Le Danemark produit des statistiques qui battent totalement en brèche le mantra du vacciné moyen qu'on connaît bien : le vaccin permet de ralentir la contamination et d'empêcher les formes graves de la maladie. L'arrivée du variant OMicron, selon les chiffres officiels de ce champion européen de la vaccination, change complètement la donne. Désormais, le vaccin ne confère plus d'avantages aux personnes contaminées...
Au Danemark, le variant OMicron montre qu’il est une bombe à retardement pour la vaccination obligatoire. Selon les statistiques diffusées par les autorités sanitaires danoises, il contamine en effet autant les vaccinés que les non-vaccinés.
Le tableau ci-dessus, cité par le site Euronews, qu’on ne peut soupçonner de complotisme, est sans équivoque sur la question.
Environ 87% des Danois sont vaccinés. Et 87% des personnes infectées par OMicron le sont : 75% ont reçu deux doses, 9% ont reçu un booster, 2,4% ont reçu au moins une dose.
Ces chiffres montrent donc qu’il existe une indifférence du variant OMicron au vaccin, y compris à la troisième dose.
Des chiffres tragiques pour les laboratoires pharmaceutiques
Ces éléments officiels incontestables montrent qu’il existe une indifférence du virus sous son variant OMicron vis-à-vis du vaccin, qu’il sera difficile de ne pas prendre en compte dans les futures décisions publiques.
Nous avons tous constaté que les gouvernements, sous la houlette de la Commission Européenne, évoquent de plus en plus la question de la vaccination obligatoire, au mépris du principe de précaution qui devrait examiner la balance bénéfice-risque pour les vaccinés.
À quoi peut encore servir la vaccination obligatoire si être vacciné ne ralentit même plus la contamination par le virus ?
Big Pharma veut-il accélérer le pas avant que la vérité ne sorte ?
L’activisme vacciniste auquel nous assistons pose évidemment la question du calcul économique réalisé par les laboratoires face aux temps difficiles qui s’annoncent.
L’arrivée de nouveaux variants indifférents aux vaccins devrait miner un modèle économique juteux, mais dont l’utilité sanitaire est désormais attaquée de toutes parts. Face au risque de voir la poule aux œufs d’or mourir décapitée dans les semaines à venir, on comprend que les laboratoires s’activent en coulisses pour obtenir le maximum de bénéfice le plus rapidement possible.
Il est donc tentant de voir, derrière les déclarations répétées sur la vaccination obligatoires, la manifestation d’une ultime fébrilité des laboratoires avant leur naufrage.
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