Depuis avril, la vaccination est obligatoire pour les soignants en Italie. Les premières suspensions tombent.
Depuis quelques jours, les sanctions pleuvent en Italie à l’encontre des soignants qui refusent de se faire vacciner. Pour les autorités sanitaires, le message est clair : « on ne peut pas inciter la population à se faire vacciner et permettre le personnel soignant de se soustraire à ce devoir social » écrit la correspondante de Ouest-France à Rome.
Alors que près de 31,38 % de la population italienne a complété le cycle vaccinal, à ce jour selon le gouvernement, 42 536 soignants sont non vaccinés, soit 2,36 % du total des près de 2 millions de personnels médicaux.
Depuis quelques jours, les sanctions pleuvent en Italie à l’encontre des soignants qui refusent de se faire vacciner. Pour les autorités sanitaires, le message est clair : « on ne peut pas inciter la population à se faire vacciner et permettre le personnel soignant de se soustraire à ce devoir social » écrit la correspondante de Ouest-France à Rome.
Alors que près de 31,38 % de la population italienne a complété le cycle vaccinal, à ce jour selon le gouvernement, 42 536 soignants sont non vaccinés, soit 2,36 % du total des près de 2 millions de personnels médicaux.
Salaire suspendu, congé forcé ou nouvelle mission
Dans la région de Calabre, seize infirmiers et sages-femmes ainsi qu’un vétérinaire sont visés par une suspension de salaire jusqu’à décembre prochain. La sanction sera levée s’ils changent d’avis.
En Ligurie (Gênes), 26 soignants ont refusé le vaccin : ils s’exposent soit à une suspension de salaire, soit à une mise en congé forcé, soit à un changement de mission.
Les syndicats semblent partagés par rapport à cette mesure gouvernementale, entre le respect de la liberté de choix et le risque pour le personnel vacciné de devoir assurer davantage d’heures pour remplacer les agents suspendus.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.