26 août 2021

Effets secondaires du covidisme : listes de collabos, guillotines, des élus de plus en plus menacés

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On a connu les Gilets jaunes constituants qui ont manifesté devant les lieux de pouvoir réels, et pas bidon comme l’Assemblée ou le Sénat, ces parcs à parasites de la nation. D’ailleurs, Guillaume Meurice les a pris en flag d’augmentation en février 2021 :

Aujourd’hui, ce sont les anti-pass qui balancent les noms des députés collabos qui ont voté pour cette saloperie oligarchique de pass sanitaire. Ils sont 300, et leurs noms tournent.

Il y a mieux : Didier Raoult, viré de son IHU par la bande à Véran pour insoumission au dogme vaccinatoire, a lancé un gros pavé révolutionnaire dans le marigot gouvernemental.

L’article de FranceSoir évoque l’interdiction par le gouvernement de tout protocole de soin, jusqu’à provoquer des décès inutiles, uniquement pour favoriser le vaccin, qui sera acheté très cher par l’UE et la France, pour ce qui nous concerne.

Le gouvernement prévoit un budget de deux milliards d’euros rien que pour les achats de nouvelles doses l’an prochain, soit une centaine de millions d’unités. Bien plus que nécessaire si on se contente d’un rappel pour les plus fragiles, comme il est actuellement prévu. (BFM TV)

Pour info, notre gouvernement a commandé pour deux milliards d’euros de doses qui courront sur les deux ans à venir, sachant que chaque dose (Pfizer) revient à 20 euros l’unité. Une véritable ponction sur le trésor de la nation, et sur le budget de l’hôpital public, afin d’engraisser ceux qui graissent visiblement la patte des gouvernements, on ne voit pas d’autre explication à l’obsession vaccinale des responsables de la « santé » publique.

Le protocole Raoult (HCQ + azithromycine) et la prescription d’ivermectine ont été sabotés par nos dirigeants qui, comme le conseillait le bon Dr Marty, ont laissé aux gens qui avaient des symptômes sérieux la seule voie du doliprane. Le résumé de FranceSoir ici :

Comprenez le cercle vicieux : maladie et décès, non traités, poussant à une vaccination de masse, sélectionnant les variants, pouvant induire effets indésirables graves et un phénomène « ADE » aggravant la maladie ; avec pour conséquences une course encore plus folle à la vaccination (troisième dose, nouveaux vaccins, etc). Il s’agit du processus psychologique d’engagement, sans possibilité de remise en question, avec rationalisme morbide.

Tout a été fait pour aggraver ce qui n’était au départ qu’une grippe saisonnière, probablement augmentée en laboratoire, comme le suppose le prix Nobel de médecine Luc Montagnier.

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Ce qui a fait réagir la propagandasphère, c’est l’allusion de Raoult, qui n’a désormais plus rien à perdre, à la guillotine, ou la promesse d’un châtiment futur pour ceux qui se sont prêtés à cette funèbre opération. On rappelle que selon le Dr Perronne, 25.000 personnes de trop seraient mortes lors de cette opération oligarchique. Il fallait faire paniquer le troupeau pour le pousser vers le vaccin, autrement dit le profit max. La mort de nos anciens dans les Ehpad aura servi le projet du gouvernement et des nouvelles autorités mondialistes, le Big Pharma et le Big Tech.

Désormais, des élus, responsables ou pas de ce terrorisme de masse, en tous les cas passifs devant l’ignominie, sont visés par des éléments radicalisés du peuple, ce qui était prévisible : dans tout mouvement social se développe une part de radicalisés, et dans ces radicalisés, des ultraradicalisés, dans lesquels le renseignement va traquer des unités proto-terroristes. Cela a été le cas après Mai 68, qui a accouché des autonomes (d’extrême gauche), et parmi eux, des éléments de la bande d’Action directe.

Un demi-siècle plus tard, la Bête du peuple se réveille – pour le coup, pas la Bête de l’événement de Macron – et fait la jonction avec son sanglant passé : bien avant daech, ça tranchait sec dans la France des années 90 (du XVIIIe). Sputnik écrit :

Il convient de rappeler que ce n’est pas la première fois que l’allégorie de la guillotine fait surface dans la polémique autour du pass sanitaire. En effet, en juillet, des guillotines factices avaient été installées dans quatre communes des Landes. Elles portaient des feuillets avec les noms des 382 élus ayant signé la tribune publiée le 17 juillet dans le Journal du dimanche et dans laquelle ils saluaient « le courage des décisions prises, la clarté du cap fixé » par Emmanuel Macron pour lutter contre le Covid-19.
La police avait alors arrêté un homme de 50 ans qui avait reconnu avoir « construit et déposé seul » ces engins « en bois et carton » pour « alerter les maires concernés de la violation des libertés fondamentales par les décisions gouvernementales ». Selon lui, le « symbole a été mal perçu par les élus et les médias ».

Dans le tas des députés collabos qui ont voté cette loi scélérate, on retiendra quand même Pacôme Rupin, LREM, qui a annoncé la fracturation le pays :

Ce vote est le plus gros scandale de la Ve, et Raoult a raison de parler de procès sanglants à venir. Il n’y aura peut-être pas guillotine, mais il y aura vengeance de tous ceux qui ont souffert et souffrent encore de cette opération de destruction d’un pays et de ses habitants.

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