Le refus obstiné des milieux se prétendant scientifiques de reconnaître la validité établie de certains traitements précoces contre le Covid est un scandale sanitaire d’une envergure sans précédent. Qui se soldera à n’en pas douter devant les tribunaux une fois l’état d’hystérie collective retombé.
Nous savons aujourd’hui que des milliers de patients sont morts d’avoir été privés de soins. Instruits de rester chez eux et de ne surtout pas consulter alors qu’ils étaient en train de décompenser en oxygène, puis hospitalisés beaucoup trop tardivement, un nombre important d’entre eux auraient pu être sauvés si la médecine n’avait pas renié ses fondamentaux (voir la démonstration de Vincent Pavan lors de la 35ème séance du Conseil scientifique indépendant : cliquer ici).
Instrumentalisée à des fins lucratives par une industrie crapuleuse qui (comme le soulignait le rapport de la Chambre des Communes britanniques en 2005) a étendu ses tentacules à tous les niveaux décisionnels, la médecine hospitalière et universitaire occidentale est coupable de la plus vaste opération d’homicide (au moins) par négligence de tous les temps.
Les auteurs et complices de cette dérive abominable peuvent bien jouer les grands inquisiteurs sur les plateaux télé, la réalité les rattrapera tôt ou tard. Avec deux pointes aussi honteuses l’une que l’autre : dans le même temps où ils niaient la montagne d’évidence en faveur des principaux traitements précoces (trithérapie hydroxychloroquine – azithromycine – zinc et bien sûr ivermectine), ces mêmes « experts » promouvaient le toxique, inefficace et coûteux remdesivir sans la moindre donnée probante à l’appui de son usage…
La second pointe est que la campagne massive d’injection génique largement inefficace et toxique que l’on nous impose dans un élan de fanatisme hystérique, donc, digne des moments les plus sombres de notre histoire, ne pouvait être imposé qu’à la condition qu’il n’existât aucun traitement utile disponible. Ceci semble expliquer cela d’une manière qui crève d’autant plus les yeux que la propagande médiatique aura réussi l’exploit de faire croire que les traitements en question, parmi les plus sûrs de toute la pharmacopée, étaient en réalité dangereux ! Et que les injections géniques très risquées, sur lesquelles nous n’avons toujours aucun recul digne de ce nom, étaient parfaitement « sûres et efficaces » malgré des effets indésirables et un nombre de décès post-« vaccinaux » absolument sans précédent.
Toutes ces ignominies peuvent faire illusion un temps. Mais guère longtemps. Comme le souligne l’excellent observateur Eric Verhaege, diplômé de l’ENA et directeur du Courrier des Stratèges, dans une entretien avec Xavier Azalbert, directeur de la publication de France Soir : « Que ces gens-là ne s’imaginent pas qu’ils vont pouvoir échapper aux poursuites. »
Je le dis ici modestement mais haut et fort depuis des mois : des « responsables » comme Alain Berset et Mauro Poggia, des scientifiques sous lourds conflits d’intérêts et aux propos frauduleux comme Didier Pittet, Antoine Flahaut, les membres de la « Task Force » ou encore Didier Tronno et Alessandro Diana finiront forcément devant les tribunaux. Grisés par leur pouvoir et la complaisance sans bornes des médias achetés, ils peuvent temporairement faire illusion. Le problème est qu’ils participent activement à une magouille rien moins que hideuse, manipulant la population et détruisant des vies. Les réveils ne peuvent être que douloureux.
En ce qui concerne l’ivermectine donc, remède sûr et éprouvé (sa découverte a valu à son auteur un prix Nobel), d’une efficacité remarquable contre le Covid-19, appuyé sur des dizaines d’études incomparablement plus rigoureuses que celles mentionnées à l’appui de l’autorisation du remdesivir ou des injections géniques, il aura été l’objet d’une campagne de dénigrement sans précédent de la part de ce qu’on appelle encore par habitude et paresse de pensée « la presse ».
Cette manipulation a été décrite en détails et, comme cas d’école de propagande réussie, figurera dans les manuels d’histoire. Avec un picth d’une stupidité radieuse à laquelle il fallait toutefois penser : puisque ce remède multifonctionnel est aussi employé en médecine vétérinaire, on le qualifia de « remède pour les chevaux » ou même de « vermifuge pour équidés dangereux pour les humains », selon la lumineuse description du conseiller national socialiste Roger Nordman à la tribune du Conseil national. Si on savait certains socialistes capables d’être parfois bêtes à brouter du foin, le triste sire en question a franchi le mur du çon d’avoine les doigts dans les naseaux et haut les sabots…
Pendant donc que nos autorités médicales et politiques truandent à tout va, les études et l’évidence clinique continuent à pleuvoir.
Dernière publication en date, à laquelle il sera difficile de trouver des poux, une étude rétrospective des données à l’échelle d’une ville entière au Brésil : la ville d’Itajai a offert de l’ivermectine en prophylaxie (0,2mg/j/kg pendant 2 jours toutes les 2 semaines) à ses 220’000 habitants sur une base volontaire. 60 % (à haut risque) ont pris le remède pendant 7 mois.
Verdict ? Les hospitalisation et la mortalité COVID ont été diminuées de moitié.
Avec comme commentaire : « Des résultats qui résistent à tous les facteurs de confusion raisonnables dans une analyse appariée par score de propension grâce à un riche ensemble de données. Les résultats peuvent être considérés comme quasi-randomisés. »
Dont voici le résumé (abstract) :
Contexte : L’ivermectine a démontré différents mécanismes d’action qui pourraient potentiellement protéger à la fois de l’infection par le COVID-19 et des comorbidités liées au COVID-19. Sur la base de la littérature existante et du profil de sécurité de l’ivermectine, un programme d’utilisation prophylactique de l’ivermectine pour le COVID-19 a été mis en place dans toute la ville d’Itajai, une ville du sud du Brésil dans l’état de Santa Catarina.
L’objectif de cette analyse est d’évaluer les effets de l’utilisation de l’ivermectine pour la prévention de l’infection par le COVID-19, le risque de décès et la mortalité, par rapport aux non-utilisateurs.
Matériaux et méthodes : il s’agit d’une analyse rétrospective des données du registre du programme de prévention de l’infection à COVID-19 par l’ivermectine à l’échelle de la ville, basé sur des données médicales, entre juillet 2020 et décembre 2020. Toute la population d’Itajaí a été invitée à une visite médicale afin de compiler les paramètres démographiques et médicaux. En l’absence de contre-indications, l’ivermectine a été proposée comme traitement optionnel pendant 2 jours tous les 15 jours à une dose de 0,2mg/kg/jour. Les préférences et l’autonomie médicale des patients ont été préservées.
Les utilisateurs d’ivermectine ont été comparés à la population appariée par comorbidité de non-utilisateurs de COVID-19 selon l’âge, le sexe, le taux d’infection par COVID-19 et le taux de mortalité par COVID-19. Les résultats en termes de mortalité ont été ajustés pour toutes les variables pertinentes et le Propensity Score Matching (PSM) a été calculé. Résultats : Un total de 220 517 sujets ont été inclus dans l’analyse ; 133 051 (60,3%) utilisateurs d’ivermectine et 87 466 (39,7%) non-utilisateurs. L’infection au COVID-19 est survenue chez 4 311 (3,2 %) sujets traités et 3 034 (3,5 %) sujets non traités.
Ces données ont montré une réduction de 7% du taux d’infection par COVID-19 avec l’utilisation de l’ivermectine : rapport du taux d’infection par le COVID-19 (Rapport de risque (RR) de 0,93 ; intervalle de confiance (IC) à 95%, 0,89 – 0,98 ; p = 0,003). Un total de 62 décès (taux de mortalité de 1,4 %) est survenu chez les utilisateurs et 79 décès (taux de mortalité de 2,6 %) chez les non-utilisateurs, montrant une réduction de 48 % du taux de mortalité (RR, 0,52 ; IC à 95 %, 0,37 – 0,72 ; p = 0,0001). Le risque de mourir de COVID-19 chez les utilisateurs d’ivermectine était inférieur de 45% à celui des non-utilisateurs (RR, 0,55 ; 95%CI, 0,40 – 0,77 ; p = 0,0004).
Conclusion : L’utilisation prophylactique de l’ivermectine a montré une réduction significative du taux d’infection par le COVID-19, du taux de mortalité et des risques de mourir du COVID-19 dans une analyse calculée au niveau de la population, qui a contrôlé toutes les variables confusionnelles pertinentes.
Rappelons qu’en Suisse romande, à l’Hôpital Riviera-Chablais, une équipe avait conquis de haute lutte (après s’être vue interdire de continuer à utiliser le protocole de trithérapie mis au point à Marseile malgré l’évidence des résultats) le droit de soigner les patients Covid avec l’ivermectine. Après plus de 400 patients soignés ainsi parmi lesquels il n’y aura eu aucun décès, le CHUV (bastion de le corruption institutionnelle en Romandie avec les HUG) a exigé la cessation de ces soins, arguant que « ce n’est plus ainsi que l’on fait de la médecine ».
En effet, la nouvelle manière semblant être de laisser mourir les gens par privation de soins puis intubation violente (intervention hautement iatrogène) une fois qu’il est trop tard tout en prétendant à tort que les hôpitaux sont débordés. Ma foi, tant que cela sert l’intérêt des laboratoires qui arrosent copieusement services et chercheurs année après année, on ne voit pas pourquoi tout ce beau monde pinaillerait ni se soucierait des victimes qu’on aurait pu sauver. Et puis, n’est-ce -pas, on a le glorieux « vaccin » qui, selon les professions de foi touchantes de Tamedia et du Temps, constituait, constitue et constituera la « seule solution » malgré son échec aujourd’hui évident.
Seule solution pas (puisque ni seule, ni surtout solution), mais plus lucrative assurément. Je l’avais souligné dans le film Hold-Up (dont les principales thèses se sont confirmées dans la réalité, la dernière en date constatée étant les risques majeurs portés à la fertilité des « vaccinés »)…
… il y avait pour les labos des centaines de milliards de dollars à la clé de cette hideuse manipulation. Lesquels tombent dans la caisse mois après mois grâce à l’immoralité et à la stupidité de nos responsables. Champagne pour les uns, misère et dévastation pour les autres.
Comme le soulignait récemment avec tristesse le Pr Christian Perronne, lequel a dirigé pendant quinze ans la réponse sanitaire de la France aux épidémies, s’il avait été aux commandes, la « pandémie » serait terminée depuis longtemps. Les corrompus ne l’entendaient évidemment pas de cette oreille-là. Ni surtout leurs commanditaires…
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