Herron et les autres CHSLD, essentiellement des grappes de personnes âgées physiquement limitées demeurant dans des bâtiments spécialisés sous la gouverne du ministère de la Santé du Québec, constituent la moitié des victimes de la pandémie au Québec, environ 5.000. Il y en a d’autres ailleurs, mais depuis les premiers instants de la pandémie et encore en ce moment avec les enquêtes, tous les yeux du Québec sont rivés sur Herron et les CHSLD. Le cœur de tous les drames qui viennent de frapper le Québec ces dernières années, n’est-ce pas ?
Ne soyons pas dupes de croire à l’erreur, ou à la désorganisation, ou au manque d’alertes, ou à l’oubli, ou à la vieille technologie, ou au laxisme, ou même à l’ensemble de ces raisons. C’est ridicule! Nous ne sommes pas à Tombouctou. Tous ces directeurs et chefs qui gravitent dans la sphère branchée d’une organisation se connaissent et se sont tous rencontrés à un moment ou à un autre dans les réunions, les conférences et les 5 à 7. Tout ce monde possède un téléphone! Et il y a fort à parier qu’ils ont tous des ordinateurs.
Dès que la pandémie s’est annoncée, une cascade de décisions du ministère de la Santé surprenait pour le moins. En dépit du fait qu’ils savaient déjà par l’expérience italienne que le virus ciblait principalement les personnes âgées, leur intention, manifeste dès le début, fut de transférer quantité de malades au long terme occupant les étages des hôpitaux, vers les CHSLD.
Tout n’a pas fonctionné selon leurs désirs, mais au moins 20% de ces gens, plus de 1.000 personnes, ont été transférés dans les CHLSD et ils avaient des plans pour rajouter de nouveaux étages de patients qui permettraient encore plus de transferts, cela sans aucun plan de service d’urgence palliatif, sinon un plan de contention qui prenait effet dès que la présence du virus se déclarait dans l’un ou l’autre de ces bâtiments.
Ils ont tellement manqué leur coup, que le gouvernement du Québec, devant l’esclandre du drame qui se jouait, a requis la présence des forces armées canadienne pour ajouter des bras.
Pas de plan d’urgence, mais des consignes ont été données aux directions des CHSLD, et ces consignes continuaient d’être données même aux moments culminants des évènements. Au moment où le virus se déclarait dans un des CHSLD, les portes étaient cadenassées, il devenait impossible d’en franchir le seuil, sauf le personnel, qui en travaillant dans plusieurs de ces centres à la fois, fut, paraitrait-il, le principal vecteur de la transmission dans l’ensemble de ces centres.
Pour le reste, rien, aucune aide. En panique devant les morts qui s’accumulaient, les responsables des CHSLD laissaient des messages comme des bouteilles à la mer, sans réponses. Le ministère de la Santé a simplement cessé tout signal radio pendant des semaines.
Des vieux, de nombreux vieux qui recevaient des services de proches aidants naturels, furent ainsi privés de tout ce qui constituait leur vie. Qu’importe les alertes aux drames des journalistes et des proches qui voulaient sauver leurs vieux de ces bâtisses en feu, ils n’y pouvaient rien et devaient se contenter de brailler devant les balcons. Le drame. Les morts se sont chiés dessus.
À moins qu’on zézaye de version en version, voici la seule explication qui rassemble l’ensemble des faits.
Le 3 janvier 2020, l’OMS soulignait l’émergence d’un virus mortel à grande contagiosité en Chine. Dès cet instant, le coronavirus allait avoir l’attention de tous les infectiologues de la planète, ou qu’ils soient. Aussi tôt que le 20 janvier 2020 l’OMS se rencontrait en urgence et publiait un bulletin alarmiste sur la rapidité de la contagion et la dangerosité du virus, particulièrement pour les gens âgés. Le recensement des cas débordait déjà la Chine. Dès ce moment, le virus était placé sous haute surveillance partout, incluant le Canada et le Québec. À cette vitesse et si la situation se maintenait, des cas allaient apparaitre rapidement au Québec. Un futur tout à fait prédictible.
Le premier cas au Québec survint le 27 de février 202o, mais le directeur national de santé publique et sous-ministre adjoint à la Direction générale de la santé publique au ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec, le Dr Horacio Arruda était parti en vacances-conférence sur la pharmacologie, dans un environnement formidable, extraordinaire, soulignait-il aux journalistes à son retour, il a été reçu comme un roi, ne dérougissant pas d’éloges sur son voyage, alors qu’il badinait avec les questions sur le virus.
Le lendemain, le 9 mars, à la réunion qui fut dite la première au ministère de la Santé concernant le virus, 50 jours après la signification de l’OMS, le Dr Arruda présentait un scénario avec des prédictions effrayantes pour le Québec de 30 000 hospitalisations aux soins intensifs et 55 000 morts. Fort de l’expérience italienne, le fait qu’il touche principalement les personnes âgées était déjà évident dans les courbes de mortalité.
La concentration des vulnérables dans les CHSLD, l’extrême rigidité des règles et l’incohérence des mesures qui ont suivi, cause principale de la mortalité, était comme de corder du petit bois dans les bâtiments avant d’y mettre le feu, après avoir placé des serviettes au bas des portes et coincé des chaises sous les poignées.
N’eût été ce déroulement, la contamination au Covid aurait ressemblé à celle de l’influenza et aurait intégré notre ordinaire assez rapidement en tuant ici et là, mais la concentration des morts et les bouleversements de société qui se sont ensuivis dans les CHSLD, ont eu comme effet de cristalliser le danger du virus à la mémoire de tous, causant un choc, créant du coup un effet levier sur le peuple pour la suite, tout en rééquilibrant le bilan bras/bouches à nourrir.
D’ailleurs, quand on pense pandémie aujourd’hui, on pense CHSLD et des centaines de vieux, morts, empilés dans leurs excréments. Le coup de fouet.
Avec tous ces morts, les mesures sanitaires n’étaient plus imposées, elles étaient réclamées!
Le vaccin est arrivé en sauveur. Il fut affiché haut et fort et il est devenu instantanément le portail, la seule véritable façon de repartir la machine sociale et économique, tout le reste étant écarté par des règles, des lois, des amendes par lesquels le peuple se voyait forcé à la docilité, pendant qu’il se désensibilisait à la vaccination et aux passeports. Et les Québécois furent des plus dociles.
L’objectif recherché !
Il est manifeste que nous sommes dans un épisode d’ingénierie sociale visant à faire passer la couleuvre et que la cristallisation des dangers de la pandémie à la mémoire de tous, était le véritable objet de ce cirque. Ils ont fait la même chose à plusieurs reprises dans l’histoire, même récente. Cela était prémédité et d’un aboutissant connu. Le plus de décès possible chez une catégorie d’individus qui coûtent cher à la société, qui ne participent plus à sa bonne marche et n’ont aucun espoir d’y revenir.
Le fruit d’un plan. Un plan qu’ils n’ont pas hésité à bonifier par leurs actes et faire plus de morts que nécessaire. Les motifs derrière cette stratégie sont donc suffisamment importants pour avoir requis une telle prédisposition. Comme ce stigmate est présent dans plusieurs pays du Commonwealth, incluant l’Angleterre, le Canada, ainsi qu’une partie des États-Unis, il est manifeste que cela est le fruit d’un stratagème réfléchi et structuré. Trop structuré pour n’être que le fruit de l’incompétence.
En fait, tout cela n’était qu’un travail préliminaire à ce qui s’approche. Sous cet augure, ils peuvent engager l’isolement des individus, des familles, des pays, ils peuvent aussi mettre en force l’administration du vaccin. En cas de coup dur, ils peuvent réclamer des mesures beaucoup plus sévères.
Un outil puissant s’il en est un, avec les mesures de guerre, les mesures d’urgence sanitaires sont les plus contraignantes. Applicables sans plus de justification, elles n’ont pas à être débattues politiquement. Tout comme les mesures de guerre, les mesures d’urgence sanitaires peuvent, entre de mauvaises mains, devenir l’outil d’une dictature. Avec le virus, le vaccin et le passeport, elles peuvent servir à contrôler les déplacements, le travail, la participation à la société. Comme outil de contention, il n’y a pas mieux que le virus et le vaccin.
Qu’importe les motivations derrière, c’est un crime et cela ne dédouane pas les responsables de ces décisions. Ils savaient que le virus allait frapper fort dans les CHSLD et le travail acharné à les remplir de pensionnaires provenant des hôpitaux, démontrent qu’ils connaissaient une urgence. Or ça n’a pas manqué d’entrer dans les CHSLD et de façon foudroyante, le reste était pratiquement une anecdote.
Nous parlons d’un stratagème d’euthanasie forcée pour des gens réputés invalides de notre société qui se reposaient sur nous, par des gens sur qui reposait notre confiance. Toute la chaine de décision du ministère de la Santé était au courant de l’arrivée inéluctable de la maladie et savait d’avance que le virus frapperait dans les CHSLD avant tout.
Ça s’appelle un redécoupage de la courbe démographique, une épuration générationnelle.
Je suggère qu’Horacio Arruda et les autres hauts responsables du ministère de la Santé étaient tout à fait au courant de l’approche du virus et de ses conséquences avant février 2020 et que ce sont eux qui ont préparé l’harmonisation d’un plan avec celui canadien. Par la même, le voyage de « conférence » du Dr Arruda n’était pas si anodin, puisqu’il lui permettait de couvrir sa responsabilité dans les décisions et de se dédouaner des évènements à venir.
La présentation faite le lendemain de son retour de voyage fut très révélatrice. Les chiffres d’hospitalisation de 39.000, beaucoup plus bas que ceux des morts, 50.000, étaient irréels. Je suggère qu’ils signifiaient que seules 39.000 personnes auraient accès à des soins avant que la capacité limite des hôpitaux ne soit atteinte, laissant 11.000 personnes sur le parvis, qui mourront sans avoir reçu de soins, incidemment la quantité de morts au Québec à ce jour. Les chiffres furent manipulés pour atteindre ce résultat et laisser cette marge de 11.000 morts, et ce sont ces chiffres qui ont été présentés aux directions et aux élus.
Une enquête publique permettra de répondre à plusieurs questions.
CComment savaient-ils le moment où le virus allait se pointer le bout du nez dans les CHSLD, n’aurions pas plutôt une version moderne des couvertures infectées? Qui sont les patients zéros des CHSLD?
Qui donc a donné la consigne de garrocher et d’empiler les vieux des hôpitaux dans les CHSLD? À quelle date, le plan visant à transférer des malades au long terme des hôpitaux vers les CHSLD a-t-il été mis sur pied et communiqué? Est-ce que d’autres actions de cet ordre ont été posées?
Qui sont ceux qui étaient au courant de la stratégie et qui sont ceux qui l’ont suivie? Ont-ils retiré leurs proches des CHSLD avant que la pandémie frappe?
Combien y a-t-il eu de personnes transférées des hôpitaux aux CHSLD? Combien sont morts? Dans les autres provinces?
A quelle date précisément la classe politique a-t-elle été informée de cette situation
À quelle date Horacio a-t-il su qu’il allait donner une conférence au Maroc, reçu comme un roi, et à quel moment a-t-il effectué ses réservations d’avions et d’hôtels?
Ce n’est pas politique. La santé publique possède sa propre régie et ses propres règles. C’est un gouvernement dans le gouvernement.
Cela déborde du cadre de la pandémie. C’est un crime effrayant, on frise le nazisme! Un crime d’autant plus abject, qu’en sachant ce qui s’approchait, les CHSLD auraient pu être confinés d’avance et la plupart s’en seraient sortis sans trop de dommages. Des centaines, voire des milliers de vies auraient pu être sauvées avec de bonnes pratiques. Les gens qui ont contribué à ce stratagème ne devraient plus exercer à la fonction publique.
Rien ne permet de démontrer que cet effet de choc propulsant la vaccination avait été capital dans le résultat actuel. Cela ne signifie pas que c’était une erreur de leur part. L’avenir est incertain, mais avoir forcé le vaccin nous permet de savoir qu’ils ne sont pas sans arrière-pensée et qu’ils sont capables d’être vicieux et ça étiole la confiance.
Le rééquilibrage du bilan bras/bouches à nourrir donne quelques indices sur la cause probable de cet épisode d’ingénierie sociale. Aujourd’hui, aux effets pervers du virus sur la main-d’œuvre, s’ajoutent l’inflation et une foule d’autres causes, toutes reliées de près ou de loin au transport des biens. Un éventail de causes diverses qui ont déjà commencé à grever notre abondance. La multiplicité des causes et les conséquences ciblées laissent poindre des difficultés à réapprovisionner le cheptel, dans une vision assez lugubre où le mondialisme a une fin et qu’il faudra compter sur nous et notre région pour s’alimenter et poursuivre un monde moderne.
Le redécoupage de la courbe démographique n’est peut-être pas terminé!
Pierre de Chatillon
Ne soyons pas dupes de croire à l’erreur, ou à la désorganisation, ou au manque d’alertes, ou à l’oubli, ou à la vieille technologie, ou au laxisme, ou même à l’ensemble de ces raisons. C’est ridicule! Nous ne sommes pas à Tombouctou. Tous ces directeurs et chefs qui gravitent dans la sphère branchée d’une organisation se connaissent et se sont tous rencontrés à un moment ou à un autre dans les réunions, les conférences et les 5 à 7. Tout ce monde possède un téléphone! Et il y a fort à parier qu’ils ont tous des ordinateurs.
Dès que la pandémie s’est annoncée, une cascade de décisions du ministère de la Santé surprenait pour le moins. En dépit du fait qu’ils savaient déjà par l’expérience italienne que le virus ciblait principalement les personnes âgées, leur intention, manifeste dès le début, fut de transférer quantité de malades au long terme occupant les étages des hôpitaux, vers les CHSLD.
Tout n’a pas fonctionné selon leurs désirs, mais au moins 20% de ces gens, plus de 1.000 personnes, ont été transférés dans les CHLSD et ils avaient des plans pour rajouter de nouveaux étages de patients qui permettraient encore plus de transferts, cela sans aucun plan de service d’urgence palliatif, sinon un plan de contention qui prenait effet dès que la présence du virus se déclarait dans l’un ou l’autre de ces bâtiments.
Ils ont tellement manqué leur coup, que le gouvernement du Québec, devant l’esclandre du drame qui se jouait, a requis la présence des forces armées canadienne pour ajouter des bras.
Pas de plan d’urgence, mais des consignes ont été données aux directions des CHSLD, et ces consignes continuaient d’être données même aux moments culminants des évènements. Au moment où le virus se déclarait dans un des CHSLD, les portes étaient cadenassées, il devenait impossible d’en franchir le seuil, sauf le personnel, qui en travaillant dans plusieurs de ces centres à la fois, fut, paraitrait-il, le principal vecteur de la transmission dans l’ensemble de ces centres.
Pour le reste, rien, aucune aide. En panique devant les morts qui s’accumulaient, les responsables des CHSLD laissaient des messages comme des bouteilles à la mer, sans réponses. Le ministère de la Santé a simplement cessé tout signal radio pendant des semaines.
Des vieux, de nombreux vieux qui recevaient des services de proches aidants naturels, furent ainsi privés de tout ce qui constituait leur vie. Qu’importe les alertes aux drames des journalistes et des proches qui voulaient sauver leurs vieux de ces bâtisses en feu, ils n’y pouvaient rien et devaient se contenter de brailler devant les balcons. Le drame. Les morts se sont chiés dessus.
À moins qu’on zézaye de version en version, voici la seule explication qui rassemble l’ensemble des faits.
Le 3 janvier 2020, l’OMS soulignait l’émergence d’un virus mortel à grande contagiosité en Chine. Dès cet instant, le coronavirus allait avoir l’attention de tous les infectiologues de la planète, ou qu’ils soient. Aussi tôt que le 20 janvier 2020 l’OMS se rencontrait en urgence et publiait un bulletin alarmiste sur la rapidité de la contagion et la dangerosité du virus, particulièrement pour les gens âgés. Le recensement des cas débordait déjà la Chine. Dès ce moment, le virus était placé sous haute surveillance partout, incluant le Canada et le Québec. À cette vitesse et si la situation se maintenait, des cas allaient apparaitre rapidement au Québec. Un futur tout à fait prédictible.
Le premier cas au Québec survint le 27 de février 202o, mais le directeur national de santé publique et sous-ministre adjoint à la Direction générale de la santé publique au ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec, le Dr Horacio Arruda était parti en vacances-conférence sur la pharmacologie, dans un environnement formidable, extraordinaire, soulignait-il aux journalistes à son retour, il a été reçu comme un roi, ne dérougissant pas d’éloges sur son voyage, alors qu’il badinait avec les questions sur le virus.
Le lendemain, le 9 mars, à la réunion qui fut dite la première au ministère de la Santé concernant le virus, 50 jours après la signification de l’OMS, le Dr Arruda présentait un scénario avec des prédictions effrayantes pour le Québec de 30 000 hospitalisations aux soins intensifs et 55 000 morts. Fort de l’expérience italienne, le fait qu’il touche principalement les personnes âgées était déjà évident dans les courbes de mortalité.
La concentration des vulnérables dans les CHSLD, l’extrême rigidité des règles et l’incohérence des mesures qui ont suivi, cause principale de la mortalité, était comme de corder du petit bois dans les bâtiments avant d’y mettre le feu, après avoir placé des serviettes au bas des portes et coincé des chaises sous les poignées.
N’eût été ce déroulement, la contamination au Covid aurait ressemblé à celle de l’influenza et aurait intégré notre ordinaire assez rapidement en tuant ici et là, mais la concentration des morts et les bouleversements de société qui se sont ensuivis dans les CHSLD, ont eu comme effet de cristalliser le danger du virus à la mémoire de tous, causant un choc, créant du coup un effet levier sur le peuple pour la suite, tout en rééquilibrant le bilan bras/bouches à nourrir.
D’ailleurs, quand on pense pandémie aujourd’hui, on pense CHSLD et des centaines de vieux, morts, empilés dans leurs excréments. Le coup de fouet.
Avec tous ces morts, les mesures sanitaires n’étaient plus imposées, elles étaient réclamées!
Le vaccin est arrivé en sauveur. Il fut affiché haut et fort et il est devenu instantanément le portail, la seule véritable façon de repartir la machine sociale et économique, tout le reste étant écarté par des règles, des lois, des amendes par lesquels le peuple se voyait forcé à la docilité, pendant qu’il se désensibilisait à la vaccination et aux passeports. Et les Québécois furent des plus dociles.
L’objectif recherché !
Il est manifeste que nous sommes dans un épisode d’ingénierie sociale visant à faire passer la couleuvre et que la cristallisation des dangers de la pandémie à la mémoire de tous, était le véritable objet de ce cirque. Ils ont fait la même chose à plusieurs reprises dans l’histoire, même récente. Cela était prémédité et d’un aboutissant connu. Le plus de décès possible chez une catégorie d’individus qui coûtent cher à la société, qui ne participent plus à sa bonne marche et n’ont aucun espoir d’y revenir.
Le fruit d’un plan. Un plan qu’ils n’ont pas hésité à bonifier par leurs actes et faire plus de morts que nécessaire. Les motifs derrière cette stratégie sont donc suffisamment importants pour avoir requis une telle prédisposition. Comme ce stigmate est présent dans plusieurs pays du Commonwealth, incluant l’Angleterre, le Canada, ainsi qu’une partie des États-Unis, il est manifeste que cela est le fruit d’un stratagème réfléchi et structuré. Trop structuré pour n’être que le fruit de l’incompétence.
En fait, tout cela n’était qu’un travail préliminaire à ce qui s’approche. Sous cet augure, ils peuvent engager l’isolement des individus, des familles, des pays, ils peuvent aussi mettre en force l’administration du vaccin. En cas de coup dur, ils peuvent réclamer des mesures beaucoup plus sévères.
Un outil puissant s’il en est un, avec les mesures de guerre, les mesures d’urgence sanitaires sont les plus contraignantes. Applicables sans plus de justification, elles n’ont pas à être débattues politiquement. Tout comme les mesures de guerre, les mesures d’urgence sanitaires peuvent, entre de mauvaises mains, devenir l’outil d’une dictature. Avec le virus, le vaccin et le passeport, elles peuvent servir à contrôler les déplacements, le travail, la participation à la société. Comme outil de contention, il n’y a pas mieux que le virus et le vaccin.
Qu’importe les motivations derrière, c’est un crime et cela ne dédouane pas les responsables de ces décisions. Ils savaient que le virus allait frapper fort dans les CHSLD et le travail acharné à les remplir de pensionnaires provenant des hôpitaux, démontrent qu’ils connaissaient une urgence. Or ça n’a pas manqué d’entrer dans les CHSLD et de façon foudroyante, le reste était pratiquement une anecdote.
Nous parlons d’un stratagème d’euthanasie forcée pour des gens réputés invalides de notre société qui se reposaient sur nous, par des gens sur qui reposait notre confiance. Toute la chaine de décision du ministère de la Santé était au courant de l’arrivée inéluctable de la maladie et savait d’avance que le virus frapperait dans les CHSLD avant tout.
Ça s’appelle un redécoupage de la courbe démographique, une épuration générationnelle.
Je suggère qu’Horacio Arruda et les autres hauts responsables du ministère de la Santé étaient tout à fait au courant de l’approche du virus et de ses conséquences avant février 2020 et que ce sont eux qui ont préparé l’harmonisation d’un plan avec celui canadien. Par la même, le voyage de « conférence » du Dr Arruda n’était pas si anodin, puisqu’il lui permettait de couvrir sa responsabilité dans les décisions et de se dédouaner des évènements à venir.
La présentation faite le lendemain de son retour de voyage fut très révélatrice. Les chiffres d’hospitalisation de 39.000, beaucoup plus bas que ceux des morts, 50.000, étaient irréels. Je suggère qu’ils signifiaient que seules 39.000 personnes auraient accès à des soins avant que la capacité limite des hôpitaux ne soit atteinte, laissant 11.000 personnes sur le parvis, qui mourront sans avoir reçu de soins, incidemment la quantité de morts au Québec à ce jour. Les chiffres furent manipulés pour atteindre ce résultat et laisser cette marge de 11.000 morts, et ce sont ces chiffres qui ont été présentés aux directions et aux élus.
Une enquête publique permettra de répondre à plusieurs questions.
CComment savaient-ils le moment où le virus allait se pointer le bout du nez dans les CHSLD, n’aurions pas plutôt une version moderne des couvertures infectées? Qui sont les patients zéros des CHSLD?
Qui donc a donné la consigne de garrocher et d’empiler les vieux des hôpitaux dans les CHSLD? À quelle date, le plan visant à transférer des malades au long terme des hôpitaux vers les CHSLD a-t-il été mis sur pied et communiqué? Est-ce que d’autres actions de cet ordre ont été posées?
Qui sont ceux qui étaient au courant de la stratégie et qui sont ceux qui l’ont suivie? Ont-ils retiré leurs proches des CHSLD avant que la pandémie frappe?
Combien y a-t-il eu de personnes transférées des hôpitaux aux CHSLD? Combien sont morts? Dans les autres provinces?
A quelle date précisément la classe politique a-t-elle été informée de cette situation
À quelle date Horacio a-t-il su qu’il allait donner une conférence au Maroc, reçu comme un roi, et à quel moment a-t-il effectué ses réservations d’avions et d’hôtels?
Ce n’est pas politique. La santé publique possède sa propre régie et ses propres règles. C’est un gouvernement dans le gouvernement.
Cela déborde du cadre de la pandémie. C’est un crime effrayant, on frise le nazisme! Un crime d’autant plus abject, qu’en sachant ce qui s’approchait, les CHSLD auraient pu être confinés d’avance et la plupart s’en seraient sortis sans trop de dommages. Des centaines, voire des milliers de vies auraient pu être sauvées avec de bonnes pratiques. Les gens qui ont contribué à ce stratagème ne devraient plus exercer à la fonction publique.
Rien ne permet de démontrer que cet effet de choc propulsant la vaccination avait été capital dans le résultat actuel. Cela ne signifie pas que c’était une erreur de leur part. L’avenir est incertain, mais avoir forcé le vaccin nous permet de savoir qu’ils ne sont pas sans arrière-pensée et qu’ils sont capables d’être vicieux et ça étiole la confiance.
Le rééquilibrage du bilan bras/bouches à nourrir donne quelques indices sur la cause probable de cet épisode d’ingénierie sociale. Aujourd’hui, aux effets pervers du virus sur la main-d’œuvre, s’ajoutent l’inflation et une foule d’autres causes, toutes reliées de près ou de loin au transport des biens. Un éventail de causes diverses qui ont déjà commencé à grever notre abondance. La multiplicité des causes et les conséquences ciblées laissent poindre des difficultés à réapprovisionner le cheptel, dans une vision assez lugubre où le mondialisme a une fin et qu’il faudra compter sur nous et notre région pour s’alimenter et poursuivre un monde moderne.
Le redécoupage de la courbe démographique n’est peut-être pas terminé!
Pierre de Chatillon
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