13 janvier 2022

Crimes contre notre pays

Cette année de psychose mondiale écœurante s’est terminée avec le Dr Robert Malone, virologue et spécialiste des vaccins, qui a bombardé Internet de trois heures de franc-parler sur la campagne des autorités sanitaires américaines visant à détruire la vie d’au moins un demi-million de citoyens américains (jusqu’à présent) et, en donnant l’exemple, à nuire à des multiples de ce nombre d’innocents dans toute la civilisation occidentale.

Le podcasteur Joe Rogan a apporté son aide de manière habile grâce à une interview qui fait enfin sortir le monde d’une transe de consensus épique.

Par autorités sanitaires, je n’entends pas seulement le Dr Anthony Fauci, le coordinateur national désigné pour le SRAS-CoV-2, ou ses complices des agences du département de la santé et des services sociaux, CDC, NIH, NIAID, etc., mais aussi l’establishment médical américain aveugle composé de médecins en pratique clinique, de chercheurs, d’administrateurs d’hôpitaux et de cadres pharmaceutiques qui ont agi avec une malveillance collective stupide jamais vue depuis que les crématoires de la bureaucratie nazie ont mis en œuvre leur solution finale.

Nous savons ce que vous avez fait. Vous avez conçu et breveté un virus à gain de fonction en même temps que vous conspiriez avec des entreprises pharmaceutiques pour concevoir et breveter des pseudo-vaccins, puis vous les avez lâchés sur le public. Vous n’avez pas seulement échoué à tester correctement les « vaccins » conçus par Moderna, Pfizer et Johnson & Johnson, mais vous avez délibérément bâclé les essais et menti à ce sujet. Vous avez créé de riches incitations financières pour que les hôpitaux traitent mal les patients atteints de Covid en n’utilisant pas les antiviraux connus, sûrs et efficaces. Vous avez conspiré avec les médias sociaux et d’information pour supprimer les informations sur ces médicaments antiviraux courants qui auraient éclairé les décisions de nombreux patients et sauvé des milliers de vies. Vous avez traité des patients en phase terminale d’un trouble vasculaire induit par la Covid-19 avec le remdesivir, un médicament inefficace et toxique que le Dr Fauci avait développé sans succès pour une épidémie d’ébola il y a des années (les infirmières sont devenues si cyniques à l’égard du protocole remdesivir qu’elles l’ont surnommé « run-death-is-near / cours-la-mort-est-proche »). Vous avez incité les responsables gouvernementaux à confiner la société, à imposer le port de masques inutiles et, maintenant, à imposer la « vaccination » en menaçant de priver les citoyens de leurs moyens de subsistance.

La Cour suprême des États-Unis entendra les plaidoiries ce vendredi 7 janvier, afin d’interdire les obligations de « Joe Biden » visant à contraindre à la « vaccination » les entreprises qui emploient plus de cent personnes, ainsi qu’un mandat distinct imposant la vaccination au personnel des « prestataires » certifiés Medicare/Medicaid (c’est-à-dire la plupart des hôpitaux et des cabinets médicaux). Il y a de fortes chances que la Cour se prononce contre ces obligations. La décision est attendue pour le lundi 10 janvier, jour où les obligations sont censés prendre effet.

Les actions du gouvernement autour de l’événement Covid-19 semblent de plus en plus être délibérément et malicieusement destinées à nuire à des vies et à provoquer un effondrement social et économique. Dans les dernières semaines de 2021, les responsables fédéraux de la santé publique ont même bloqué les expéditions d’anticorps monoclonaux dans le pays, malgré leur efficacité prouvée. Les CDC ont programmé la fin de l’utilisation des tests PCR pour la Covid-19 le 31 décembre, après les avoir déclarés peu fiables en août. Pourquoi ce décalage de cinq mois ? (Pour que le nombre de cas reste élevé, voilà pourquoi).

Tous les efforts sont faits pour prolonger les autorisations d’utilisation d’urgence de « vaccins » dangereux et inefficaces afin de maintenir des boucliers contre la responsabilité au profit de leurs fabricants. C’est pour cette raison que Pfizer refuse de diffuser aux États-Unis sa version Comirnaty, approuvée par la FDA, du produit BioNTech protégé par l’EUA. Le Pentagone a menti et fait des confusions sur son utilisation des deux produits Pfizer afin d’imposer illégalement des vaccinations BioNTech non approuvées à des hommes et des femmes enrôlés. Les directeurs d’hôpitaux, les médecins et leurs associations professionnelles continuent de persécuter leurs collègues qui s’expriment publiquement contre les « vaccins ». Les fabricants de « vaccins » refusent de divulguer le contenu exact de leurs produits et ont été autorisés à ne pas divulguer les données relatives aux essais de sécurité avant un demi-siècle. La conclusion évidente est qu’ils ne veulent pas que le public soit informé de tout cela. L’effet net est que la médecine aux États-Unis a détruit sa propre autorité. Qui peut faire confiance à son médecin sachant qu’il s’est associé à cette malhonnêteté épique ?

Le pays se dirige vers un test de réalité angoissant à une échelle et une vitesse jamais vues dans l’histoire du monde. On peut déjà supposer que le gouvernement a perdu le contrôle de l’histoire de la Covid-19. La peur de l’Omicron est un échec cuisant. Beaucoup de cas, peu de morts, des symptômes légers. La crédibilité du gouvernement est foutue. Dans les mois à venir, nous apprendrons à quel point ces « vaccins » étaient nocifs – surtout chez les enfants américains – alors que les décès s’accumulent en raison des dommages causés aux organes et au système immunitaire des gens.

Les perfides médias d’information se démènent maintenant pour ajuster leurs récits, mais ils n’échapperont pas à la série de mensonges qu’ils ont sournoisement établie. Ils ne peuvent pas effacer ou réécrire chaque histoire dans leurs archives, et beaucoup d’entre elles sont de toute façon imprimées sur papier. Ensuite, ils essaieront de s’excuser. (« Désolé, mais la pandémie nous a rendus un peu fous. ») Ce n’est guère suffisant. Ils doivent répondre devant les tribunaux – ou alors nous devons simplement déclarer les États-Unis comme un État sans loi.

Les crimes de la Covid-19 contre nos concitoyens ne représentent qu’une partie d’un ensemble de tests de réalité qui nous attendent en 2022. Pensez-vous que le conseiller spécial John Durham s’est éclipsé pour boire des pina coladas dans l’oubli après avoir inculpé un duo de garçons de courses (Danchenko et Sussman) ? Il est une force hypersonique en orbite autour d’un groupe bien connu de criminels politiques qui vont être poursuivis. La prochaine étape sera le naufrage de l’économie américaine. Pensez-vous que les crimes entourant l’élection nationale de 2020 sont enterrés et oubliés ? Vous allez avoir de mauvaises surprises. Les choses ont vraiment basculé. Vous ne le réalisez simplement pas encore.

James Howard Kunstler

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone

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