Le meurtre de masse d'Américains par le biais des injections expérimentales se poursuit, car le CDC rapporte maintenant que 3.848 personnes sont décédées et 118.902 malades ont maintenant été enregistrés dans leur système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS).
Beaucoup pensent qu'il existe des preuves solides que le CDC retient une grande partie des données et que le nombre de décès et de malades signalés est beaucoup plus élevé (voir ci-dessous).
Cela s'ajoute au fait que de nombreux décès et maladies suite aux injections ne sont même pas signalés, car la propagande diffusée par le gouvernement américain et renforcée par les médias corporatifs, financés par l'industrie pharmaceutique, continue d'affirmer qu'aucun de ces décès n'est lié aux vaccinations, et ne sont que des «coïncidences».
Ainsi, ceux qui croient bêtement cela et tombent malades plus tard, ou voient un être cher mourir, ne prendront même pas en compte le fait que les vaccinations peuvent avoir causé cela et ne prendront pas la peine de le signaler au CDC.
Pour donner une certaine perspective à ces chiffres enregistrés, et montrer à quel point il est pénalement pervers de prétendre qu'aucun de ces décès ou maladies n'est causé par les injections, le nombre total de décès maintenant enregistrés à la suite d'injections expérimentales depuis décembre 2020 est supérieur au nombre enregistré des décès suite aux vaccins au cours des 15 dernières années et demie (source), avant que les injections expérimentales contre le COVID ne soient déployées dans le public.
Décès d'enfants signalés à la suite des vaccinations
Malheureusement, il y a maintenant au moins 5 décès enregistrés parmi les enfants suite aux vaccinations, y compris un bébé de 5 mois qui n'a pas été vacciné, mais qui allaitait de sa mère qui l'était.
VAERS ID: 1166062 : Le patient a reçu une deuxième dose de vaccin Pfizer le 17 mars 2020, alors qu'il était au travail. Le 18 mars 2020, son bébé allaitant de 5 mois a développé une éruption cutanée et dans les 24 heures était devenu inconsolable, refusant de manger. Il a développé de la fièvre. Le patient a amené son bébé à l'urgence locale, où des évaluations ont été effectuées, une analyse sanguine a révélé des enzymes hépatiques élevées. Le nourrisson a été hospitalisé mais a continué de décliner et est décédé. Diagnostic du TTP : Aucune allergie connue. Aucune nouvelle exposition en dehors de la vaccination de sa mère, la veille.
VAERS ID: 1187918 : Une fille de 15 ans, dans le New Hampshire. Je ne connais pas la date exacte du premier ou du deuxième vaccin Moderna. Je suis l'USIP, qui a pris soin de la patiente après son arrêt cardiaque, qui, selon nous, était d'environ 3-4 jours après son deuxième vaccin Moderna.
VAERS ID: 1218081 également 1218081: Une femme de 17 ans, dans le Wisconsin. Le patient a signalé des difficultés respiratoires et des douleurs thoraciques; a subi un arrêt cardiaque et la mort. D'après le rapport post mortem de l'hôpital: le 4/10/21, elle était en train de s'auto-cathétériser et a commencé à éprouver des difficultés respiratoires et des douleurs thoraciques. Peu de temps après, elle s'est effondrée et ne respirait plus. EMS est arrivé et a constaté son apnée, sans activité électrique, sans pouls. La réanimation a commencé et s'est poursuivie jusqu'à l'arrivée aux urgences. Mis à part une courte période de retour des impulsions cardiaques, elle est restée en PEA malgré une estimation de 45 à 50 minutes de réanimation. Elle est décédée à 11h20 le 4/10/21 - Directement à partir du rapport de pathologie 4.12.21
VAERS ID: 1225942 : Une fille de 16 ans, dans le Wisconsin. La patiente était une fille de 16 ans, qui a reçu le vaccin Pfizer le 19/03/21, à la clinique de vaccination et a présenté une RCR en cours au SU 28/03/21, après un arrêt cardiaque à domicile. Le patient, placé sur ECMO et imagerie, a révélé une embolie pulmonaire bilatérale comme étiologie probable de la mort. Les facteurs de risque comprenaient l'utilisation de contraceptifs oraux. Les laboratoires ont depuis confirmé l'absence de mutation du gène du facteur V. leiden ou de la prothrombine. Patient déclaré mort selon les critères neurologiques 30/03/21.
VAERS ID: 1242573 : Un garçon de 15 ans , Colorado. Insuffisance cardiaque.
VAERS ID: 1243516 : (Identique à 1225942?) Fille de 16 ans, dans le Wisconsin. Effondrement hémodynamique à la maison. Arrêt cardiaque persistant nécessitant une ECMO. Événement considéré comme secondaire à une embolie pulmonaire. Mort selon des critères neurologiques.
Il y a aussi un cas d'un jeune homme de 17 ans dans le Michigan, avec des antécédents de maladie mentale, qui s'est suicidé 8 jours après avoir été injecté. ID VAERS: 1243487.
Les enfants ont une probabilité de zéro pour cent de mourir du COVID-19. Donc, quiconque est responsable d'avoir injecté à ces enfants un vaccin expérimental, alors qu'ils n'en avaient pas besoin, devrait être arrêté et accusé de meurtre.
Le CDC retient des données sur les maladies et les décès consécutifs aux injections
Plusieurs personnes m'ont envoyé un e-mail la semaine dernière, avec des liens vers des vidéos de ceux qui scrutent la base de données VAERS, affirmant qu'il existe des preuves solides que le CDC retient des données et que les maladies et les décès consécutifs aux injections sont probablement beaucoup plus élevés.
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