-vaccinés ». « Il s'agit de la politique de la peur. Il qualifie des milliers de Français comme étant de mauvais Français alors qu'aujourd'hui, il devrait plutôt rassurer », constate ce retraité.
L'un des derniers éléments qui a mis le feu aux poudres : l'annonce, par Jean Castex le 28 décembre, de passer le délai à trois mois pour recevoir sa dose de rappel (contre cinq, puis quatre auparavant) afin de garantir une meilleure protection face au variant Omicron.
Dans la rue ou sur les réseaux sociaux, nombreux sont ceux à s'interroger sur l'efficacité des vaccins, ou encore sur les éventuels effets secondaires parfois très lourds de ces derniers. Raison pour laquelle ils disent non à cette dose de rappel, quitte à perdre leur pass sanitaire.
« Le ras-le-bol est bien présent »
Douglas a 25 ans et a eu de mauvaises expériences lors des premières injections. Au départ, il ne souhaitait pas se faire vacciner, jusqu'à l'annonce d'Emmanuel Macron de soumettre obligatoirement le pass sanitaire pour se rendre dans les bars, restaurants et cinémas.
« Je me suis senti coupé de mes libertés, avec comme seule solution, celle de me faire vacciner pour pouvoir boire un verre, manger au restaurant et finir mes soirées en boîte », raconte-t-il à actu.fr. Il effectue alors une première dose avec Pfizer.
S'ensuivent alors de la fièvre, des nausées et des vertiges. Fin août, c'est l'heure de la deuxième dose avec cette fois-ci le vaccin Moderna. Le scénario se reproduit : « Je grelotte, je transpire, j'ai froid, de la fièvre... Tout ça pour entendre que je peux toujours attraper le Covid-19 et le transmettre ! » Pour lui, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase :
Quand l'annonce de la troisième dose est arrivée, je me suis dit que j'allais m'en passer quitte à être privé de mes libertés (...) Au bout de deux ans, l'habitude est là et le ras-le-bol est bien présent. Je n'ai absolument plus confiance en ce vaccin et surtout, plus confiance en nos dirigeants.Si aujourd'hui, il risque de perdre son pass sanitaire à partir du mois de mars, peu importe, il n'y croit plus : « Le vaccin n'empêche pas d'être contaminé. Et Omicron est moins virulent que le Delta. Je ne vois pas l'intérêt de pousser les gens à la peur générale. »
Douglas
« Un pass pour la santé, pas pour accéder aux loisirs »
Les effets secondaires liés aux vaccins sont souvent mis en avant pour justifier le fait de dire non à cette dose de rappel. C'est le cas de Jean-Pierre, 62 ans, qui, après sa deuxième dose, a été victime d'un AVC avec double thrombose.
« Dans ces conditions, il était évidemment hors de question de faire une troisième dose de vaccin », lâche celui qui, à la suite de cet évènement, bénéficie d'un certificat de contre-indication à la vaccination sur son pass sanitaire, que nous avons pu vérifier.
« On persiste à vouloir vacciner, mais au final, ça fait beaucoup de doses », indique pour sa part Cathy qui, après sa deuxième dose mi-septembre, a fait le choix de ne plus recevoir d'injection et donc de perdre son pass.
D'autant plus que ce document, elle ne l'a jamais utilisé : « J'estime que si l'on doit se faire vacciner c'est pour santé, pas pour les loisirs. Là, il s'agit d'une obligation vaccinale déguisée ! »
« L'efficacité du vaccin n'est pas si bonne que ça »
Parmi les témoignages que nous avons recueillis, beaucoup se questionnent sur l'efficacité du vaccin et, in extenso, sur le délai -raccourci- pour effectuer sa dose de rappel. « Je trouve la fréquence excessive pour un vaccin qui n'empêche pas d'attraper la maladie, mais juste d'en diminuer les effets », s'exclame Hélène,34 ans.
Cette habitante de l'Eure estime que « se faire vacciner tous les trois mois, ça prouve bien que l'efficacité du vaccin n'est pas si bonne que ça ». Même discours pour Marc, 62 ans, qui pointe une (trop) grande fréquence des injections :
Une vaccination tous les trois mois est un traitement.« On vit dans la contradiction »
Marc
Si Marc a fait sa dose de rappel à la mi-décembre, il ne réalisera pas une 4e dose, si celle-ci devait voir le jour [En France, rien n'est encore acté, mais le Conseil scientifique expliquait fin décembre que le sujet était « sur la table ». Aujourd'hui, seules les personnes immunodéprimées sont éligibles, Ndlr]. Il estime que la politique de l'exécutif tend à diviser plutôt qu'à rassembler autour d'une même lutte : celle contre le virus.
Le coup de grâce ? La phrase lâchée par Emmanuel Macron dans une interview accordée au Parisien: « J'emmerde les non-vaccinés ». « Il s'agit de la politique de la peur. Il qualifie des milliers de Français comme étant de mauvais Français alors qu'aujourd'hui, il devrait plutôt rassurer », constate ce retraité.
Je ne suis pas un antivax, ni un complotiste mais on vit en permanence dans la contradiction. Depuis deux ans, ce gouvernement n'a cessé de nous imposer des mesures sanitaires inefficaces, incohérentes et qui conduisent à la folie et l'hystérie collective des centaines de milliers de personnes.
Marc Retraité
Au 14 janvier, 31.120.251 personnes auraient reçu une dose de rappel et 77,5% de la population possèderait un schéma vaccinal complet.
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