« Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l'épée ».
Mathieu 10:34 – Bible Louis Second
Contrairement à bien des idées reçues, Jésus n’a jamais été une victime propitiatoire, selon la définition qu’en donne l’ancienne loi hébraïque. Le Messie est un envoyé de Dieu chargé de nous apporter la lumière vespérale qui témoigne de la fin de l’Ancien Monde pour que l’homme nouveau puisse renaître. Ceux qui ont repris en main les destinées du Saint Empire Romain auront transformé Jésus en bouc émissaire afin qu’il puisse servir de figure tutélaire auprès des masses qu’il convenait de toujours asservir un peu plus.
Se qualifiant d’« Agneau de Dieu », Jésus signifiait qu’il était venu offrir sa vie en juste sacrifice pour la rémission de nos péchés, mais pas comme bouc émissaire. Personne ne doit porter la faute des autres. Le don de soi est l’insigne marque de la grandeur et de la royauté. En effet, celui qui est consacré en qualité de ROI devrait normalement porter en lui toutes les qualités insignes qui font du titulaire un véritable nautonier, c’est-à-dire un passeur de lumière et un arbitre suprême. Le Roi veille à l’équité, à la réconciliation des partis et au rayonnement du royaume compris comme une agrégation d’« hommes de bonne volonté ». Le règne du souverain est un véritable sacerdoce puisqu’il prend sur ses épaules les destinées de chacun de ses sujets et de l’ensemble de l’humaine communauté.
Jésus a offert toute sa VIE, non seulement sa MORT, en juste sacrifice afin que l’humanité puisse entreprendre sa véritable quête de lumière, cette marche qui la mènera vers une destinée noble et lumineuse. Quand Jésus dit qu’il est le « FILS DE L’HOMME », il signifie qu’il s’est incorporé à travers l’argile de l’humanité afin d’en éprouver les faiblesses, mais aussi toutes les potentialités. Toute sa vie durant, ce grand prêtre s’il en est – en ligne directe avec le grand Melchisédech, roi de justice par excellence – est venu par sa propre offrande nous libérer du poids des illusions. Car, le péché est le fils des illusions et la fatalité représente sa terre de prédilection. Il n’y a RIEN de fataliste dans la vie du Christ. Bien au contraire !
Prêchant parmi les humbles, issus de toutes les couches de la société, Jésus, messie ou envoyé de Dieu, est venu témoigner de notre filiation avec le divin.
« Jésus, prenant la parole, lui dit: Que veux-tu que je te fasse ? Rabbouni, lui répondit l'aveugle, que je recouvre la vue. Et Jésus lui dit: Va, ta foi t'a sauvé. Aussitôt il recouvra la vue, et suivit Jésus dans le chemin »
Marc 10:52 – Bible Louis Second
Le don de soi, même lorsqu’il commande le sacrifice suprême, mène à la victoire solaire s’il procède au gré d’une juste alchimie. Puisque les alchimistes nous ont démontré que c’est par la dissolution des substances – représentant notre EGO – qu’il est possible de purifier la matière jusqu’au point de non-retour. C’est-à-dire lorsque les qualités vibratoires de l’énergie cosmique sont restituées à travers la dissolution et la recomposition – mutatis mutandis – d’un matériau qui ne demeure qu’une illusion d’optique en fin de compte. Par-delà les illusions matérialistes se cache la lumière, qui est PURE QUALITÉ VIBRATOIRE. C’est cela que la physique quantique nous aura démontré au XXe siècle.
Jésus ressuscité, c’est l’être quantique qui a quitté son « habit de peau » pour revenir réconforter ses disciples en leur annonçant qu’il a VAINCU LA MORT, une fois pour toutes. Voilà ce qu’accomplissent tous les véritables héritiers du Grand Melchisédech, roi de justice. C’est-à-dire celui qui honore et restitue les qualités vibratoires primordiales de la matière ignée, libérée de sa gangue. C’est ce que Jésus est venu faire parmi nous : nous libérer de la gangue des illusions mortifères qui nous empêchaient de « renaître à nous-mêmes » et, à l’égal des dieux, de pouvoir accomplir l’œuvre de notre vie, ici-bas.
Dans un contexte où une horde de mages noirs s’est emparée du LEXICON – c’est-à-dire du « narratif de l’humanité en marche » – qui préside aux destinées de la Polis, il y a péril en la demeure alors que les citoyens sont condamnés à devenir des esclaves. Le transhumanisme représentant les TABLES DE LA LOI de la contrefaçon, ou de la contre-œuvre, les mages à la manœuvre nous promettent de rendre notre « habit de peau » imputrescible en repoussant l’échéance du passage vers la dissolution de notre état actuel. Se drapant avec une cape d’invisibilité, ils se font passer pour des thaumaturges, des guérisseurs et des éclaireurs. Mais, nous savons que leurs potions magiques – injections à ARN messager et autres chimères génétiques – ont été fabriquées à partir de lignées cellulaires fœtales humaines, de cellules souches pour faire court, et peuvent aussi contenir des microorganismes qui viennent parasiter les cellules des cobayes du grand sacrifice mondial actuel.
Et, de fil en aiguille, lorsque le Souverain Pontife invite ses ouailles de se faire vacciner « par amour pour leur prochain », il utilise la formule magique de la victime propitiatoire comme symbole opératoire afin de neutraliser le libre-arbitre et la volonté de puissance du peuple des croyants. Malheureusement, le peuple des croyants ne représente pas forcément la filiation des disciples de Jésus et la cité du Vatican n’est rien de plus qu’un état pontifical. Il faut cesser de « vendre vessie pour lanterne ».
Ayant signé un pacte avec les adeptes de la « contre-initiation », le pontife romain s’est empressé de lier les mains de ses ouailles avec les desseins du Conseil pour le capitalisme inclusif, un surgeon du Forum économique mondial de Davos. Aligné sur les objectifs de développement durable de l’ONU, ce pacte, qui a été parafé par le souverain pontife, scelle une association plus que discutable avec une poignée de conglomérats, incluant MasterCard, Allianz, Dupont, Rothschild, Merck, Johnson & Johnson, Visa, Bank of America et, même, les fondations Ford et Rockefeller qui n’ont jamais fait la promotion de valeurs chrétiennes dignes de ce nom.
Le Pape vient d’indiquer, sans ambiguïté, qu’il se conforme aux desiderata du Grand Reset de Klaus Schwab. Utilisant la formule magique de la victime propitiatoire afin de façonner un égrégore puissant à partir de l’énergie captive de ses fidèles, ce dangereux nautonier mène ses brebis silencieuses vers l’abattoir d’un Nouvel ordre mondial qui ne peut plus attendre.
Consentir à recevoir ces injections délétères, c’est accepter de se faire injecter des substances toxiques destinées à formater des cellules qui deviendront de véritables « usines à protéines spike ». Certaines études avancent, même, la possibilité d’une modification de l’ADN des cobayes humanoïdes, ce qui pourrait, en théorie, déposséder ces derniers de leur droit de propriété sur leur propre code génétique. En outre, certaines substances artificielles liées à ce formatage cellulaire pourraient permettre de suivre à la trace ce nouveau cheptel marqué du sceau de la Bête. Par-delà les effets secondaires indésirables ou la provenance douteuse de certaines composantes des dits « vaccins », c’est toute la problématique de la traçabilité numérique du cheptel humain qui pose problème.
Accepter de se faire marquer et de se conformer à tout un protocole de circulation en société, cela signifie renoncer à sa liberté en bonne et due forme. En outre, le fait de retirer aux « non conformes » leurs droits les plus élémentaires, tout en les confinant à perpétuité, institue un système de double citoyenneté, là où les pestiférés de cette prison panoptique occuperont la position du bouc émissaire afin de conforter la masse des « croyants » de cette nouvelle religion mondialiste. De fil en aiguille, la théologie transhumaniste et globaliste se calque sur les prémisses d’un catholicisme ultramontain qui s’est toujours appuyé sur la figure de la victime propitiatoire pour raffermir sa mainmise sur un troupeau de fidèles ayant été détourné des véritables bienfaits du christianisme.
Il s’agit, si mes lecteurs me suivent, d’utiliser le complexe de culpabilité des masses – pratiquants ou pas – pour les amener à consentir à l’irréparable : modifier la structure génétique de l’humanité; accepter d’être traqué en permanence et de se conformer à l’identité numérique; vivre au sein de SMART CITIES où les objets « intelligents » connectés permettront de prédire les moindres comportements des nouveaux esclaves; avaler les dogmes de l’empreinte écologique pour ne plus être maître de sa vie; perdre le droit de propriété et toute forme d’intimité sous prétexte d’un combat contre les iniquités; dépendre de l’état en toutes choses et ne plus pouvoir compter sur la protection d’une famille, cellule humaine qui remonte à la nuit des temps.
La religion mondialiste nous promettra l’immortalité et la justice sociale à condition que l’on renonce à la propriété de notre propre personne. Enfin, la fameuse question du libre-arbitre sera réglée puisque les pontifes de la nouvelle Rome prendront en main nos libertés en échange de notre tranquillité d’esprit. Une fois l’argent liquide retiré, la traçabilité du cheptel humain et l’interconnexion des objets « intelligents » acquises, l’identité numérique instituée et l’impossibilité de jouir de son propre corps devenue réalité, l’être humain ne sera plus. L’humanoïde aura pris sa place et c’est en calquant cet immense renoncement sur la foi chrétienne que les maîtres de la contre-initiation atteindront leur but. L’homme deviendra une masse informe, un GHOLEM manipulable à volonté.
Ceux qui ont consenti à se faire marquer du sceau de la bête l’ont fait afin de pouvoir conserver certaines prérogatives et d’avoir la satisfaction de voir une poignée de boucs émissaires se faire tondre sans autre forme de procès. Toutefois, on réalise bien qu’ils ont bradé leur liberté la plus élémentaire contre un plat de lentilles. Tôt ou tard, ils subiront le même sort que les moutons noirs actuels : les nautoniers de la contre-initiation les priveront, graduellement et par soustraction d’air, de leurs droits les plus élémentaires. Véritable coup d’État planétaire, cette gestion autoritaire de la prétendue pandémie jette par terre toutes formes de constitution en laissant libre-cours à la classe politique pour ce qui est de gouverner par décret.
Les gens bien informés ont compris que les lois d’exception adoptées dans le sillage des événements du 11 septembre 2001 auront permis à l’état profond de mettre en place un dispositif permettant d’abolir, de manière graduelle et indolore, tous les garde-fous qui permettaient à notre démocratie de façade de se maintenir. Tout vient de s’effondrer, avec la bénédiction du COVID et la soumission papale. Terrorisée et incapable d’ouvrir les yeux, la majorité de nos concitoyens accepte de se départir de tous ses droits, du moment qu’elle puisse encore conserver quelques « privilèges » qu’elle sait bien éphémères. La descente aux enfers économiques et l’éventuel conflit militaire mondial qui s’annoncent accentuent la PEUR ambiante et ses effets hypnotiques sur les restes de conscience de l’humanité. Conscients qu’il faille se sacrifier afin de passer le gué vers un nouveau millénaire « plus inclusif et respectueux de l’environnement », les mutants de Panurge acceptent de jouer le jeu, du moment que des boucs émissaires soient égorgés en premier.
Être un disciple du « fils de l’homme » commande un énorme courage et une abnégation à toute épreuve par les temps qui courent. Il faut refuser la MARQUE DE LA BÊTE et mettre tout notre poids dans la balance afin d’entraver cette fuite en avant funeste et démoniaque. Les chrétiens, qu’ils soient catholiques ou membres d’autres dénominations, doivent impérativement tendre la main aux autres résistants; du moment que ce mouvement collectif prenne en considération ce qu’il est convenu d’appeler la LOI NATURELLE et l’urgence d’un ressourcement spirituel collectif dans un contexte où le matérialisme ambiant représente un véritable cancer civilisationnel. Méditez, priez, aimez-vous et prenez soin de vos proches, faites en sorte de chasser cette PEUR qui représente un véritable virus. Chemin faisant, les brebis conformes pourraient vous envier cette erre d’aller et prendre la décision de laisser leur propre peur au vestiaire. Afin d'être en mesure de vous rejoindre dans cette grande marche collective vers notre libération véritable.
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