L’hydre mondialiste n’a pas de centre, pas un cerveau mais plusieurs, comme la pieuvre. Notre cousin céphalopode, qui possède 9 cerveaux et 3 cœurs, survivra probablement à l’humanité, qui fait un peu trop de conneries – malgré son intelligence (moyenne) – sur terre, dans les airs et les mers. On parle aussi des calamars, mais il nous faut un animal avec des tentacules, pour la démonstration.
On a tous entendu parler du cabinet de conseil McKinsey, qui s’est infiltré à l’Élysée et au gouvernement. McKinsey a pris en charge en 2020, pour quelques millions de dollars (on parle de deux millions de dollars seulement, mais on n’y croit pas), la campagne de vaccination qui avait du mal à convaincre ces satanés Français. Depuis, 8 Français sur 10, si l’on en croit la propagande, se sont fait piquer contre une grippe venue d’ailleurs, de Chine ou des labos du mondialisme.
En effet, Bill Gates avait annoncé une telle pandémie, et même préparé une feuille de route pour les gouvernants, qui s’y sont curieusement pliés, contre, le plus souvent, les besoins et les désirs de leurs peuples respectifs. Mais nous ne sommes plus les peuples de ces gens-là depuis longtemps, l’autonomie gagne et le détachement de l’élite est plus grand que jamais.
Ceci étant dit, le cabinet de conseil McKinsey a établi une structure tentaculaire dans le monde entier, on dirait même un gouvernement de gouvernements, un gouvernement fantôme mais bien réel, comme Goldman Sachs peut être considérée (hormis Clearstream, la Fed et la BCE) comme la banque des banques. Lapresse.ca décrit le phénomène :
Usine de PDG pour les uns, mafia tentaculaire pour les autres, McKinsey n’a pas d’équivalent dans le monde des affaires. Ses 8 000 consultants, dont 50 à Montréal, conseillent 95 des 100 plus grandes multinationales au monde. Phénomène unique, 80 % de ses mandats sont sollicités directement par ses clients, souvent dirigés par des anciens de la firme. Actuellement, 160 anciens de McKinsey dirigent des entreprises avec un chiffre d’affaires supérieur à un milliard de dollars. McKinsey a aussi formé des centaines de hauts dirigeants d’entreprises, dont le Québécois Patrick Pichette, chef de la direction financière chez Google. « Nous avons créé plus de PDG de multinationales que n’importe quelle autre organisation. Nous avons des contacts, mais en même temps, nos anciens sont durs avec nous parce qu’ils nous connaissent », se défend Dominic Barton.
C’est la définition de l’hydre mondialiste, mais il ne s’agit que de l’une des hydres de l’hydre globale. Car nous avons aussi le Big Bank, avec les grandes institutions financières, banques (centrales et privées) et fonds de pension (Vanguard, BlackRock), le Big Pharma (Pfizer, Moderna et compagnie, devenus célèbres depuis le plan covidiste), le Big Tech (dit aussi GAFAM), et bien sûr le Big Business, incarné par le CAC40 chez nous. Les plus grosses entreprises, l’industrie du numérique, de la santé, du fric, sans oublier les services de renseignement, de police et de défense, qui protègent tout cela, plutôt que les peuples eux-mêmes. C’est à peu près ça, aujourd’hui, l’oligarchie. Un ensemble de puissances dont les intérêts se croisent forcément.
La preuve ?
Et pour cause : le cabinet, qui conseille 147 des 200 plus grandes entreprises mondiales, comme le rappelle France Culture, a récemment terni sa réputation par son implication dans un scandale sanitaire de grande ampleur, aux États-Unis. Il s’agit de la crise dite des opiacés, ces médicaments dérivés de l’opium au puissant pouvoir addictif. Depuis le début des années 2000, la généralisation de la prescription et la consommation de plus en plus massive, de ces antalgiques auparavant réservés aux malades du cancer en phase terminale, auraient causé entre 300 000 et 500 000 décès par overdose dans le pays. (Capital)
En France, la pieuvre McKinsey fait fort, entre les conseils au gouvernement qui sonnent comme des ordres et aux dirigeants du CAC40, quand ses dirigeants ne viennent justement pas de McKinsey ! Marianne du 15 janvier 2021 illustre cette consanguinité en France avec cet encadré :
Pas de rupture de (et dans) la chaîne mondialiste
Plus consanguin, tu meurs dans le lit de Bill Gates sur l’île de Jeffrey Epstein ! Il n’y a pas meilleur liant que McKinsey pour illustrer le prolongement de la politique dite française entre Sarkozy et Macron : c’est même la définition du pouvoir profond !
Et pour que les innocents comprennent bien le lien entre Kinsey, qui conseille notre politique sanitaire, pour ne pas dire qu’il la dirige, et Pfizer, qui vient de faire 35 milliards de bénéfices avec son pseudo-vaccin, ce modificateur cellulaire à détente retard (effets secondaires incalculables), voici l’information sur une nomination importantissime chez Pfizer le 26 août 2021 :
Kinsey et Pfizer la main dans la main, donc il y a bien un axe Pfizer-Kinsey-Macron ou France, mais sans l’accord des Français. Tout ceci (se) passe au-dessus de nos têtes, et il faut avoir l’esprit mal tourné pour aller chercher ces infos complotistes, qui sont pourtant là, y a qu’à se baisser. C’est un peu la chasse aux champignons : on a donc trouvé deux ou trois gros cèpes, et ça continue avec le lien Kinsey-Google, Kinsey ayant déterminé un gisement de fric pour le géant du tech californien :
Le gisement de croissance dans le digital est réel. Selon McKinsey, entre 245 et 390 milliards d’euros pourraient s’ajouter à la richesse nationale à l’horizon 2025 (2 500 milliards d’euros pour l’Europe). Alors, comment enclencher la transformation digitale des entreprises françaises ? Comment libérer leur potentiel économique digital ? Par où commencer ? Voici 7 enseignements relevés par McKinsey lors de transformations digitales réussies... (thinkwithgoogle.com)
La « transformation digitale », bien aidée par la panique covidiste, est en cours, les vautours sont déjà là, ayant peut-être même préparé le cadavre, ou disons accéléré son agonie. Y a bon la viande française, celle qui fait saliver BlackRock ! Pas la peine d’allonger ici la liste des collaborations entre Google et Kinsey,
Partout se tissent des liens forts entre ces géants, qui se partagent le gâteau du monde. On dirait presque un Yalta économique entre Big Tech, Big Bank, Big Business (et encore, ça peut se caser dans Big Bank, tant les liens entre banques et multinationales sont là aussi ténus, voir Faits & Documents), Big Pharma et Big Brother (dans lequel on case le renseignement, la police, la répression gouvernementale), toutes ces têtes de l’hydre mondialiste. Le dernier arrivé dans ce carré de tête est bien le Big Pharma, qui sert de déclencheur avec son idée géniale de pandémie, qui doit forcer le basculement dans le monde d’Après. Et vous pouvez être sûrs que les autres têtes de l’hydre sont prêtes à nous bouffer tout crus !
Les scandales derrière Kinsey (Enron, opiacés), Google (censure, CIA), Pfizer (effets secondaires, corruption), sont heureusement effacés par le Big Média, qui n’entre même pas en tant que tête dans l’hydre puisque ce sont des larbins, nécessaires au fonctionnement de la domination mondiale mais larbins quand même. Si l’on veut 7 têtes, pour des raisons symboliques, on rajoutera le Big Média, ce haut-parleur unique qui dit la même chose du matin au soir d’un pays à l’autre pour enfoncer la propagande mondialiste dans la tête des gens.
Illustration de l’« humanisme » de ces entités, la nouvelle statue placée à l’entrée principale de l’Organisation des Nations unies (ONU) à New York, baptisée Gardienne de la paix et de la sécurité :
« La bête que je vis était semblable à un léopard ; ses pieds étaient comme ceux d’un ours, et sa gueule comme une gueule de lion. Le dragon lui donna sa puissance, et son trône, et une grande autorité. » (Apocalypse 13 : 2)
Pour finir par une note positive, nous dirons qu’en face de cette hydre, il y a l’hydre de la résistance, ou plutôt un grand chevalier, fait de millions d’êtres conscients, qui reste humain donc, et qui est là pour couper des têtes.
McKinsey chez Bercoff
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