Faut-il se méfier des vaccinés et ne plus les fréquenter, en tout cas pas de trop près ? C’est la question que je posais dans mon infolettre du 12 mai et à laquelle je répondais, en ce qui me concerne, par la négative. Mon argument principal était que la fameuse étude du Salk Institute était, à mon sens, nulle et non avenue. Les êtres humains ne sont pas des hamsters de laboratoire et les vaccinés n’agressent pas les non-vaccinés avec des seringues pour leur injecter des milliards de protéines Spike. De manière générale, je suis toujours réticent à reconnaître la valeur des recherches menées sur l’animal.
Les animaux de labos sont très stressés d’être manipulés et soumis à des épreuves, quand ils ne sont pas carrément torturés par les expérimentateurs. Et dans le moins pire des cas, les bêtes sont placées dans des conditions artificielles qui n’ont rien à voir avec la vie réelle mais qui permettent d’obtenir des résultats conformes au préjugé de départ. C’est ce qu’on appelle en science créer un « artefact ». En l’occurrence, je n’étais pas du tout convaincu que l’étude américaine permette de conclure que les personnes vaccinées contre le covid et productrices de protéines pointues représentaient un quelconque danger pour leur entourage. À mes yeux, elle devait faire flipper tous les mougeons qui se sont conduits en moutons et se sont laisser pigeonner par les marchands de vaccins, mais elle ne devait pas troubler la quiétude des réfractaires à l’injection. Même si la spicule est une toxine et que les vaccinés en excrètent des kilos, je ne voyais pas de raison, jusqu’à plus ample informé, de s’alarmer.Tel Saint-thomas
Certes, il y avait quand même les témoignages. Tous ces récits fleurissant sur le net et relatant des symptômes curieux apparus chez des personnes non-vaccinées mais proches de personnes vaccinées. Pouvait-on s’y fier et comment faire la part entre rumeur et réalité ? Le phénomène d’hystérie collective, que j’ai abordé dans ma lettre du 18 mars 2020, est plus fréquent qu’on l’imagine et ne doit pas être confondu avec la surexcitation d’une foule électrisée. En psychologie, l’hystérie collective désigne une peur sociale, une angoisse partagée par une communauté et s’exprimant par des somatisations diverses chez certains de ses membres. Il y a quelques mois, je ne m’interdisais pas de soupçonner qu’un pareil scénario fût à l’œuvre. Personnellement, je n’avais pas encore été témoin qu’un non-vacciné se sente mal et tombe malade après avoir côtoyé des vaccinés, or j’ai tendance à ne croire que ce que je vois de mes yeux et entends de mes propres oreilles. Cela vous étonne ? C’est pourtant une saine attitude quand on exerce le métier d’informer. Comme je le dis souvent, l’apôtre Thomas devrait être le saint patron des journalistes. Selon l’évangile, ce disciple incrédule a attendu de mettre sa main dans les plaies de Jésus pour commencer à croire à sa survie après la crucifixion. Il ne s’est pas contenté d’écouter les témoins et de croiser des sources concordantes, il a voulu vérifier de visu et se faire sa propre opinion. Il y a un peu plus de trente ans, quand on m’a raconté que le Dr Ryke Geerd Hamer pouvait diagnostiquer n’importe quel cancer sur la base d’un scanner cérébral, je n’y ai pas cru d’emblée et j’étais très sceptique lorsque j’ai assisté pour la première fois à pareil « exploit ». Comme j’ai vu le médecin allemand reproduire ce prodige à maintes reprises et qu’il n’y avait pas de trucage, j’ai fini par admettre que le cerveau portait la trace de chocs émotionnels et que ces traumatismes étaient les vraies causes des pathologies cancéreuses. Rien ne vaut l’expérience vécue ou le récit recueilli en droite ligne de ceux qui l’ont vécue pour se forger un avis. Et justement, mon jugement sur la « contagion vaccinale » a évolué depuis que des cas troublants m’ont été rapportés directement.
Coïncidences troublantes
Mon ami O. est un solide quadragénaire en pleine force de l’âge. Rompu aux longues randonnées et aux séjours de survie en pleine nature, c’est aussi un adepte convaincu du jeûne et un végétarien tendance alimentation vivante. Anticovidiste de la première heure, il n’a jamais porté le masque ni respecté les gestes barrières, a été de toutes les manifs organisées en Belgique et a participé à mes week-ends d’ « immunisation naturelle » à la campagne. Fin juillet, il a été choqué par les grandes inondations qui ont frappé la Belgique et a été ému par la détresse des sinistrés qu’il est parti secourir comme bénévole. Il a d’abord aidé au nettoyage avant de prendre en charge une cuisine collective et de préparer des centaines de repas par jour pour les sans-logis. Une belle solidarité et un beau travail d’équipe qu’il a cependant effectué – il s’en rendra compte en bavardant le soir avec ses camarades secouristes – aux côtés de personnes toutes vaccinées. Or au bout d’une semaine, il s’est retrouvé cloué au lit avec une fièvre de cheval, une fatigue intense et des maux de tête à se la taper au mur. Cette « crève » a duré dix jours et samedi dernier encore, malgré un jeûne et une cure de Kombucha, O. ne tenait pas encore bien droit sur ses guibolles. « Si j’avais su que j’allais me choper leur variant delta ou leurs protéines Spike, je me serais abstenu » m’a-t-il confié un peu dépité. Proche collaborateur français de Néosanté, E. a vécu une expérience similaire après avoir séjourné dans un camping et s’être adonné à plusieurs activités au milieu de gens vaccinés. Il a fait une sorte d’angine qui a tourné en grippe et qui l’a mis au tapis, lui qui mange pourtant très sainement et connaît tous les trucs naturels de santé. Âgé de 32 ans, X. est le neveu d’une dame croisée samedi dernier à la marche bruxelloise de soutien aux soignants. Grand sportif et sans antécédents, il souffre depuis quelques semaines d’une myocardite qui l’a laissé sur le flanc et résiste aux traitements. Particularité ? Il travaille dans un bureau où tout le monde est vacciné sauf lui. Bien sûr, les covicroyants diront que O., E. et X. n’avaient qu’à l’être et qu’ils ont contracté le virus dont ils ne se méfiaient pas assez. Mais d’où vient que ces trois gaillards sont passés « à travers » pendant un an et demi en fréquentant assidument les réfractaires et qu’ils ont subitement dégusté en côtoyant des vaccinés ? La coïncidence spatiale et temporelle est pour le moins troublante. Au demeurant, X. a passé un test PCR et un test antigénique qui se sont avérés négatifs, ruinant ainsi le diagnostic de myocardite d’origine virale. Vous avez dit bizarre ?
Hémorragies soudaines
Ce qui est encore beaucoup plus étrange, c’est le nombre de problèmes « typiquement féminins » engendrés par la vaccination. Beaucoup de vaccinées rapportent l’arrêt de leurs règles ou, au contraire et le plus souvent, la réapparition de menstruations abondantes. L’hyperménorrhée est un effet secondaire possible aujourd’hui reconnu par les autorités sanitaires. Mais comment se fait-il que les non-vaccinées soient si nombreuses à rapporter le même genre d’événements ? Ambulancière bénévole, mon amie A. a convoyé il y a quelques mois une femme qui venait de se faire vacciner. Dans les jours qui ont suivi, cette amie a constaté que les Russes, qui se faisaient pourtant rares et discrets, avaient redébarqué en force. Pour elle, ce flux menstruel inattendu n’avait rien de naturel. Plus fort encore, je connais une femme médecin qui était ménopausée depuis un an. Il y a quelques semaines, elle passe quelques jours de vacances en France et passe quelques heures avec un homme vacciné. Vous avez deviné ? Eh bien oui, ses règles sont revenues sans crier gare et sans lésiner sur la quantité de sang déversé. Sur les réseaux sociaux, d’autres femmes qui leur avaient dit adieu ont témoigné de la réapparition de leurs écoulements périodiques après avoir eu des contacts avec des vacciné(e)s. Croisée à la manif de samedi, où elle a déclaré face caméra que la moitié de sa patientèle vaccinée subissait des effets indésirables, une autre toubib m’a confié off the record qu’elle voyait aussi des trucs pas nets se produire chez ses patientes pas vaccinées. Par exemple une dame qui a déclaré une rectocolite hémorragique fulgurante quelques jours après la vaccination de son mari. Ou une autre dont la veine d’une jambe s’est brutalement enflammée après une nuit avec un amant vacciné. « Comme la causalité est impossible à prouver, je n’en parle pas, mais je m’interroge » m’a glissé cette médecin engagée. Elle et d’autres confrères constatent que la fréquentation de personnes vaccinées expose à des troubles sanguins potentiellement dangereux voire mortels. Ce n’est pas rien et il y a même un médecin américain, j’ai lu ça quelque part, qui recommande aux « no vax » de fuir la compagnie des « vax », ou du moins d’éviter de toucher leur peau et de s’approcher de leurs voies respiratoires, voies de sortie des protéines Spike.
Invasion protéique ou empoisonnement ?
En dehors de l’explication pasteurienne de la contagion virale – il est admis aujourd’hui que les vaccinés peuvent toujours trimbaler du virus dans leurs fosses nasales – c’est en effet l’hypothèse de la migration protéique qui semble la plus plausible. Qu’ils soient à ARN ou à ADN, les vaccins commercialisés en Occident ont pour principe de forcer les cellules à fabriquer la célèbre protéine crochue. Une bonne partie de cette production artificielle serait évacuée de l’usine corporelle de plusieurs façons (sudation, expectoration, aérosols…) et aurait ainsi le pouvoir de « contaminer » l’entourage en causant les symptômes du covid. Mais ne faudrait-il pas plutôt explorer la piste de l’empoisonnement ? Dans cette émission de Ricardo Boutry, le Dr Astrid Stuckelberger, anciennement experte auprès de l’ONU, rappelle opportunément que l’intoxication par des produits chimiques est l’une des quatre hypothèses majeures de la science épidémiologique. Et elle est d’avis que celle du graphène (voir ma newsletter du 30 juin) mérite certainement d’être étudiée. La présence de nanoparticules d’oxyde de graphène dans les vaccins pourrait également éclairer la « transmission » de symptômes à des non-vaccinés. Si le dossier du graphène vous passionne, sachez que Dominique Guillet, fondateur de l’association Kokopelli et grand pourfendeur des empoisonneurs industriels, s’est emparé du sujet depuis quelques semaines et qu’il va de découverte en découverte. Selon lui, la couronne épineuse du supposé coronavirus pourrait tout aussi bien être la forme que prennent les nanoflocons de ce nouveau matériau quand ils envahissent le corps humain ! Vous pouvez suivre son enquête « Une pandémie d’oxyde de graphène ? » en cliquant ici. Pour ma part, j’ai fait par hasard une autre trouvaille intrigante : selon cette étude chinoise parue en octobre 2020 et dont, à ma connaissance, aucun média n’a parlé, la létalité de la grippe covid pourrait provenir d’un empoisonnement au mercure car les complications de la maladie (tempêtes de cytokines, lymphopénie, hypercoagulation…) et ses facteurs de risque (obésité, hypertension, diabète…) sont exactement les mêmes que celles et ceux de l’intoxication au mercure. En lisant ce document, je me suis rappelé que le Dr Zach Bush a évoqué de son côté la piste du cyanure car l’exposition à ce poison génère hypoxie silencieuse et micro-thromboses dans les capillaires pulmonaires, deux caractéristiques des covid sévères. Bref, ce ne sont pas les pistes toxicologiques qui manquent et qui pourraient disculper un innocent virus dont l’existence n’est même pas sûre. L’oxyde de graphène est mon suspect numéro un car sa présence probable dans les vaccins expliquerait au passage la « contamination » des non-vaccinés par les vaccinés, étant donné l’extrême volatilité des nanoparticules et même leur aptitude à traverser la peau. Je ne sais pas exactement d’où vient ce « rapport blanc » reçu dernièrement mais il me semble que ses auteurs scientifiques savent de quoi ils parlent et ont analysé les fioles avec un équipement très performant. Pour eux, les quatre vaccins occidentaux contiennent du graphène et il a déjà été démontré que la présence de graphène dans la circulation sanguine peut susciter de sérieux problèmes de santé.
Prudence n’est pas psychose
Avec les témoignages, ces nouveaux éléments récents m’incitent à tempérer mon insouciance du printemps et à prêcher désormais la prudence envers les personnes vaccinées. Prudence mais pas psychose ! Personnellement, je ne vais certainement pas les traiter en pestiférées et fuir leur contact, même rapproché. Pas question de virer parano comme les covidingues piqouzés de mon équipe de minifoot qui viennent de m’exclure au motif que je les mettrais en danger. Mais c’est facile pour moi de dire ça parce que je ne connais qu’une vaccinée parmi mes proches et que je ne fréquente quasiment plus que des « complotistes » farouchement opposés à l’injection génique. La femme que j’aime ne risque certainement pas de me refiler du graphène par voie cutanée ou salivaire ! Par ailleurs, je me dois de préciser que mon ami O. et notre collaborateur E. avaient un terrain affaibli quand ils ont pâti de leur proximité avec des vaccinés. O. m’a avoué qu’il avait très peu dormi durant sa semaine de bénévolat et qu’il était déjà exténué quand la fièvre lui est tombée dessus . Quant à E., il m’a raconté le contexte psycho-émotionnel de son gros coup de fatigue grippal et il était clair pour lui que ce facteur essentiel avait joué à plein. Pour se protéger d’une menace extérieure, rien de tel que de soigner son intérieur par une saine hygiène de vie, aspects relationnels compris. Par précaution, j’ai cependant commencé à me supplémenter en glutathion (ou plutôt en son acide aminé précurseur , le N-Acétyl Cystéine) car cet antioxydant serait le meilleur antidote à l’oxyde de graphène. J’ai également commandé des aiguilles de pin sylvestre (en gouttes et en capsules d’huile essentielle) car cette plante a aussi la réputation de neutraliser le graphène et de le « démagnétiser ». Mais ce que je fais surtout, c’est me gaver de pinène – le composant aromatique dégagé par tous les types de pins – en multipliant les promenades en forêt de résineux. Fastoche quand on vient de déménager dans les Ardennes !
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