Un garçon californien de 15 ans décède 2 jours après sa deuxième dose

Un garçon de 15 ans du comté de Sonoma, en Californie, est décédé tragiquement deux jours seulement après avoir reçu sa deuxième dose Pfizer.

Le garçon, qui était par ailleurs en bonne santé, a été retrouvé inconscient dans sa chambre par sa mère, après qu'il ne se soit pas réveillé. Selon un rapport d'enquête sur sa mort, du bureau du shérif du comté de Sonoma, il a été déclaré mort sur les lieux et enregistré pour un examen post mortem par un médecin légiste.

Le rapport n'a pas déclaré clairement que le vaccin avait causé sa mort, mais c'était sous-entendu. Il déclarait : « Après des recherches approfondies, des tests supplémentaires et une collaboration avec de nombreuses autres entités, la cause du décès a été déterminée comme étant : VACCINATION PFIZER-BIONTECH COVID-19 ». Le rapport ajoute qu'aucune autre condition significative n'a contribué à sa mort.

Le rapport a poursuivi en disant: «Étant donné que l'étiologie de la cardiomyopathie de stress, avec inflammation de l'artère coronaire périvasculaire, était inconnue mais était dans le cadre d'une récente vaccination Pfizer-Biontech Covid-19, j'ai qualifié ce décès d'« INDÉTERMINÉ », ce qui était cohérent avec les circonstances et la cause.

La cardiomyopathie de stress survient lorsque le muscle cardiaque est rapidement affaibli par un stress soudain et aigu, qui peut être physique ou émotionnel. Cela provoque un flux d'adrénaline massif qui rétrécit les artères alimentant le cœur en sang ou se lie directement aux cellules cardiaques, les obligeant à absorber dangereusement le calcium.

Dans un autre incident, un garçon de 13 ans du Michigan, Jacob Clynick, est décédé trois jours seulement après avoir reçu sa deuxième dose de vaccin. Il s'est plaint de maux de tête, de fièvre et de maux d'estomac la veille, mais cela ne semblait pas assez grave pour obtenir de l'aide médicale ; il mourut quelque temps après s'être couché ce soir-là. Le garçon, qui venait de terminer sa huitième année était en très bonne santé et on se souvient de son esprit gentil et de son amour du camping.

Les autres vaccins ne s'en sortent pas beaucoup mieux chez les jeunes. Une jeune fille du Nevada de 18 ans a dû subir trois interventions chirurgicales pour enlever les caillots de sang qui s'étaient formés dans son cerveau à la suite du vaccin Johnson & Johnson, tandis qu'un garçon de 17 ans de l'Utah s'est avéré avoir deux caillots de sang à l'intérieur de son cerveau et un à l'extérieur au point de vaccination.

Les adolescents courent un plus grand risque de problèmes cardiaques liés à la vaccination

Le CDC a demandé aux gens d'être vigilants quant aux symptômes tels que les douleurs thoraciques, l'essoufflement et la sensation d'un cœur battant fort après vaccination.

Un groupe consultatif des Centers for Disease Control and Prevention a mis en garde contre un "lien probable" entre l'inflammation cardiaque chez les adolescents et les vaccins Pfizer et Moderna . Des myocardites et des péricardites ont également été observées chez les adultes vaccinés, bien qu'elles soient notablement plus élevées chez les jeunes hommes après la deuxième dose. Le CDC a été mis au courant de plus de 1.000 cas d'inflammation cardiaque.

Une étude publiée sur medRxiv menée par des chercheurs de l'Université de Californie a révélé que les adolescents ont six fois plus de chances de souffrir de problèmes cardiaques causés par les vaccins COVID-19 que d'être hospitalisés en raison de COVID-19. Cette conclusion a été tirée après avoir comparé les taux d'inflammation cardiaque chez les personnes âgées de 12 à 17 ans avec les taux d'hospitalisation COVID-19 dans le même groupe d'âge.

La Suède et le Danemark ont ​​récemment suspendu l'utilisation du vaccin Moderna COVID-19 chez les jeunes en raison de l'augmentation de l'inflammation cardiaque, mais d'autres pays poursuivent leurs efforts pour faire vacciner les enfants malgré les risques. Des enfants meurent, mais les régulateurs américains et européens continuent d'insister sur le fait que les avantages des injections Pfizer et Moderna dans la prévention des graves COVID-19 l'emportent sur les risques.

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