Dans mon dernier billet, j’essayais de rassurer sur le variant delta. Le gouvernement vient de faire l’inverse, avec des mesures sans précédent dans un pays civilisé, une véritable dictature pseudo sanitaire, décidée non par les représentants élus de la nation, mais par un quarteron d’énarques au sein d’un « Conseil de défense » excluant toute transparence démocratique et protégeant les responsables pendant 50 ans (date de levée du secret défense, sauf déclassification exceptionnelle). L’agression contre une frange de la population inquiète est inouïe, depuis 1940, c’est la première fois qu’en France on montre du doigt une partie de la population, la mettant à l’écart, lui retirant les mêmes droits que les autres, lui interdisant certains accès. Même pour le VIH, on n’a jamais mis au ban de la société les porteurs pouvant contaminer le reste de la population.
Il a donc été décidé qu’un traitement expérimental, encore formellement interdit en Europe il y a un an, dont personne (ni moi ni quiconque) ne connait les effets à long terme, serait appliqué à toute la population., quels que puissent être les conséquences à long terme. Un vaccin éprouvé, sûr, disposant de suffisamment de recul, j’aurais mieux compris, mais ici, non. Certes il n’y a pas juridiquement « obligation », mais en pratique, avec les menaces, il y a obligation. Quelle hypocrisie méprisante : perdre votre emploi ou vous vacciner, vous affamer ou vous vacciner, vous avez encore ce choix ! Dont acte, les français semblent contents.
ET DEMAIN ?
Je me tourne donc vers l’avenir. Maintenant que tout le monde va être vacciné, consentant ou non, que va-t-il se passer ? Que peut donner une couverture vaccinale à 100 % avec les variants delta, epsilon, lambda, etc ? Ce n’est pas moi qui donne la réponse mais le gouvernement : « La vaccination n’empêche pas d’attraper la covid, ni de la transmettre à vos proches » (Dixit le Ministère de la Santé et des Solidarités).
Je vous ai déjà montré ce que cela donnait dans les pays les plus vaccinés, comme Israël, l’Angleterre ou les Seychelles, mais il y a aussi un « pays » qui possède une couverture à 100%, avec suffisamment de recul : cela fait plus d’un mois et demi que 100% de la population est vaccinée deux doses. Ce « paradis » dont rêve notre Président, c’est Gibraltar :
Qu’est-ce que cela donne avec le variant delta ? Pendant 3 mois : 0 cas, Aujourd’hui avec le variant delta ? Cela repart : 23 cas hier, 10 cas 3 jours plus tôt, 6 cas encore 3 jours plus tôt, soit un doublement tous les 3 jours. Vous me direz que 23 cas, c’est peu, non significatif, c’est vrai. Mais 23 cas pour un « pays » de 35 000 habitants, c’est l’équivalent de 45 000 cas par jour chez nous. C’est encore tôt pour juger, oui, donc à suivre. Gibraltar a pourtant payé le prix fort pour arriver à ce résultat : comptabilisant 10 décès Covid pour toute l’année 2020, le gouvernement a reconnu 70 décès après 3 semaines de vaccination en janvier 2021 (également mon billet du 19 février).
Alors que faire demain, si les nouveaux variants continuent à être de plus en plus résistants aux vaccins actuels ? Revacciner ? Essayer enfin d’autres choses ? Peut-être regarder ce que d’autres font avec succès, sans agresser leur population.
ET L’IVERMECTINE ?
L’ivermectine ? Ça marche. Nous avons vu ce que cela a donné en Inde ou dans la ville de Mexico, mais chut, interdit d’en parler chez nous. D’autres pays européens ont choisi aussi cette autre voie, celle du traitement, en plus d’une vaccination non imposée. A ma connaissance, il y a 3 pays qui défendent clairement la liberté de prescription et l’ivermectine : la Tchéquie, la Slovaquie et la Bulgarie. Résultat, ils sont tranquilles depuis bientôt 2 mois, avec rapporté à la population, 6 à 20 fois moins de cas que la moyenne européenne.
Pourtant ces pays ont eu à faire face à une dernière vague bien plus importante, 2 à 5 fois plus importante que le reste de l’Europe.
Pour les décès, mêmes constatations, 2 à 6 fois moins aujourd’hui, 4 fois plus hier, toujours rapporté à la population.
L’ivermectine ? On commence à s’apercevoir que cela marche peut-être, après l’avoir nié. Même la presse main Stream commence à en parler. Ainsi Le NouvelObs, Ouest France, citent une étude publiée par l’Institut Pasteur. Cette étude, sur le hamster (modèle animal le plus proche de l’homme pour la covid), n’est pas anodine, car elle contredit la Castafiore et l’Inserm, fers de lance du combat anti ivermectine en France mais aussi en Europe.
En effet l’argument massue était que l’étude in vitro ayant conduit aux premiers essais chez l’homme, ne pouvait être reproduite chez l’homme, car les doses efficaces étaient 3 à 500 fois plus importantes que celles pouvant être utilisées in vivo. Cette étude démontre que cela marche aux doses utilisées chez l’homme, point besoin des 3 à 500 fois de la Castafiore et de l’Inserm, repris en cœur par toute la presse, les sociétés « savantes » et nos grands « spécialistes » dont la liste est trop longue pour les citer, tous reproduisant la même erreur pour éviter de réfléchir.
L’ivermectine ? Ce n’est pas fini, et pas que pour la covid. D’autres parasites, les poux, d’autres virus, certains cancers, des maladies auto-immunes attendent avec impatience que les autorités médicales fassent leur travail correctement, et s’occupent des médicaments pauvres. Ce combat, c’est actuellement celui des riches contre les pauvres, nous aimerions que cela soit l’inverse : celui des pauvres contre les riches, soutenus par des autorités sans conflits d’intérêts.
Gérard Maudrux
Source
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.