24 juin 2021

Tchernobyl vaccinal : En Israël, 40 % de vaccinés parmi les nouvelles contaminations !

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« Qui pense peu, se trompe » beaucoup disait Einstein. Penser ne veut pas dire avoir raison, mais penser, ensemble, confronter, débattre, raisonner, c’est avancer vers une plus juste compréhension des choses.

D’un point de vue analytique, les choses qui arrivent aujourd’hui sous vos yeux étaient prévisibles et prévues par l’humble économiste de grenier que je suis assisté de ses deux poules et conseillé il est vrai par quelques chats, dont « Grisouille » le grand Maître. Alors forcément, j’ai des moyens intellectuels que n’ont ni les grands médias ni les Etats.

D’un point de vue analytique, cela fait des mois que j’écris que la bataille de la vaccination est déjà perdue, et que si elle est déjà perdu peut-être conviendrait-il de se poser les bonnes questions sur les bénéfices/risques d’une vaccination de masse qui risque de ne servir sinon à rien, à pas grand-chose ou pour pas très longtemps.

D’un coté un virus qui mute sans arrêt, rapidement avec 2 mutations biologiquement significatives tous les 15 jours. De l’autre, le temps nécessaire pour isoler une souche nouvelle, concevoir un vaccin (qui n’est pas en réalité un vaccin à la technologie classique mais une thérapie génétique) puis le produire, puis l’injecter à tout le monde. Dans le meilleur des cas, il faut plusieurs mois. Vacciner la terre entière prendra beaucoup plus de temps que juste quelques mois, même si nous améliorons nos process.

Vous avez donc d’un côté une vaccination de masse qui entraîne chez des populations faiblement à risque (les jeunes) des effets secondaires parfois désastreux alors que cette même population a peu à craindre du virus lui-même. Cette vaccination pourrait être altruiste, mais si le virus mute au bout du compte il ne reste rapidement plus que les effets négatifs pas les effets positifs.

C’est ce que nous commençons à voir. Non pas que le « vaccin » ne marche pas, mais comme nombreux le disent depuis le début, le « vaccin » n’empêche pas de tomber malade. Il évite au mieux les formes graves, et de cela nous aurons besoin encore de quelques mois pour en être vraiment certain. Il n’empêche ni de contaminer, ni d’infecter l’autre, ni de tomber malade, ni de mourir car chez les « vaccinés » on meurt aussi.

Tout démarre avec cet article d’i24NEWS média israélien. (Source ici)

Or, Israël est le pays qui a le plus vacciné, avec le meilleur taux de couverture « vaccinal » comme on dit.

« Israël : « 40 % des nouvelles personnes contaminées sont vaccinées » (ex-directeur général du ministère de la Santé)

« Quiconque voyage à l’étranger a de grandes chances de contracter le variant Delta »

L’ancien directeur général du ministère de la Santé, le professeur Gabi Barbash, s’est entretenu ce lundi soir avec Ben Caspit et Aryeh Eldad dans leur programme sur la radio 103FM au sujet de la reprise du coronavirus en Israël et des incidents à l’aéroport Ben Gourion.

« Nous ne sommes pas inquiets, mais vigilants. Nous avons des populations qui y sont aussi exposées que les enfants, y compris ceux qui peuvent ou ne peuvent pas être vaccinés », a-t-il affirmé.

L’ancien directeur a également noté que près de la moitié des nouvelles personnes contaminées par le coronavirus sont des personnes vaccinées : « 40 % des nouveaux cas sont des personnes vaccinées, ce qui signifie que le variant est très contagieux », a-t-il averti.

Il a souligné que la question se pose de savoir s’il y aura une troisième injection du vaccin ou si un vaccin spécifique est en cours de développement pour traiter le nouveau variant.

« La question ne doit pas être traitée avec mépris », a-t-il ajouté.

« Les problèmes de l’aéroport Ben Gourion et du port de masque doivent être abordés. […] j’espère que le variant ne se répandra pas trop ici « , a-t-il exprimé.

A la fin de son intervention, l’ex-directeur général du ministère de la Santé a recommandé de ne pas renoncer au port du masque, du moins à l’aéroport Ben Gourion et dans les écoles.

« Les masques représentent le moyen le plus efficace contre la transmission du virus: à l’aéroport Ben Gourion, il y a des gens du monde entier et dans les écoles, les enfants doivent circuler avec les masques. J’aurais porté un masque dans les transports en commun même si j’étais vacciné », a-t-il conclu.

Le port du masque même pour les vaccinés…

Si les autorités françaises lâchent la bride à la population pour ne pas désespérer Billancourt, ne vous leurrez pas.

La crise n’est pas terminée.

Elle ne fait qu’une pause.

Et cette pause sera de courte durée.

Surveillez la situation dans les Landes. Les restrictions qui y seront prochainement imposées préfigurent ce qu’il risque de se passer cet été, un été qui pourrait ne pas être aussi libre que celui de l’année dernière.

En Israël on recommence donc à parler du port du masque.

Pourquoi ?

Parce que ce variant mutera lui aussi à son tour.

Puis le Figaro se penche à son tour sur le sujet et en remet un louche !

En Israël, 40 % de vaccinés parmi les nouvelles contaminations : est-ce un échec ? (Source ici)

LA VÉRIFICATION – Pour les plus sceptiques à l’égard des vaccins, certaines données épidémiologiques révélées par l’État hébreu justifieraient leurs doutes alors que le variant delta y a fait son apparition.

LA QUESTION. Certains hommes politiques se font les hérauts du scepticisme à l’égard de la vaccination, mais, derrière ces figures publiques comme Florian Philippot ou François Asselineau, se trouvent en réalité des milliers d’internautes et plus encore de Français qui continuent de douter de l’efficacité et de la sécurité des vaccins contre le Covid-19.

Dernièrement, le président du parti souverainiste Les Patriotes a déclaré sur Twitter, commentant un article de la chaîne israélienne i24 News : « 40 % des nouveaux contaminés sont vaccinés, selon l’ex directeur général de la santé israélien ! On continue tête baissée à foncer vers le tout-vaccinal ou on réfléchit, on se calme et on autorise enfin les traitements ?! » Sur le même réseau social, un internaute s’interroge : « L’excuse concernant le pourcentage de personnes vaccinées contaminées en UK [Royaume-Uni, NDLR] c’était que le vaccin utilisé était AstraZeneca, que va-t-on dire pour Israël où on a utilisé exclusivement du Pfizer ? ». D’une manière ou d’une autre, ces réactions de doute sont-elles fondées ?

VÉRIFIONS. L’information en tant que telle est exacte. « 40 % des nouveaux cas sont des personnes vaccinées, ce qui signifie que le variant est très contagieux (…) Nous ne sommes pas inquiets, mais vigilants», a bien déclaré lundi soir le professeur Gabi Barbash, ancien directeur général du ministère israélien de la Santé au micro de Radio 103FM, repris par la chaîne i24 News. Le scientifique réagissait à la très légère reprise épidémique observée dans l’État hébreu, confronté à l’importation du variant delta apparu en Inde.

Alors que l’État hébreu a abandonné le port du masque à l’extérieur comme à l’intérieur, le gouvernement réfléchit à le rendre de nouveau obligatoire dans certains cas (les personnes non vaccinées revenant de l’étranger, par exemple, voire dans les écoles dans certaines circonstances). « Les masques représentent le moyen le plus efficace contre la transmission du virus : à l’aéroport Ben Gourion, il y a des gens du monde entier et dans les écoles, les enfants doivent circuler avec les masques. J’aurais porté un masque dans les transports en commun même si j’étais vacciné », a ainsi déclaré le Pr Barbash.

Et le Figaro de conclure sur l’efficacité de la vaccination… 

« En résumé, la vaccination en Israël n’est pas du tout un échec même si 40% des nouvelles infections concernent des personnes vaccinées. L’immunité collective n’étant pas atteinte et la protection des vaccins contre la transmission du virus n’étant pas totale, rien d’étonnant à cela, surtout face au variant delta plus contagieux. La protection contre les formes graves est en revanche une première victoire. Et la résurgence de l’épidémie au Royaume-Uni montre que l’effet sur la circulation du virus est malgré tout positif. La gageure reste d’atteindre l’immunité collective pour éviter une circulation élevée ad aeternam du Covid-19, chaque nouvelle vague épidémique augmentant le risque d’émergence de variants. Si un variant se révélait être plus mortel et résistant aux vaccins (et non seulement plus contagieux), la situation serait beaucoup plus périlleuse. D’où l’appel à la vigilance tant au Royaume-Uni qu’en Israël. Et en France ».

Comme vous le voyez, la dynamique de cette crise sanitaire est une dynamique longue et non courte. La multiplication des variants très rapide, et la vaccination non maîtrisée en termes de risques, longue à mettre en place et pas forcément aussi efficace que ce que l’on souhaiterait pourrait rapidement s’avérer un outil parmi d’autre, notamment pour les populations les plus fragiles (anciens, malades etc) et sous certaines réserves.

Vous allez donc assister, progressivement, au déploiement pour la prochaine vague, des médicaments du type chloroquine ou ivermectine qui sont « retenus » par les autorités de santé dans le monde entier pour favoriser évidemment la réponse de la stratégie globale vaccinale. Comme vous pouvez le voir dans cette édition, en Angleterre on étudie désormais officiellement l’ivermectine ! C’est déjà un bon début et cette étude ne doit rien au hasard. Il faut bien préparer la suite… Si le tout vaccin ne marche pas, alors il faudra en revenir à la base, c’est-à-dire soigner les malades. Tout simplement. Avec ce que l’on a, tout ce que l’on a.

Nous devons éviter un Tchernobyl « vaccinal » et remettre la réflexion et le débat au cœur des échanges, et cesser l’idéologie ou croire qu’une simple petite piqure faite à tous règlera tous nos problèmes et nous permettra de tout rouvrir comme dans les spots de propagande gouvernementaux.

La réalité risque d’être nettement plus nuancée que les publicités.

Nous sommes déjà en train de le voir. Ce n’est pas que les vaccins ne marchent pas, c’est qu’ils risquent de ne pas nous permettre de retrouver notre « vie d’avant », ce qui revient à dire qu’ils ne remplissent pas leurs objectifs de départ. Ce n’est donc pas un échec, disons que ce n’est pas non plus une réussite ! C’est cela une réalité nuancée.

La crise sanitaire n’est pas terminée.

Elle ne fait qu’une pause.

Profitez-en bien.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

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