15 juillet 2021

Composition du vaccin Pfizer : des résultats alarmants !

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La saga du Covid ressemble de plus en plus à une mauvaise série. Ou une très bonne au choix !

Si l’on aime les séries dark, tordues et cyniques, comme Game of Thrones, The Sopranos, House of Cards, ou que sais-je… à une échelle carrément mondiale !

La population française plébiscite la maltraitance perverse que lui inflige son président en se précipitant sur un vaccin qui n’en est pas un, au moment où les données de pharmacovigilance particulièrement inquiétantes sont camouflées voire occultées et où les meilleurs experts au monde ne cessent de tirer la sonnette d’alarme sur les conséquences délétères déjà observées et les risques insensés que cette expérimentation fait courir à la population !

Parmi eux, juste pour en indiquer quelques-uns auxquels vous souhaiterez ou non vous intéresser :

  • Le Dr Malone, l’inventeur des vaccins à ARNmessager lui-même !
  • Le Pr Sukarit Bakhdi, un de premiers à avoir mis le doigt sur les incohérences du Covid et qui montre comment les troubles de la coagulation, loin d’être exceptionnels, menacant l’ensemble des « vaccinés ».
  • Ou encore le Pr McCullough, cardiologue le plus cité au monde dans son domaine, qui démontre impitoyablement les mensonges scientifiques de Macron et sa clique.

La pièce manquante ? Comme toujours, la presse (ose-t-on encore l’appeler comme cela ?) à l’image du pitoyable Temps, naguère fleuron des médias romands et qui n’est plus qu’une consternante officine de propagande pharmacovaccinale. Pour celles et ceux qui en douteraient, je vous invite à consulter les trois références supra et d’enchaîner avec ce papier lamentable paru aujourd’hui, une entreprise de manipulation de plus après cinq cents autres qui détourne de bonnes questions en apportant les réponses franchement malhonnêtes… des trois experts suisses romands ayant le plus de conflits d’intérêts avec l’industrie.

Son petit comparse, Heidi News (autre exemple patent de ce que je nomme pour appeler un chat un chat la presse de petite vertu) se fend d’un semblant de cas de conscience en observant la violence de la sortie, ce lundi, d’Emmanuel Macron. Annick Chevillot, responsable du flux santé, souligne tout de même que la réalité qui continue à s’imposer devient franchement dystopique… ce contre quoi nous mettons en garde depuis plus d’une année sous les ricanements et les quolibets de la classe médiatico-politique, dont bien sûr Heidi News ! A ouvrir les yeux trop tard, il est bel et bien trop tard.

Macron vient donc de prendre une série de mesures aberrantes, brutales et totalitaires dignes d’une dictature mais en aucun cas d’un état de droit, semant la terreur dans son pays et l’incompréhension dans les pays à tradition nordique. Reniant au passage les garanties qu’il avait solennellement données au peuple français.

Le concepteur du syndrome de perversion narcissique, le psychiatre Paul-Claude Racamier, soulignait qu’une des caractéristiques de ce profil configuré par le machiavélisme, la psychopathie et le narcissisme est que pour le pervers, une mensonge réussi équivaut à une vérité.

A entendre Olivier Véran oser affirmer sans vergogne que les injections géniques ne sont plus en phase expérimentale de phase III, Alain Berset  que les effets secondaires sont « extrêmement rares et toujours anodins » (voir données infra) ou Emmanuel Macron tout et son contraire  tant que cela lui permet de maltraiter sa population, nous sommes bien obligés de poser le constat que nous sommes entrés dans des systèmes de gouvernance pervers.

Avec un succès certain, puisqu’à l’encontre de la réalité des faits (tels qu’exposés ici au long des mois, innombrables références à l’appui), l’immense majorité des gens sont convaincus :

a. Que le Covid est une épidémie terrible – alors que sa létalité mondiale est de 0,15%, soit l’équivalent de la grippe annuelle !

b. Que tout le monde a été en danger – alors que la mortalité des moins de 65 ans n’a pas été modifiée en 2020 ni en 2021 !

c. Qu’il y a eu une surmortalité grave en 2020 – alors qu’elle est pondérée par le vieillissement de la population !

d. Qu’il n’y avait pas de traitement disponible – alors que les méta-analyses honnêtes montrent qu’on aurait pu éviter 80% des hospitalisations et des décès avec des remèdes précoces efficaces!

e. Que les mesures de contrainte étaient inévitables – là où l’on sait aujourd’hui qu’elles ont causé des dégâts insensés sans bénéfices par rapport aux pays qui ont renoncé à les imposer !

f. Que les vaccins géniques sont la seule chance d’éviter de nouveaux confinements et de mettre fin à la « pandémie » alors que c’est, à nouveau, une pure absurdité eu égard à l’efficacité très relative de la vaccination et des dangers qu’elle fait courir à la population.

Bref, on n’est toujours pas sortis de l’auberge !

Et voilà que pour simplifier les choses, une nouvelle explosive vient d’être révélée : une équipe de scientifiques espagnols s’étant enfin occupés de faire analyser les fioles du vaccin Pfizer, il apparaît qu’elles sont composées d’un taux semble-t-il dangereux d’un composé métallique, l’oxyde de graphène, produisant exactement les mêmes symptômes (potentiellement fatals) que ceux attribués aux formes graves de Covid-19 !

Lorsque j’ai eu vent de cette nouvelle information, je suis évidemment resté prudent. La manipulation en cours est tellement hénaurme que, bien sûr, cette énormité-même fait aussi le lit de toutes sortes de théories douteuses ou même absurdes. Ce qui donne l’occasion à quelques tristes sires (comme certains profs d’uni se disant spécialisés dans les théories du complot) de venir nier la réalité des dérives et magouilles gravissimes en cours – Mendès-France, Dieguez et Reichstadt lavent plus blanc, idiots utiles d’un véritable système mafieux.

La provenance de cette analyse avait de quoi éviter le pli inverse de tout rejeter avant analyse, puisqu’elle est issue d’une équipe d’universitaires sérieux (contrairement à ceux que je viens de nommer…) Le bottom-line en ce qui me concerne étant mes connaissances modestes en chimie, m’interdisant d’avoir le moindre avis intelligent à avancer à ce sujet.

Pourtant la question avait bel et bien l’air de se poser.

C’est donc avec un très vif intérêt que j’ai reçu le courriel d’un docteur en physique qui m’écrivait ceci :

Bonjour,

J’ai trouvé une information très fondée et essentielle qui n’est mentionnée nulle part sur les sites francophones. Il s’agit de l’analyse d’une dose de « vaccin » (réalisée par une équipe espagnole).

On voit l’analyse au microscope électronique et optique ainsi qu’un spectre d’absorption. Le résultat est très clair et terrifiant: ils ont trouvé qu’à l’évidence le « vaccin » contient plus de 99 % de nanoparticules d’oxyde de graphite. C’est un composé toxique qui provoque les mêmes effets que le Covid.

– Thrombose
– Inflammations
– Altération de système immunitaire
– Tempête de cytokines

J’ai scrupuleusement lu le document et il m’apparaît clairement que le résultat de l’analyse est très crédible (j’ai fait une thèse sur les composés du carbone dont les nanoparticules ), ce que l’on nomme vaccin est composé à une très grande majorité d’une nanoparticule toxique.

Ce qui rejoignait différent signalements récents !

Mon informateur a eu la bonté de préparer un résumé de ce dont il est question, en me donnant son accord pour que le repartage ici, ce dont je le remercie chaleureusement.  Je réaffirme ici ma totale incompétence dans ce domaine. Mais en tant que chercheur et penseur, j’ai toujours tenu pour non-négociable qu’il faille poser les questions qui se posent. Comme l’espace de ce blog échappe encore aux dérives négationnistes et totalitaires de nos gouvernants et des médias qui les servent, je m’empresse bien sûr de rendre publics ces troublants éléments qui doivent -comme les autres- échapper à la censure et à la répression de nos « élites » pour entrer se plein droit dans le débat scientifique et démocratique. Et tant mieux ma foi si cette hypothèse s’avère in fine fausse.

Bonne lecture !


Analyse du vaccin Pfizer. Résultats alarmants

Introduction

Depuis plusieurs semaines, la population mondiale observe un phénomène inédit dans l’histoire de l’humanité. Des millions de personnes ont testé par eux-mêmes une attraction de type magnétique sur leur corps. Des pièces de monnaie et objets métalliques en tout genre restent collés au point d’injection du vaccin contre le virus  Covid 19. Cette observation est stupéfiante.

Comment expliquer que le liquide incolore contenu dans une fiole de vaccin provoque de tels effets ? Des anonymes publient ces témoignages impressionnants, des objets parfois très massifs, des centaines de grammes restent plaqués sur leur bras. Plus édifiant encore : le phénomène n’est pas localisé au point d’injection mais se propage sur le corps.

Des tests élémentaires, effectués à même la rue par des journalistes curieux ont bien vérifié que près de 95 % des personnes vaccinés présentent ce phénomène. Chaque personne qui a reçu le vaccin devrait donc se sentir concernée et vérifier sa situation. Or, il apparaît bien que pour l’immense majorité, le vaccin est synonyme de délivrance et liberté. L’immense majorité de la population vaccinée ne teste donc pas son statut magnétique et n’a aucune conscience de ce qui se passe à l’intérieur de leur organisme.

Par conséquent, ce qui apparaît visiblement comme un effet secondaire du vaccin n’est même pas relevé par nos autorités de santé et ne provoque aucune tentative d’explication face à l’inconnu. Pas d’articles dans la presse, pas de témoignage dans les journaux télévisés.

Pour les esprits rationnels et scientifiques, la question reste posée.  Comment expliquer un phénomène si déconcertant ? De prime abord, il devrait être facile à élucider. Tout d’abord, on peut penser que le fabricant a fourni la composition du vaccin.  Ensuite, on peut s’attendre à trouver un expert qui va nous expliquer le pourquoi du comment de tout phénomène.

A l’évidence, nous ne sommes pas dans ce type de scénario. Les firmes pharmaceutiques ont fait preuve d’une opacité totale et nous vivons une ère de corruption généralisée au niveau de la production et de la publication des résultats de recherche. (voir l’interview de Denis Rancourt  Science sans conscience, lien 1).

Pour compléter le tableau, les déclarations de nos autorités de santé et des experts qui s’expriment nous martèlent que le vaccin est sûr et efficace alors que nous sommes en pleine phase de test.

Dans ces conditions, la lumière des explications ne peut venir que des esprits indépendants qui osent remettre en question les thèses officielles.

Dans ce qui suit est présenté ce qui constitue certainement la première analyse du contenu d’une fiole de vaccin, précisément le  Comirnaty de Pfizer/BioNTech. L’étude a été sollicitée par Ricardo Delgado Martin qui tient le site   https://www.laquintacolumna.net/.


Extraits du rapport avec commentaires

Pour obtenir le rapport complet, cliquer sur l’image ANALYSE DU RAPPORT PRELIMINAIRE OFFICIEL DE L’ANALYSE DU VACCIN

https://www.laquintacolumna.net/


Titre du rapport : détection d’oxyde de graphène en suspension aqueuse

La surprise est déjà dans le titre qui note la présence d’oxyde de graphène dans un vaccin.

En quoi consiste le graphène ?

Pour comprendre ce qu’est le graphène, partons du graphite qui est le matériau qui constitue une simple mine de crayon. Le graphite est uniquement constitué d’atomes de carbone, liés les uns aux autres.  Sa structure est montre des plans de carbone superposés. A partir de cette structure, il suffit de détacher un seul  plan pour obtenir le graphène.

Le graphène est un composé qui n’a qu’une seule couche atomique. Il s’apparente à une feuille et non à un volume, on parle d’un matériau bidimensionnel. Sa hauteur, avec une seule couche d’atomes, est la plus petite que l’on puisse créer.

On a affaire à un nanomatériau. Un nanomètre est l’équivalent de 1 millimètre divisé par 1 million soit 10 -9 mètres.  Une nanoparticule de graphène est un petit bout de ce plan. C’est comme si l’on prend un kleenex et qu’on le déchire pour faire des confettis. Pour la synthèse du graphène en partant du graphite, on passe par une phase intermédiaire d’oxyde de graphène qui est le précurseur du graphène.

Dans le rapport, l’oxyde de graphène de référence représenté ci-dessous est comparé aux particules présentes dans le vaccin.

Résultat de l’analyse au microscope optique

A droite, nous voyons une  particules de graphène de référence, comparée à gauche avec une particule trouvée dans le vaccin. La similitude est complète, le graphène se présente comme un petit morceau de kleenex déposé au fond d’un récipient plein de liquide. Il comporte des plis et apparaît un peu froissé.

D’autres particules, identifiées comme du graphène, présentes dans le vaccin :

Résultat de l’analyse au microscope électronique TEM

Nous avons changé d’échelle, à cette échelle nanométrique, même constat : les deux composés sont bien semblables.

          —- correspond à 100 nanomètres

Résultat de l’analyse avec un spectromètre :

Un spectromètre permet de caractériser un échantillon avec beaucoup de précision car on utilise un phénomène de résonance. Quel est le principe ? Voici deux diapasons identiques. Si l’on excite un diapason, ses 2 lames vont osciller avec une fréquence de 440 Hz soit 440 cycles par seconde. Cela va mettre en oscillation les molécules d’air autour du diapason et le son va se propager jusqu’au 2ème diapason. Etant identique au diapason source qui émet le son, ses lames sont accordées pour vibrer 440 fois par seconde. Il y aura une transmission d’énergie par résonance.  On  peut ainsi  arrêter le 1er diapason source et entendre le son provenant du 2ème diapason qui a reçu l’onde sonore.

Il faut bien remarquer que si le 2ème diapason était un peu différent du premier, en ayant les branches plus courtes, il ne serait pas en mesure de capter l’énergie du diapason source car sa fréquence de résonance propre ne correspondrait pas aux 440 Hz  de la source.

La spectroscopie est basée sur ce principe de résonance. On envoie des ondes sur un échantillon en variant la fréquence et on observe quelle fréquence précise va être absorbée par l’échantillon. Cette fréquence de résonance est intimement liée à la nature du matériau, plus exactement aux différents niveaux d’énergie électroniques du matériau. Ainsi, le graphène comporte une bande d’absorption caractéristique à 270 nanomètres (La spectroscopie utilise dans les longueurs d’onde au lieu des fréquences, c’est juste un changement de variable)

Or, voilà que le spectre d’absorption de l’échantillon montre un maximum entre 260 et 270 nanomètres correspondant au tiret sur le graphe. Cette bosse dans le spectre confirme donc de manière très convaincante que l’on a bel et bien affaire à du graphène.

En conclusion, il existe de solides évidences de la présence de dérivés du graphène dans l’échantillon étudié. Pour affiner cette conclusion, il faudrait ajouter des analyses complémentaires de caractérisation structurelle qui permettraient de déterminer la distance entre les atomes et la symétrie hexagonale du matériau. Il faudrait bien sûr répéter l’expérience et cela ne tient qu’à la bonne volonté des acteurs de la santé ( autorités de santé, firmes productrices) de mettre à disposition des échantillons pour l’analyser dans différents laboratoires.

Une autre étude a procédé à l’analyse d’un échantillon du vaccin d’Astrazeneca. On obtient le même résultat.

https://ejercitoremanente.com/2021/07/08/oxido-de-grafeno-encontrado-tambien-en-astrazeneca/

A défaut d’analyses de référence, il a y de quoi être interpellé et même sérieusement bouleversé par ces résultats. La toxicité des nanoparticules n’est pas un sujet totalement nouveau.  Quelques articles parmi tant d’autres sont présentés sur le site quintacolumna.



Prenons un exemple :

Cette étude démontre que l’oxyde de graphène induit la cytotoxicité et l’apoptose dans les cellules pulmonaires humaines.

Que penser de tout cela ?

Depuis longtemps on sait que les microparticules sont des corps étrangers qui vont provoquer des maladies de dégénérescence et que l’organisme va combattre ces microparticules. Tout le monde connaît l’amiante qui est un triste exemple de dissimulation des dangers pour la santé publique. A présent, il faudra apprendre à débusquer les risques liés aux nanoparticules. Il est de bon sens de penser que le système immunitaire va détecter et combattre ces particules totalement étrangères au métabolisme humain.

Osons une comparaison entre les effets produits par le Covid 19 et les effets provoqués par une intoxication au graphène :

Face à une agression de type chimique par des nanoparticules d’oxyde de graphène, le système immunitaire va attaquer ces particules et provoquer le mêmes effets que le virus.

Les 2 analyses présentées n’ont pas permis de détecter des quantités significatives d’ARN (pour le vaccin Pfizer) ou d’ADN (pour le vaccin d’Astrazeneca). Par contre, les vaccins supposés lutter contre un virus contiennent des particules tout à fait étrangères au métabolisme humain. Ceci est déjà démontré par la mise en évidence de phénomènes d’attraction magnétique tout à fait sidérants. On parle bien ici de tous les vaccins car sur des échantillons de personnes testées au magnétisme, le résultat est de l’ordre de 95 % tous vaccins confondus.

Les analyses nous permettent de dire que les mystérieuses particules à l’origine du magnétisme sont, selon toute vraisemblance,  des composés à base de graphène. On peut citer l’oxyde de graphite (symbole GO ) et l’oxyde de graphite réduit (rGO).

Il faut savoir que le magnétisme est un phénomène qui trouve son origine au niveau des électrons. Chaque électron est à lui seul comme un petit aimant avec un pôle nord et un pôle sud. Les composés de graphène vont participer à des réactions qui impliquent des transferts d’électrons, ce sont les réactions d’oxydo-réduction. Typiquement, un oxydant va capter un ou plusieurs électrons à son environnement. Ainsi le GO qui capture un électron devient rGO (oxyde de graphène réduit car sa charge en Coulombs a diminué). Il va de soi que la molécule ou le tissu qui a dû céder son électron au bénéfice d’une particule pathogène, ne sera plus en mesure de remplir ses fonctions dans l’organisme.

Enfin, ajoutons un passage de la vidéo complète (émission 63 à 1h44 , lien 2) qui montre un chercheur qui nous explique que l’on a pu rendre le graphène magnétique au contact de tissus biologiques.

Ainsi, les premières pièces d’un puzzle commencent à s’assembler. Il est bien connu que les composés du graphène vont provoquer des transferts d’électrons, l’oxyde de graphène doit son nom à sa capacité de capter des électrons. De plus, grâce à des travaux de recherche récents, on sait rendre le graphène magnétique.

La science nous donne un éclairage nouveau à ce que nous sommes en train de vivre.

Les nanoparticules dont la toxicité est déjà connue vont immanquablement provoquer des maladies de dégénérescence graves si ce n’est le décès des personnes intoxiquées.

Cette perspective est terrifiante car nous sommes assurément devant une catastrophe sanitaire majeure. Dans un contexte de science corrompue et d’entreprises pharmaceutiques surpuissantes, que font nos institutions ? Nos organismes de santé publique, sont-ils  en mesure de procéder à une évaluation objective et indépendante de la situation. ?

Il apparaît que non. Force est de constater que la campagne de vaccination, encouragée partout de par le monde, s’apparente à un plan d’intoxication massive qui mène toute l’humanité au désastre.

Comment en est-on arrivé là ? Que faire ?

Le premier ennemi à combattre est l’ignorance. Notre mode de vie nous a totalement déconnecté des choses essentielles et il est essentiel qu’un maximum de gens se questionne. A commencer par les personnes qui ont accepté de se faire vacciner. Développer du  magnétisme sur le corps est tout à fait pathologique et faut réaliser qu’il faut combattre dès que possible cette intoxication. Les personnes vaccinées doivent prendre conscience de leur situation et exiger des comptes.

Il faut aussi encourager les professionnels de santé à faire analyser des doses de vaccins afin de reproduire et compléter cette première analyse. La composition annoncée par les firmes n’a rien à voir avec les résultats de l’analyse. C’est tout à fait significatif d’un disfonctionnement à plusieurs niveaux de notre société. Enfin, tous ceux qui participent à cette campagne de vaccination doivent également réaliser à quel point ils ont été, dès le début, totalement désinformés par un système qui les rend complices d’actes médicaux insensés et réellement dangereux pour la santé. (voir réf 3).

Enfin, nos politiciens doivent réaliser qu’il faut stopper cette campagne et remettre en question  toute notre politique sanitaire.

Pour le reste, il y a encore bien des pièces du puzzle à assembler avant de voir dans quelle galère nous sommes. Il s’agira de relire tous les évènements depuis le début de cette pandémie à la lumière d’une réalité qui va devenir de plus en plus visible.

A suivre.

Liens

1 Science sans conscience , Denis Rancourt invité par Jérémie Mercier

2 Résultats de l’analyse (version courte 9 minutes)

https://ejercitoremanente.com/2021/06/24/lo-han-conseguido-por-fin-vemos-el-contenido-real-de-las-vacunas-al-microscopio/

Version complète.

3 Témoignage du Dr. Cameron Kile Sidell, New York City :

Does Covid 19 really cause  Acute respiratory distress syndrome (ARDS ) ?

I am a physician who has been working at the bedside of COVID+ patients in NYC. I believe we are treating the wrong disease and that we must change what we are doing if we want to save as many lives as possible.

We are operating under a medical paradigm that is untrue. In short I believe we are treating the wrong disease an this misguided treatment will lead to a tremendous amount of harm.

L’effet du GSH glutathion :





Pour contrer l’intoxication au graphène :

Administration de  N-acétylcystéine (NAC) qui est un précurseur nécessaire à la biosynthèse du glutathion.

Source

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