J'entends encore dans l'oreille les propos d'une femme : "Au moins avec le vaccin, on est libre !". Pauvre femme, handicapée du lobe frontale par procuration ! La liberté conditionnelle du taulard en permission de Weekend et retour derrière les murs. Pire, celle soumise à injections répétitives, temporairement imma-tri-culée, comme un compte à rebours hésitant entre AVC, thromboses diverses, maladie à prions et peut-être, avec un peu de chance, la mort rapide assimilée à une délivrance.
C'est officiel, nombre de nos concitoyens ont transféré leur facultés cognitives à leurs dirigeants choisis, pas élus, comme le chante Bernard Lavilliers. Les chaînes de télévision jouant dans ce drame mondial, le rôle de directeurs de conscience. Toutes les facettes de l'aliénation mentale se manifestent sous les apparences du "devoir" couplé à la "liberté" à peine consentie. L'expérience de Milgram à ciel ouvert, c'est maintenant. Ainsi que le bénéfice immédiat de cette tentative abjecte, de dresser des pans entiers de peuples les uns contre les autres.
Définition du Larousse :
« Aliénation : état de quelqu'un qui est aliéné, qui a perdu son libre arbitre (…) situation de quelqu'un qui est dépossédé de ce qui constitue son être essentiel, sa raison d'être, de vivre. »
A l'origine de ce mal, la peur transmise à longueur d'antenne, ritualisée par le décompte morbide de début de soirée. Il y aura des comptes à rendre.
Liz
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