Alors que l’OMS vient de déconseiller la « vaccination » génique aux jeunes de moins de 18 ans (eu égard aux risques que fait courir cette expérimentation pour un bénéfice douteux) la Suisse a pris le mors aux dents et s’enfonce toujours plus dans son irresponsable fuite en avant.
Piloté par des « cercles d’experts » pétris de conflits d’intérêts et qui ne sont plus que les marchands de tapis au service des lobbies pharmaco-vaccinaux, l’OFSP transgresse ainsi une longue suite de normes, de règles et de protections éthiques comme une armée de pirates assoiffés de rhum et de sang.
Ceci tandis que les alertes se succèdent à travers le monde, montrant que la « vaccination » n’est ni si sûre ni si efficace qu’on l’a bêlé docilement sur la foi des seules publications de boîtes pharmaceutiques condamnées à réitérées reprises au cours de la décennie écoulée pour une longue suite de forfaitures et de crimes.
Pire, l’OFSP donne sur son site une liste de « Douze Mythes complotistes » évidemment faux à ses yeux, « démentis » par des acteurs-clés de la corruption systémique… sachant que dix de ces intitulés de propagande sont en train d’être battus en brèche par une pluie de publications. Comme ces assertions absurdes que l’ARN vaccinal resterait au lieu d’injection (!) ou encore ne pourrait en aucun cas se rétro-transcrire dans l’ADN alors que l’on sait depuis longtemps que ce phénomène existe… et qu’il se confirme bel et bien pour le Sars-CoV-2 !
Bref, les scientistes en perdition énoncent tout et n’importe quoi tout en pérorant contre les « complotisss » alors qu’ils sont eux-même en pleine transe complotrice, avec des morts d’enfants et de jeunes en pure perte à la clé comme conséquence directe de leur prostitution.
Histoire de ne pas en rester là dans la veulerie, les mêmes « experts » prétendent que des enfants de 10 ou 12 ans (dûment propagandisés) peuvent tout à fait consentir à se faire inoculer le brouet expérimental, même contre l’avis de leurs parents s’ils le souhaitent !
Cette ignominie de plus a soulevé la juste réponse de juristes et d’avocats, rappelant la responsabilité engagée des médecins ayant infligé cette expérimentation à des mineurs en cas d’accidents. Alors que les signalement de décès et de conséquences graves suite à la « vaccination » se multiplient à travers le monde dans des proportions sans précédents, que des sommités (comme l’inventeur des vaccins à ARNmessager lui-même, le Dr Robert Malone) indiquent que la protéine Spike est bel et bien cytotoxiue et l’expérimentation en cours contraire à la bio-éthique, nos cénacles de mercenaires continuent leur macabre bacchanale sans foi ni loi.
Combien de morts d’enfants seront-elles nécessaires pour qu’on retrouve ne serait-ce qu’un semblant de bon sens et d’intégrité ?
Au chapitre des nouvelles encourageantes, relevons donc, outre cette directive de l’OMS ne recommandant pas la « vaccination » génique des moins de 18 ans, la saine prudence du Conseiller d’État Maura Poggia à Genève, qui ne souhaite pas faire pression sur les adolescents pour les influencer à se faire « vacciner ».
Après avoir « consulté des spécialistes », le conseiller d’Etat s’est nettement démarqué de son homologue vaudoise Rebecca Ruiz, en affichant une posture très mesurée sur la vaccination des adolescents, dans les colonnes de 24 Heures et de la Tribune de Genève du 19
L’élu estime que « plus on descend en âge, plus la balance avantages/inconvénients doit être appréciée avec attention. » Il évoque même la notion « d’immunisation naturelle » pour les jeunes (sauf s’ils sont à risque ou ayant des proches qui le sont), car ils sont « moins susceptibles d’être victimes d’une forme grave du coronavirus ».
Même si la seule mesure sensée serait de surseoir immédiatement à cette roulette russe insensée pour traiter précocement les personnes malades (avec un taux estimé de 60 à 85% de réussite malgré les dénégations vénales des zôpitaux zuniversitaires), ces précautions valent mieux que rien.
Je re-publie ici, avec remerciements à leurs auteurs, une lettre envoyée par différents collectifs à notre irresponsable ministre de la santé, suivie du résumé d’un avis de droit sur la question du discernement des mineurs. Les médecins à la seringue qui les démange feraient mieux de prendre connaissance de ces éléments avant de se lancer dans des actes médicaux qui pourraient se retourner contre eux…
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Lutry, le 14 juin 2021
Vaccination des enfants de moins de 18 ans
En tant que présidentes et présidents des collectifs signataires, nous tenons à vous faire part de notre désaccord quant aux récentes déclarations de l’OFSP au sujet de la vaccination contre la maladie Covid-19 des mineurs de moins de 18 ans. En effet, dans son courrier du 5 mai 2021, « Informationen für Covid-19-Impfung », l’OFSP a déclaré que les enfants capables de discernement, dès l’âge de 10 ans, pouvaient décider seuls de se faire vacciner, soit indépendamment de l’accord de leurs parents ou représentants légaux.
Il semble en effet que l’OFSP se soit précipité. Nous souhaitons alors rappeler à l’OFSP que selon les normes internationales et constitutionnelle en vigueur, les enfants et les jeunes de moins de 18 ans ont un besoin de protection accrue, protection qui ne peut être offerte que par les titulaires de l’autorité parentale, en particulier pour certaines décisions médicales qui les concernent. Ainsi, et conformément à l’avis de droit CHAPPAZ/NANCHEN/VOUTAT ci-joint, nous souhaitons rendre l’OFSP attentif au fait que le consentement écrit du mineur et du titulaire de l’autorité parentale sont exigés pour procéder à la vaccination de tout mineur, même capable de discernement. En tout état de cause, seul un médecin connaissant particulièrement bien le mineur est apte à évaluer sa capacité de discernement.
En outre, les consentements doivent être éclairés. L’information donnée au mineur et à son représentant légal doit ainsi porter sur la balance bénéfices-risques individuelles. Or, les moins de 18 ans en bonne santé ou sans maladie évolutive n’ont aucun risque de mourir de la maladie ou de souffrir d’une grave complication. Le bénéfice de la vaccination pour les mineurs est ainsi complètement nul. A l’inverse, les données de pharmacovigilance démontrent que les mineurs avec comorbidité ont un risque de décès 60 fois plus élevé qu’avec la maladie Covid-19, et puisqu’aucun enfant en bonne santé n’est décédé de la Covid-19 en Suisse, le risque lié à la vaccination est encore plus grand1. Ce risque individuel n’est éthiquement pas admissible, ce d’autant plus s’il est pris dans le but de protéger les personnes à risque, soit les personnes de plus de 65 ans.
Nous tenons à rappeler encore que les consentements du mineur et de son représentant légal doivent en outre être donnés librement : ils doivent être dénués de toute pression, menace ou contrainte. Ainsi, les signataires soussignés s’opposent fermement à ce que la vaccination contre la Covid-19 soit effectuée sur des mineurs dans un cadre scolaire ou dans un centre de vaccination, ces lieux étant sujets à de fortes pressions sociales. Seul un entretien individualisé, avec temps de réflexion, permet de garantir un consentement libre.
Ainsi, nous tenons à réaffirmer notre indignation quant aux modalités de cette politique de vaccination des mineurs, même capables de discernement. Dans tous les cas, nous n’hésiterons pas à utiliser toutes les voies juridiques possibles en cas de vaccination d’un mineur même capable de discernement et quel que soit son âge.
La légalité de la décision d’autorisation des vaccins destinés aux mineurs, la responsabilité pénale, civile et déontologique du médecin vaccinant, la responsabilité des autorités scolaires, des autorités cantonales et fédérales, et même la responsabilité pénale des titulaires de l’autorité parentale seront systématiquement examinées et portées devant la justice.
Dans l’espoir que notre position sera entendue et que vous procéderez aux nouvelles recommandations qui s’imposent pour la santé de nos enfants, nous vous adressons, Monsieur, nos cordiales salutations.
Au nom des associations :
1 www.covid19.admin.ch https://www.adrreports.eu/en/search_subst.html#
AVIS DE DROIT :
L’acte vaccinal chez les mineurs, en particulier contre la COVID-19 : qui décide et à quelles conditions ?
Résumé
En mai 2021, l’OFSP a déclaré que les mineurs capables de discernement, dès 10 ans, pourraient consentir seuls à l’acte vaccinal contre la maladie COVID-19. Selon nous, cette affirmation ne repose pas sur un raisonnement juridique complet et est donc erronée.
Détermination de la capacité de discernement du mineur face à un traitement médical
L’autorité parentale confère aux parents de nombreuses responsabilités à l’égard de leurs enfants, dont celle de protéger leur intégrité (cf. supra 2. L’autorité parentale). Si les titulaires de l’autorité parentale conservent le droit de décider à la place de leur enfant pour la plupart des décisions, un mineur capable de discernement peut toutefois, en général, exercer seul – et en contradiction de l’avis de ses parents – ses droits strictement personnels, dont celui de consentir à un traitement médical.
Lire le résumé en pdf : cliquer ici.
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