Dans un entretien avec Resistance GB, Wesley, qui est directeur de pompes funèbres depuis plus de trois ans, parle de son expérience de la soi-disant “pandémie” et de ce qu’il a vu dans les morgues ces derniers temps.
Il dit qu’il voit actuellement un nombre incalculable de bébés et de nouveau-nés morts entassés dans les chambres froides et dans les morgues en attendant leurs funérailles.Le nombre sans précédent de bébés, que lui et d’autres entrepreneurs de pompes funèbres doivent gérer, n’a d’égal que le nombre très élevé de jeunes gens de 30 et 40 ans qui meurent depuis que l’injection de Covid a été mise en place, dit-il.
Au début de la pandémie, les morgues ont connu une vague de décès
qui, en quelques mois, s’est calmée, même si les médias ont continué à
faire un battage médiatique sur les décès dus au Covid. Il y a eu une
recrudescence de suicides au cours de l’été 2020 chez des hommes
majoritairement jeunes, mais quand l’automne 2020 est arrivé, tout était plus tôt.
Et puis, dit-il, « en janvier [2021], les chiffres ont crevé le plafond… et ce, depuis que les gens étaient vaccinés. » Aujourd’hui, il n’a jamais vu autant d’enterrements en l’espace de deux semaines, et chez les jeunes, il en voit en moyenne 12 « d’un coup », alors qu’avant l’injection de Covid, il ne voyait que « quatre ou cinq enterrements en cours, pas 12, et pas tous dans ce groupe d’âge ».
Et maintenant, dit-il, ce qu’il voit, c’est un grand nombre de nouveau-nés… « vraiment beaucoup, environ 30 » alors qu’il n’en voyait que trois ou quatre auparavant. En d’autres termes, le nombre de nouveau-nés qui meurent est environ dix fois supérieur à ce qu’il voit normalement – il y en a tellement qu’il doit les garder dans la section des adultes, où il y a davantage de place. « Il est évident qu’il s’agit soit de fausses couches, soit de naissances à terme, mais on n’en parle pas beaucoup », dit-il.
Pour mettre les causes des décès en perspective, il dit qu’il n’a eu qu’un seul décès dû au Covid cette année. Tous les autres sont des myocardites, des infarctus (crises cardiaques) et quelques pneumonies. Il fait également remarquer que « tous ceux qui sont morts au début de la pandémie ont été marqués Covid sur leur certificat de décès, mais que ce n’est plus le cas depuis l’introduction de l’injection Covid ».
The Exposé, le 7 novembre 2021
Traduction O. Demeulenaere
Source : Aulnaycap.com
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