20 juillet 2021

La désinformation sur les « vaccins » constitue une « menace urgente » qu'il faut contrer — La Fondation Rockefeller et ses adeptes présentent leurs grandes mesures


Le Chirurgien général des États-Unis a publié jeudi un avis appelant les entreprises technologiques [les Big Tech - NdT] à lutter contre ce que le ministère [de la santé - NdT] appelle la « désinformation » sur les vaccins. Le même jour, la Fondation Rockefeller a annoncé un nouveau financement de 13,5 millions de dollars pour lutter contre la « désinformation et les fausses informations » sur les vaccins.

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Dr. Vivek Murthy, Chirurgien général des États-Unis
Note du traducteur : On peut supposer qu'il s'agit des vaccins en général, mais surtout des « produits » dangereux pour la santé qui sont injectés sous le nom fallacieux de « vaccin » anti-Covid. Autant dire qu'ils ont l'air un « tantinet » désespérés, et que leur « agenda vaccinal » — lui-même un sous-agenda d'autres agendas, comme des poupées russes — ne fonctionne pas aussi bien qu'ils l'espéraient. Sinon, pourquoi prendre de telles contre-mesures ?
Le Dr Vivek Murthy, Chirurgien général des États-Unis, a publié jeudi un avis mettant en garde les citoyens de son pays contre la « menace urgente » que représentent la désinformation et les fausses informations en matière de santé, lesquelles ont
« menacé la réponse des États-Unis face au Covid-19 et continuent d'empêcher les Américains de se faire vacciner, prolongeant ainsi la pandémie et mettant des vies en danger. »
L'avis de 22 pages appelle les entreprises du secteur des technologies de l'information et des médias sociaux à assumer davantage de responsabilités pour mettre un terme à la diffusion en ligne de fausses informations sur la santé.

L'avis reproche à la « désinformation » d'inciter les gens à refuser les « vaccins » anti-Covid, à rejeter les mesures de santé publique telles que le port du masque et la distanciation sociale, et à utiliser des traitements non éprouvés.
Note du traducteur : Ils ne veulent donc pas que nous utilisions ce qu'ils appellent des « traitement non éprouvés », mais il faudrait que l'on accepte sans barguigner des produits qui sont encore en phase de tests ? Et qui, selon les chiffres mêmes du VAERS aux États-Unis, font plus de victimes que tous les autres vaccins réunis ces 30 dernières années ?
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VAERS

Ensemble des décès signalés à VAERS, par année

« Pourquoi ne pas se faire injecter le vaccin ???
Regardez ses incroyables performances !!! »

 Vous pourrez noter toutes les contradictions entre ce graphique et les déclarations des différents intervenants dans ce qui suit (ils ne sont pas les seuls, c'est pareil dans au moins tous les pays d'Occident). Ci-dessus, se trouve la réalité, encore que certains estiment que ces données sont sous-estimés (il s'agit dans ce graphique des décès signalés) ; ci-après, se trouve la pseudo-réalité à laquelle les élites au pouvoir veulent que nous adhérions, exactement de la même manière que le ferait une secte : par des mensonges et des abus de faiblesse.

Le Dr Murthy, qui dépend du ministère de la Santé et des Services sociaux des États-Unis, a déclaré dans un communiqué de presse :
« En tant que Chirurgien général, mon travail consiste à aider les gens à rester en sécurité et en bonne santé, et si l'on ne limite pas la diffusion de fausses informations sur la santé, des vies sont en danger. »
Selon le communiqué de presse du ministère de la Santé et des Services sociaux, le caractère faux, inexact ou trompeur des « informations erronées sur la santé » sera déterminé par les « meilleures preuves disponibles ».

L'avis définit en outre la norme des « meilleures preuves disponibles » comme étant la référence privilégiée, car
« les allégations peuvent être très trompeuses et nuisibles même si les données scientifiques sur une question ne sont pas encore établies. »
Le Dr Murthy ajoute :
« Nous pouvons améliorer de manière significative l'environnement de l'information sur la santé même sans avoir une définition consensuelle de la désinformation. »
L'avis complet énonce des recommandations à l'intention des familles, des professionnels de la santé, des chercheurs, des éducateurs, des médias, des bailleurs de fonds, des gouvernements et des plateformes technologiques, et exhorte chaque personne à prendre ses responsabilités pour limiter la diffusion de fausses informations.

L'avis demande aux médias et aux entreprises de médias sociaux d'augmenter le personnel pour modérer les messages, d'amplifier les opinions souhaitées, d'améliorer les algorithmes pour lutter contre la désinformation, de modérer les flux en direct et d'imposer
« des conséquences claires pour les comptes qui violent de manière répétée les politiques de la plateforme. »
Les écoles et les établissements éducatifs sont encouragés à lutter contre la désinformation en éduquant les gens sur
« les tactiques utilisées par ceux qui nient le consensus scientifique sur les questions de santé [et] abordent le sujet des conspirations. »
Note du traducteur : Notons qu'il est tout de même pour le moins « curieux » qu'un scientifique — encore que ce ne soit pas vraiment « curieux » quand on sait qui lui octroie ses émoluments, voire des primes ici ou là tant qu'il va dans le sens du discours établi, et il n'est pas le seul, on a les mêmes chez nous — ose prétendre qu'il existe un consensus scientifique en matière de santé, puisqu'une telle chose n'existe pas, et ce quel que soit le domaine dit scientifique. Et c'est très heureux. Le problème étant bien sûr que dès que l'on entend quelqu'un parler de consensus scientifique, on peut être sûr qu'il s'agit de marteler un mensonge. Donc, c'est de la propagande, et on peu donc de manière légitime parler de conspiration. S'il n'y avait pas de conspiration, il n'y aurait pas de propagande. En outre, le Divide ut regnes, qui veut dire « Diviser pour régner », existait déjà sous l'Empire romain, et donc nier l'existence des conspirations — surtout celles ourdies par les élites, qu'elles que soient l'époque et le lieu dans lesquels elles ont exercé leurs prérogatives — revient à nier l'existence même de ce qui tisse la toile de l'Histoire. Et comme on le sait, l'histoire se répète, car l'humanité n'en apprend rien.
Dans une interview accordée à la radio publique nationale [des États-Unis - NdT] avant la publication de l'avis, le Dr Murthy a déclaré que les citoyens doivent faire leur part pour lutter contre la désinformation :
« Le Covid a vraiment mis en évidence toute l'étendue des dommages causés par la désinformation en matière de santé. »
Lors d'un point de presse de la Maison Blanche jeudi, la secrétaire de presse Jen Psaki a indiqué que Facebook devait sur sa plateforme redoubler d'efforts pour combattre la désinformation sur le « vaccin » anti-Covid. Elle a également ajouté :
« Facebook doit agir plus rapidement pour supprimer les publications qui contreviennent à sa politique d'utilisation. Les publications qui seront [in fine - NdT] retirées en vertu de ses politiques restent souvent affichées pendant des jours. C'est trop long. L'information se propage trop rapidement. »
Note du traducteur : N'est-il pas intéressant de noter que la secrétaire de presse susmentionnée a dans sa dernière phrase utilisé le terme « information » plutôt que celui de « désinformation » ?
Selon une source de CNN, les hauts responsables de l'administration Biden ont fait part à Facebook de leurs préoccupations concernant la désinformation sur les « vaccins » et en ont conclu que le géant de la technologie ne prenait pas « cela très au sérieux, ou qu'il cachait quelque chose », en raison de ce qu'ils considèrent comme la réticence de Facebook à s'attaquer à la désinformation sur les « vaccins ».

La source a souligné comment Robert F. Kennedy Jr, cofondateur et président de Children's Health Defense, a été banni d'Instagram — qui appartient à Facebook — mais pas de Facebook lui-même.

Le porte-parole de Facebook a déclaré à CNN :
« Nous ne désactivons pas automatiquement les comptes sur l'ensemble de nos applications, car les comptes peuvent communiquer sur des sujets différents sur nos différents services. »
Dans une interview accordée aujourd'hui à The Defender, Kennedy a déclaré :
« Je suis très heureux de débattre avec le Chirurgien général ou d'empiler mes données face aux siennes et de permettre au public de juger lequel d'entre nous est la source de la désinformation — et qui est responsable de toutes les informations erronées, de la désinformation et de l'obscurcissement sur les vaccins. Je rappellerais également au Chirurgien général que la censure gouvernementale n'est pas seulement anti-américaine, elle est inconstitutionnelle, et qu'il devrait pouvoir faire confiance à ses politiques sur le marché des idées et ne pas avoir à compter sur la coercition. »
Note du traducteur : Le marché des idées fait référence à la croyance selon laquelle le test de la vérité ou de l'acceptation des idées dépend de leur concurrence les unes avec les autres et non de l'opinion d'un censeur, qu'il soit fourni par le gouvernement ou par une autre autorité. Source
Kennedy a déclaré que ce n'est pas au gouvernement ou à CNN de décider :
« La démocratie emprunte une voie dangereuse lorsque nous permettons à des représentants du gouvernement et à CNN, qui dépend totalement de la publicité pharmaceutique, de dire aux Américains qu'ils ne sont pas autorisés à critiquer les produits pharmaceutiques — y inclus la responsabilité zéro [des laboratoires - NdT] et les produits pharmaceutiques expérimentaux. »

Mme Psaki a demandé à Facebook de divulguer de manière publique de plus amples informations sur qui, et combien de personnes, voient et interagissent avec ce que l'administration qualifie de « désinformation » sur le Covid.

La source de CNN a déclaré que les responsables de l'administration étaient frustrés par ce qu'ils considèrent comme l'incapacité de Facebook à faire respecter ses propres politiques d'utilisation en matière de désinformation sur les « vaccins » — la société n'agit souvent pas assez rapidement ou est incohérente dans son contrôle du contenu illicite, se plaignent les responsables.

La Fondation Rockefeller engage 13,5 millions de dollars dans la campagne de lutte contre la désinformation

Le jour même où le Chirurgien général a publié son avis, la Fondation Rockefeller a publié un communiqué de presse annonçant l'octroi d'un nouveau financement de 13,5 millions de dollars pour, entre autres,
« lutter contre la désinformation en matière de santé — des informations confuses, inexactes et nuisibles qui se répandent à une vitesse et une échelle sans précédent et menacent la santé et le bien-être des communautés dans le monde entier. »
La Fondation a mentionné l'appel lancé par le Chirurgien général en faveur d'un « effort de l'ensemble de la société » afin que les gens du monde entier sachent quoi faire et puissent faire confiance aux sources dont ils entendent parler lors d'une urgence de santé publique, telle que la pandémie de Covid.

Bruce Gellin, chef de la stratégie de santé publique mondiale de la Fondation, a déclaré :
« En identifiant les fausses informations et la désinformation comme un défi pour notre santé collective, les conseils du Chirurgien général renforcent le rôle de la Fondation Rockefeller dans l'investissement dans les interventions de santé publique basées sur les données pour répondre aux défis uniques de l'environnement médiatique d'aujourd'hui. »
La Fondation a également déclaré que ce financement
« soutiendra la conception et l'évaluation d'interventions, d'outils et de méthodes visant à renforcer la confiance dans les efforts de vaccination contre le Covid et à contrer les informations inexactes, ainsi que la recherche visant à comprendre comment les informations inexactes sur la santé influent sur les comportements en ligne et hors ligne, le coût réel de la désinformation sur la santé et les résultats économiques et les stratégies les plus efficaces pour contrer et gérer les informations inexactes et nuisibles provenant de sources malveillantes. »
Des informations détaillées devraient être publiées d'ici la fin de l'année 2021, selon la Fondation.
À propos de l'auteur

Megan Redshaw est journaliste indépendante pour The Defender. Elle a une formation en sciences politiques, un diplôme de droit et une formation approfondie en santé naturelle.
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