Ils préparent la "vaccination" des 9 millions de jeunes enfants

Le Covid-19 touche de plus en plus les nouveau-nés. À Nice, dans les Alpes-Maritimes, un hôpital a admis dans son service d'urgences pédiatriques douze enfants depuis une semaine. 

À Nice, dans les Alpes-Maritimes, cinq nourrissons sont actuellement hospitalisés à l'hôpital Lenval pour cause (supposée) de Covid-19. Depuis la semaine dernière, 12 enfants ont été hospitalisés. Le virus se manifeste avec une forte fièvre. "La difficulté, c'est qu'avec la fièvre, ils n'arrivent plus à s'alimenter correctement, et pour un nouveau-né de sept jours, comme on en a actuellement, ça pose problème, donc on peut être amenés à faire ce qu'on appelle un 'gavage' pour apporter l'alimentation qui lui est absolument vitale", explique le docteur Philippe Babe, chef adjoint des urgences pédiatriques. 

La plupart du temps, les parents (vaccinés) ont aussi le virus. Les soignants recommandent aux parents de se faire vacciner pour éviter de tels cas de figure. Dans les semaines autour de la naissance, il est recommandé d'éviter de sortir dans des endroits trop fréquentés. Si le nombre de cas chez les jeunes enfants continue d'augmenter, une unité Covid spécialisée pourrait être ouverte. 

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Primo, on ne se vaccine jamais en période épidémique, secondo, la grande majorité des parents est vaccinée et tertio, ce sont les parents vaccinés qui contaminent leurs enfant ! 

Entre les vaccinés qui perdent leurs défenses immunitaires et contaminent les non-vaccinés, et l'arrivée des maladies "hivernales", des épidémies vont surgir de partout... Désastre sanitaire en cours.

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"Une femme médecin avait averti, il y a quelques mois. Elle avait reçu un courrier de l'ARS ou autre usine à gaz du genre, précisant les symptômes du PIMS :

- Diarrhée,
- Fièvre,
- Sphère ORL encombrée, toux...

Qu'il fallait que les enfants soient immédiatement conduits à l'hôpital le plus proche.
Elle expliquait en quelque sorte, que c'était une fumisterie. Les gastros, les rhumes et autres soucis hivernaux ne seraient désormais plus soignés par les pédiatres mais par les services hospitaliers. Les médecins sont invités à faire un signalement.
Bien sûr, les journaux en bons petits soldats enclenchent le plan alerte rouge.
Affaire à suivre tout de même. Ces enfants ont reçus de nombreux vaccins, que contiennent-ils ? Comment les ARS étaient-elles informées ce printemps ou cet été, de cet épisode à venir ? Artifice de plus ?
Les services hospitaliers embauchent-ils des devins ?"

Liz